Il y a deux mille et trente ans, jour pour jour sur le calendrier naturel biblique (donc divin) en ce jour de Shabbat hebdomadaire, il s'est passé ceci :
Par souci de monter à Jérusalem pour la fête de pèlerinage Shavouot mais aussi, obligés par l'édit de César Auguste de se faire recenser dans sa ville natale, Joseph et sa jeune femme Miriam partis de Nazareth et voyageant à la vitesse de leur âne arrivent à Bethléem.
Miriam est enceinte et dans les derniers jours de son neuvième mois. La fête de Shavouot remplit Jérusalem et ses environs d'une foule nombreuse. Ils ne trouvent aucune place de logement dans l'hôtellerie. Toutes les places sont déjà occupées en cette veille de Shabbat "second-premier".
Les premières douleurs commencent. Miriam va entrer en travail. Impossible de poursuivre le voyage dans ces conditions. Le soir approche. Ils ne trouvent d'autre endroit pour la naissance qu'une crèche, pour ne pas accoucher dans la rue ou dans une arrière cour comme l'aurait fait n'importe quelle femme dans son état et arrivée à son terme.
(J'ouvre ici une parenthèse pour évoquer un souvenir lointain, malgré tout amusant : celui d'une de nos connaissances, arrivée elle aussi à son terme, qui avait piqué une crise mémorable à la maternité, déclarant à grands cris qu'elle refusait catégoriquement d'accoucher et menaçant le mari de se jeter par la fenêtre !)
(Autre parenthèse : Jean, fils tardif de sa vieille cousine Élisabeth et de Zacharie, est à ce moment âgé de six mois car Miriam, tombant enceinte le jour du Zikhron Troua l'année précédente en visitant Élisabeth (enceinte de 6 mois), resta avec elle jusqu'à la naissance de Jean avant de retourner en Galilée, supportant dès lors les quolibets des donneurs de leçons religieux qui n'ont pas manqué de traiter Yéshoua de bâtard. Poussant même le bouchon jusqu'à lui attribuer et inventer un père biologique, un légionnaire romain nommé Pantera. D'où le surnom qu'ils lui ont donné et qui est resté incrusté longtemps chez les négationnistes : "Ben Pantéra" ! !
Retour à Bethléem dans la nuit qui marque l'entrée de la fête de Shavouot. Miriam donne naissance à son fils premier-né.
Nous sommes au moment de la moisson des orges. Des bergers font (tout comme en nos jours) paître jour et nuit leurs troupeaux sur les glanes de la récolte.
Un ange messager leur apparaît et leur annonce la naissance du Messie, du Sauveur du monde. Il est rejoint par une armée d'autres, dans une gloire qui les stupéfie. Effrayés tout d'abord et troublés, ils se rendent en toute hâte à l'endroit qui leur est désigné et trouvent dans la crèche Joseph, Miriam et l'enfant. Ils rendent témoignage, proclament et propagent ce qu'ils ont entendu et vu à tous ceux qu'ils rencontrent. Parallèlement, les trois mages venus d'orient sont eux-mêmes en route pour la Judée dans le but de rendre hommage au Roi des Juifs dont ils ont appris que la naissance était imminente.
Cette fête de la Pentecôte 2023 est sans doute la dernière que nous pourrons célébrer encore dans un état de semi-liberté (je dis semi car il n'en reste déjà plus grand chose). Car si la Parole de Dieu a eu la volonté de s'incarner sous notre condition humaine pour nous servir de guide suprême dans la connaissance d'une Loi parfaite pour le bonheur de tous ceux qui le craignent, le diable et ses démons ont pu eux aussi, jusqu'à présent, s'incarner et guider le monde selon leur volonté dans la voie de la perdition.
Ils ne cachent même plus leur agenda. Leurs hommes (en réalité sous-hommes) sont en place, aux postes de pouvoir que leur donnent la puissance (passagère et vaine) des montagnes de fric et des ressources terrestres qu'ils ont accaparées et escroquées, distribuant les avantages à leurs suiveurs dans tous les rouages du monde industriel, du monde des arts, de la politique, des finances, de la presse, de la justice, etc, le tout au travers de sociétés secrètes parallèles, échappant à tout contrôle et sans lesquelles aucun poste de pouvoir, passe-droits et avantages de toutes sortes ne peut être accordé à quiconque ne les accompagnant pas dans leurs projets destructeurs de l'humanité.
Leur agenda est formel. Il ne restera plus en 2024 de liberté d'opinion contre leur doxa mondialiste, articulée sur le prétexte mensonger de la santé, qu'ils ont violée impunément par une science et une médecine corrompues à l'échelle industrielle, tout en entretenant artificiellement et sciemment une économie de guerre permanente, dont les morts, fussent-ils par centaines de milliers, sont les déchets, les résidus de leur abominable complot.
"Dans ma colère, je leur ai donné des rois" . Les peuples qui abandonnent leur Dieu Créateur et Pourvoyeur de toutes choses, à commencer par la vie, l'air que nous respirons, l'eau que nous buvons et la nourriture qui nous sustente, le tout dans un décor grandiose et fabuleux de beauté et d'harmonie, se retrouvent tôt ou tard avec à leur tête, des scélérats. Surtout quand les affaires tournent bien.
C'est alors, quand la prospérité matérielle est palpable, que l'homme fait le mal.
Ce n'est pas nouveau. 6000 ans d'écolage, encadrés par Satan n'auront donc pas suffi aux hommes de saisir l'expérience malheureuse des anciens. Le monde temporaire de Satan a de tout temps empêché d'enseigner aux enfants les leçons de la vraie Histoire. Nous n'avons jamais eu droit qu'apprendre des mensonges fabriqués, des falsifications de la réalité.
Un exemple ancien. Quand les Hébreux installés par Joseph au pays de Goshen pendant la famine ont commencé à se multiplier et à prospérer, ils ont aussi commencé à dégénérer moralement et spirituellement de façon progressive dont le récit biblique n'en donne pas les détails mais quand, au bout de décennies multiples, Moïse, animé par le plan divin, tente de reprendre contact avec ceux de son origine, il tombe sur des querelleurs, doublés de délateurs, ce qui l'oblige à fuir.
Bref. Ne nous berçons plus d'illusions sur ce que la politique peut, par les médias, nous proposer comme solution ou homme providentiels à l'état de délabrement du monde sous la direction des pharaons d'aujourd'hui, qui sont les maîtres que les peuples oublieux ont amplement et justement mérités. Partout, nous sommes menés au désastre par des déviants, tels ceux décrits par Paul dans l'épitre aux Romains chapitre 1. Précisément comme il en était dans le bas empire romain décadent.
Le seul contre pouvoir que Notre Dieu va déployer, en ultime avertissement, est celui qu'IL va donner aux deux témoins concomitamment à la prise de pouvoir de la bête, en 2024 selon l'agenda satanique. Information qu'on ne peut même plus qualifier de complotisme puisqu'il est décrété par des agents démoniaques qui semblent ignorer, comme des insensés, le rôle malfaisant qui est le leur; cela aussi fait partie de la Justice divine.
Bonne fête de la Pentecôte à tous les disciples du Roi des Juifs Yéshoua Notre Sauveur. C'est lui, notre "Noël" à nous, qui aura le dernier mot.
