jeudi 31 décembre 2009

Le septième millénaire sera juif ou ne sera pas !

André Malraux s’était lourdement fourvoyé le jour où il déclara d’un air péremptoire et inspiré : « Le vingt-et-unième siècle sera religieux ou ne sera pas ! ».

Contrairement aux pronostics de ce grand esprit, TOUT, dans la Bible, annonce prophétiquement que le millénaire de paix terrestre sous l’autorité du Messie juif, le 7ème jour, le grand Shabbat, impliquera l’ABOLITION totale et définitive des RELIGIONS, instruments de duperies dogmatiques et de domination sur les hommes depuis des siècles, sous l’inspiration satanique.

Mais attention .
Il sera question du Judaïsme universel et prophétique, message unique et inchangé du Dieu vivant à tous les hommes au travers des deux Alliances.
A ne pas confondre avec ce que le judaïsme traditionnel nous a bricolé, avec son fatras de fantaisies vestimentaires, culinaires et capillaires qui supportent bien la comparaison avec la religion carnavalesque vaticane et ses sœurs.
Une nuance de taille doit être signalée toutefois. C’est que le Judaïsme traditionnel, quoique dévoyé, n’a jamais suscité d’Inquisition, de croisades, de massacres de la saint Barthélemy, de guerres saintes, etc…

S’il est écrit que tout genou fléchira devant le Messie à son retour glorieux, cela suppose l’acceptation pleine et entière de sa Loi immuable et non falsifiable. Que ça plaise ou que ça ne plaise pas aux amateurs de symboles, de signes mensongers, d’images et de représentations qui fourmillent dans le monde corrompu spirituellement des religions.

Au milieu des signes qui nous entourent et qui confirment la prophétie de la dernière « semaine », il est consternant de voir le Judaïsme rabbinique se raidir pour résister (non sans raisons) aux invasions missionnaires chrétiennes, tout en se révélant jusqu’ici incapable de reconnaître avec discernement que le message divin, le Judaïsme prophétique reposant sur les deux Alliances, sans l’ombre d’une contradiction, est le seul chemin qui sauverait Israël en un instant de toutes les malédictions dont il est accablé : devenu le « Juif » des nations, isolé et lâché par l’Amérique d’Obama, entouré d’ennemis mortels, voué à l’anéantissement par le monstre islamique iranien avec l’immonde complicité passive et boutiquière de la Bête européenne, chevauchée par la grande prostituée.

Mais pour obtenir Son secours, il faut croire premièrement que Dieu existe et deuxièmement, qu’Il est le rémunérateur de ceux qui le craignent.
Or, le constat est sévère : un religieux n’est pas croyant et un vrai croyant ne peut se plier à aucune religion, car il ne fait pas de compromis avec la vérité de la Tora et des prophètes.

Conclusion :
Le judaïsme authentique, tel qu’accompli par le Messie, personne n’en a voulu dans ce monde rebelle et contredisant. Pas même le peuple juif, lequel n’a pas été élu d’avance, mais choisi et désigné comme peuple exemple ; afin de tenir, jusqu’au Chilo, les oracles divins sans en tordre le sens. Si c’était le cas, il y a longtemps qu’Israël Nation, comblé des bénédictions promises, serait à la première place dans l’Eden retrouvé.
Attention donc aux discours mensongers :
1. L’Etat d’Israël n’a aucun rapport avec le peuple du même nom et obéissant que Dieu appelle pour manifester Sa gloire. Sinon, nul besoin de F 15 pour se défendre. Même des frelons y suffiraient…..
2. Etre Juif ne dépend pas d’une lignée physique mais morale. Il n’y a donc aucune naissance humaine qui, sous cet angle, puisse être ratée. Le Juif, c’est celui ou celle qui décide, librement et en pleine connaissance, de se conformer en esprit et en vérité aux Dix Paroles et aux saintes convocations transmises à Moïse.
Tout le reste n’est que baratin politico-religieux qui induit une des plus graves tares de l’humanité : le chauvinisme. Le programme est simple, mais il est difficile. Simple est le contraire de compliqué, et difficile est le contraire de facile.
Il faut prendre garde à la prophétie du psaume deuxième qui va s’accomplir.

vendredi 25 décembre 2009

Qu'est-ce que le shabbat second-premier?

Dans les traductions Segond et King James, au début du chapître 6 de l'évangile de Luc, il est mentionné qu'un jour de shabbat, appelé second-premier, Yeshoua et ses disciples mangeaient, dans les champs qu'ils traversaient, des épis qu'ils froissaient dans leurs mains.

Jusqu'à présent, aucune explication du sens de cette expression n'a été fournie.

Certains traducteurs, tels Segond, bien que n'ayant pas compris la signification de ce mot, ont eu l'honnêteté de le conserver dans le texte, tout en reconnaissant, en bas de page, l'ignorer.

D'autres (Chouraqui, Thompson, Bible de Jérusalem...) ont préféré le gommer purement et simplement...!

Voici l'explication du shabbat second-premier:
SECOND shabbat de deux jours chômés qui se suivent et PREMIER jour de la semaine. C'est un dimanche. C'est, dans le cas qui nous occupe ici, la PENTECOTE, qui tombe chaque année un dimanche :

(premier jour de la semaine, et non septième comme les Editions Larousse ont le culot de le définir dans leur dictionnaire, affichant une contradiction flagrante avec les autres dictionnaires, et même avec leurs propres éditions plus anciennes)

C'est le Fête des prémices, le fauchage, la moisson est en cours. Ce jour est aussi le jour anniversaire du Messie, né à la fête de Shavouot en l'an -7.

Ajoutons ce petit parallèlisme: Yeshoua est le SECOND Adam et le PREMIER né d'entre les morts. Tous ces mots employés dans la Sainte Ecriture sont lourds de signification.

Dans ce passage de Luc 6, Il déclare aux religieux zélés, qui lui adressent un reproche non fondé, que le Fils de l'homme est maître du Shabbat. Parole prophétique intégrale puisque c'est Lui qui va régner pendant le shabbat millénaire à présent très proche.

Ce passage, une fois bien compris, nous apprend que le monde juif de cette époque messianique, respectait encore cette fête solennelle à la bonne date.
A présent, leur tradition rabbinique fait tomber ce rendez-vous sacré n'importe quel jour de la semaine, selon un comptage erroné, au mépris du commandement donné à Moïse pour le comptage des 50 jours.
Cette tradition dévoyée fait rater une sainte convocation à tout le peuple.
Entre autres fantaisies religieuses, c'est cela aussi:" retenir la vérité captive".

Autre détail: comme chaque shabbat hebdomadaire est une figure réduite du grand shabbat de paix du 7ème millénaire, la Pentecôte, ( Shavouot), cette Fête importante, est la figure réduite annuelle du Jubilé, ordonné tous les 50 ans et dont le dernier, le 120ième des 6000 ans, le seul qui aura été respecté de toute l'Histoire des habitants de la terre, sera imposé par le Messie à Son retour glorieux pour inaugurer son règne de 1000 ans.
Cet ultime jubilé est l'accomplissement de Luc 1 : 46 à 55, car il est clair que Myriam, en prophétisant par ces paroles, ne parle pas d'elle même mais de l'Eglise du temps final car, à aucune époque, on n'a vu la réalisation de ce beau programme!

N.B. En faisant ce commentaire, j'espère de tout coeur avoir exhorté ceux et celles qui déclarent avec "foi" que les dates n'ont pas d'importance, à sortir une bonne fois pour toute de cette fête abominable qu'est la Noël, sous peine de subir avec la multitude une gueule de bois mondiale et l'impression idiote d'avoir été roulés dans la farine par des pasteurs de néant.

En quelle année précise sommes-nous?

Voici venir le septième « jour », le shabbat de 1000 ans, le règne terrestre et glorieux du Messie tant espéré; règne pendant lequel la terre entière va enfin se reposer de l’horreur économique et des dévastations que notre engeance d’apprentis sorciers lui aura infligées sous l’influence du diable, le prince de ce monde.
Car l’excellente nouvelle est que c’est le Créateur Lui-même qui va sauver la terre du naufrage total, in extrémis.
Il devient donc urgent de se situer avec précision dans le compte à rebours des 6000 ans qui nous ont été impartis par le Seigneur Eternel depuis l’an 1 dans le jardin d’Eden ; moment à partir duquel le comptage des années a commencé à courir, du moins à notre échelle humaine. Car les temps antérieurs, pré-adamiques, aussi longs soient-ils, n’ont aucune espèce d’importance pour notre édification par les prophéties.

Rappel de quelques passages clés :

2 Pie3 : 8 « Mais il est une chose, bien aimés, que vous ne devez pas ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour ».
Gen. 1 : c’est au 4ème jour génésiaque que le soleil et la lune sont placés dans l’étendue du ciel. Or, le Messie paraît précisément au 4ème millénaire et est allégoriquement représenté par le soleil, car :
Ps19 : 5 «Et le soleil, semblable à un époux qui sort de sa chambre, s’élance dans la carrière avec la joie d’un héros »
Apo 22 :16 « je suis le rejeton et la postérité de David, l’étoile brillante du matin »
Apo 12 :1 « une femme (l’église du temps final), enveloppée du soleil (l’esprit du Messie), la lune sous ses pieds (marchant selon le calendrier divin rythmé par le seul signe céleste clair et net, la pleine lune)…
1 Thess5 :1 « Pour ce qui est des temps et des moments, vous n’avez pas besoin, frères, qu’on vous en écrive »…

Yeshoua, le second Adam, paraît comme Messie 4000 ans après que le premier Adam fils de Dieu devint une âme vivante dans le jardin d’Eden, non sous forme d’un bébé naissant mais avec la stature d’un homme fait, âgé d’une trentaine d’années.

Rappelons que, parmi les règles et préceptes essentiels de la Loi divine, se trouvent les dispositions de remise à plat des propriétés et des dettes à chaque fête jubilaire, tous les 50 ans, afin de prémunir les hommes de se faire la guerre d’une manière cyclique et répétitive. Tout un art de vivre qui nous caractérise !
N.B. Jamais, à aucune époque, le Jubilé n’a été pratiqué tel que prescrit, à cause de la cupidité humaine.
Le SEUL qui le sera vraiment sera le dernier des 6000 ans, le 120ième, imposé avec la verge de fer par l’Eternel Lui-même. Cette année jubilaire inaugurera l’entrée dans le shabbat millénaire de repos et de paix que sera le règne du Messie.

Concentrons à présent nos recherches sur une année connue de l’époque messianique où il est question du Jubilé, de façon à extrapoler jusqu’à nos jours.

Les deux enquêtes précédentes, relatives aux dates précises et prédéterminées de la naissance et de la mort du Messie, nous apprennent que c’est bien en l’an 24 de notre ère qu’Il a commencé son ministère de trois ans.
Conformément à la Tora (Lév. 25 :9), c’est exactement au jour solennel des Expiations, 10ème jour du 7ème mois de l’an 24 qu’Il adresse, dans une synagogue de Nazareth un discours reprenant les paroles d’Esaïe, chap. 61 qui annonce clairement l’année jubilaire ; en l’occurrence ici l’an 25, deuxième année de son ministère.
Quelques mois plus tard, c’est au 10ième jour du 1er mois, au printemps 25, qu’il chasse du Temple les trafiquants et banquiers du business religieux. Action qu’il se devait de faire une seule fois et au bon moment, vu le constat qu’il fait du non-respect du Jubilé.

Pourquoi cette scène se passe-t-elle le 10ème jour du 1er mois ? Parce que c’est à cette date qu’il doit déjà se trouver tout désigné comme l’homme à abattre par les dignitaires religieux corrompus, étant, en ce jour là, l’Agneau d’un an sans défaut de Ex. 12 : 1 à 5.
Et l’année précédente, l’an 24, c’est aussi à la même date du calendrier divin qu’il s’est fait baptiser par Jean, lequel déclara : « voici l’Agneau de Dieu… »

Revenons à l’an 25. Si cette année est désignée et annoncée par le Messie comme Jubilaire, alors il s’agit bien du 80ème Jubilé, correspondant à l’année 4000 sur l’échelle des 6000 ans.
L’entrée dans le Shabbat millénaire est donc en principe programmée pour 2O25, année grégorienne butoir !
Notre année 2009, qui se terminera réellement au printemps prochain, correspond à l’année 5984 !

De cela, il découle que la dernière « semaine » de 7 ans commencerait au plus tard en 2018 !
Je dis bien : au plus tard, si le temps n’est pas avancé !

Or, par bonté, et pour nous éviter une fin atroce, le Tout Puissant promet : Es. 60 : 22 « Je hâterai ces choses en leur temps »
On sait que dans le passé, l’Eternel a retardé le temps de dix degrés à l’époque du roi Achaz. Il y a aussi le « jour » de Josué.
Si retard il y a eu naguère, la compensation doit être, comme promis, une avance pour les événements du temps final, afin que l’arithmétique divine soit intégralement respectée.
En supposant que cette avance soit de 10 ans, alors l’entrée dans le shabbat millénaire serait pour 2015 et la dernière « semaine » aurait débuté en 2008. Si c’est le cas, le témoignage serait déjà en cours et le rassemblement en Judée aussi ! Ça peut faire froid dans le dos, mais ça rassure aussi sur la proximité de la délivrance.

Date précise de la mort de Yéshoua

Le Messie est mort à la Pâque juive, le mercredi 9 avril de l’an 27.

Explication :

Bref rappel de quelques versets clés, dont certains, par suite de traduction fallacieuse, ont échappé à la compréhension du plus grand nombre des lecteurs de la Bible :

Lév. 23 :5 Le premier mois, le 14ème jour du mois, entre les deux soirs, ce sera la Pâque de l’Eternel.
Gen. 1 Il y eut un soir, il y eut un matin, n ième jour.

Donc :
Au soir du 14ème jour commence donc la nuit du 15ème jour. Selon la Loi de l’Eternel, le jour suivant commence au coucher de soleil du précédent, (et non à minuit !). Quoi de plus logique ?

Ps 81 : 4 à 6 Sonnez du chofar dans le mois, à la pleine lune, au jour de notre fête.
Car c’est une loi pour Israël, une ordonnance du Dieu de Jacob
Il en fit un statut pour Iéhossef quand Il marcha contre le pays d’Egypte…..

Donc :
-Il est fait mention ici, sans conteste, de la Pâque, par le rappel de ce que Dieu a fait contre le pays d’Egypte pendant la nuit où Il a délivré Son peuple de l’esclavage.
- La nuit qui suit la Pâque du 14ième jour est la nuit de la pleine lune.
- La pleine lune éclaire donc, chaque mois, la nuit qui inaugure le 15ième jour de la lunaison.

Les mouvements de notre satellite pour chacune de ses phases sont connues et calculables pour toutes les époques de notre histoires.

La recherche sur la date précise de la mort de Yéshoua, pendu au bois à la Pâque, après accomplissement de son ministère de trois ans, doit être focalisée sur l’année au cours de laquelle la pleine lune du premier mois (Nissan) tombe dans la nuit du mercredi au jeudi afin que soit vérifié le signe de Jonas. Car le Fils de l’homme devait rester selon cette annonce trois jours et trois nuits dans le sépulcre.
Pendu le mercredi au crépuscule, il ressuscite à la sortie du shabbat le samedi soir.

Les données des observatoires astronomiques ou de la NASA donnent à la minute près les phases de la lune.

Pour notre enquête, l’année qui, seule, répond à ces hypothèses de base est l’année 27.
La phase pleine lune du premier mois de cette année-là, eut lieu le mercredi 9 avril à 18 heures 21, heure de Jérusalem. La nuit du jour suivant : le 15ième jour, est éclairée par la lune entière.
Ce 15ième jour, jeudi, est un shabbat de fête, un jour chômé pour tout le peuple. C’est pourquoi les corps ont été dépendus avant la nuit.
C’est seulement le vendredi que les femmes ont acheté les aromates mais ont manqué de temps pour accomplir le travail complet d’embaumement, vu la proximité du shabbat hebdomadaire, samedi.

Quand, à l’aube du premier jour de la semaine, dimanche 13 avril 27, Marie de Magdala se rend au sépulcre, elle croise Yéshoua déjà ressuscité.
Celui-ci lui dit de ne pas le toucher car il doit d’abord se présenter au Père.
Nous sommes précisément le jour où la gerbe d’épis verts des prémices doit être présentée et agitée devant l’autel par le grand sacrificateur. (Lév. 23 : 11 et 23 : 15)
Cette gerbe d’épis verts symbolisait et annonçait la résurrection du Messie. (Si le grain ne meurt, pas d’épi) Et ce, avant que son corps physique ne soit corrompu, conformément à l’annonce figurant au psaume 16.

N.B. Inutile de dire que ce rite hautement symbolique n’est respecté nulle part par aucune religion.

Et pour ceux qui voudraient encore douter de ces faits et dates précis, ils peuvent faire le comptage total des jours que le Fils de l’homme a passés parmi nous, séjour au tombeau y compris :
- naissance : Pentecôte année – 7 : dimanche 6 juin
- mort : Pâque année 27 : mercredi 9 avril.
- résurrection : fin du shabbat 12 avril, nuit du dimanche 13 avril 27.
- Total : 12.000 jours. Pas un de plus, pas un de moins.

lundi 21 décembre 2009

Pour ceux qui croient encore rendre un culte à Dieu en célébrant la fête babylonienne de Noël.

Yéshoua est né à Shavouot!

Si le Dieu d'Israël, Créateur du ciel et de la terre, a fixé Ses rendez-vous, où est le respect et l'honneur qui Lui sont dûs dans ce carnaval mondial infantile et superstitieux où on déclare que "les dates n'ont pas d'importance"?

C'est l'Ecriture elle seule, appuyée par le calendrier divin, qui nous révèle le moment précis de la naissance prédéterminée du Messie Juif sauveur du monde.Yéshua est né à la PENTECOTE (SHAVOUOT) le dimanche, premier jour de la semaine 6 juin de l'an -7 (ou -6 si on compte l'an zéro) selon le calendrier naturel divin. Cette date est le 9ième jour du 3ième mois de l'année 3970.

EXPLICATION (appuyée par l'Ecriture)

1) Yéshoua avait environ 30 ans quand il commença (à la Pâque) son ministère. C'est à dire que son 30ème anniversaire était relativement proche.

2) A sa naissance, les bergers sont aux champs et y passent la nuit pour laisser leurs troupeaux brouter le reste de la moisson des orges. Cette moisson correspond à la Fête des Semaines, ou Fêtes des Prémices, la Pentecôte.

3) Myriam et Yossef, obligés par l'édit de César Auguste de se faire ficher dans leur ville natale, profitent de l'occasion pour monter à Jérusalem car ils sont respectueux de la Loi de Moïse. C'est la Pentecôte, fête de pélérinage, convocation solennelle qui rassemble beaucoup de monde dans la Ville Sainte. C'est pourquoi il n'y a plus de place en hotellerie à Jérusalem et aux environs.

4) Remontons au début de l'année précédente pour confirmer ce qui vient d'être dit.C'est le premier mois de l'année que Zacharie, futur père de Jean le Baptiseur, est averti par l'ange alors qu'il achève ses fonctions de sacrificateur dans le Temple.Il retourne chez lui et Elisabeth, stérile jusqu'alors, tombe enceinte. 
Celle-ci en est dans son sixième mois (ce qui correspond aussi dans notre cas au 6ième mois de l'année) quand l'ange Gabriel avertit Myriam la galiléenne, qui se rend sans tarder chez sa cousine.  Attention! Elle y arrive à la fête solennelle du 1ier jour du 7ième mois 3969. Myriam tombe enceinte à cet instant. Ce qui lui est confirmé dès son arrivée par Elisabeth, animée par l'esprit.
Nous sommes au jour dit : des Acclamations. Mémoire d'Ovation.
C'est, on peut le comprendre, au milieu des acclamations enthousiastes de l'Armée céleste, que la Parole de Dieu, le Verbe, se fait chair et entre dans le processus de la maternité, afin de naître, 273 jours plus tard (temps précis de la grossesse) comme fils d'homme,exactement le jour de la Pentecôte.

CONCLUSION
C'est le calendrier naturel divin, enfin rétabli au temps de la fin, qui nous apporte les clés des prophéties bibliques.Les bons chrétiens, partisans de la Noël, de même que les Juifs traditionnels vont en ouvrir des yeux lorsqu'ils finiront par reconnaître que les rendez-vous ordonnés à Moïse sur le vrai calendrier concernent tous les évènements de la vie et de l'oeuvre gigantesque du Seigneur Yeshoua.
N.B. Aucune religion du monde ne respecte ni n'enseigne le calendrier naturel.