vendredi 13 janvier 2023

Ministère final de l'Epouse, 2000 ans après celui de son Seigneur.

 

L'empire du mensonge étend ses tentacules. Ne nous leurrons pas. Les "Young leaders" formés à Davos sont subjugués par une momie qui leur impose son plan diabolique dans son apparat de grand maître de la franc-maçonnerie mondiale. Ces malades considèrent comme du bétail les populations de la terre devenues à leurs yeux inutiles et superflues. Tous s'activent à manipuler autoritairement les masses, sans même prendre la peine de dissimuler leurs buts génocidaires. Pire, même sous les applaudissements et approbation de ces foules, qui gobent tout, tant le degré d'abrutissement par les médias aux ordres est au maximum. La bête est là, sur le point de paraître, en sauveur ! En messie !

Dans l'attente de l'année, du mois, du jour et de l'heure qu'il a fixés, Notre Dieu vivant garde le silence.

Pourquoi aurait-Il ajouté un mot de plus ? Il a d'ailleurs écrit ET réécrit de Sa main les deux tables de Sa Loi, indiquant ainsi à Moshé que la seconde et nouvelle alliance sera proclamée par un prophète, non seulement comme lui (Moshé), mais comme Dieu Lui-même en personne. Deutéronome 18 : 15.

Tout donc, jusqu'à l'heure actuelle, a été dit de Sa part aux habitants de la terre par Ses serviteurs les prophètes et par le Fils, Sa Parole vivante faite homme; démonstration unique et éclatante de sa bonté infinie avec promesse finale de l'anéantissement de tout mal. La prochaine et dernière fois que Dieu va encore faire entendre sa Parole au monde sera, non pour lui enseigner des choses nouvelles, mais pour l'apostropher en ultime avertissement et rappel de Sa sainte Loi par la bouche des deux témoins.

Un ultime avertissement qui sera entendu et relayé par ceux qui vont devenir une nuée de témoins : Son peuple nouveau-né. Son Épouse.

A nous, qui tenons dans des vases de terre le trésor découvert de ce message fabuleux, l'annonce de Son salut et de Son avènement est la tâche qu'Il nous a assignée en se faisant connaître à nous. C'est une grande grâce, un grand honneur et une grande responsabilité, desquels il ne faut pas se dérober pour cause de peurs de toutes sortes, armes psychologiques préférées des démons qui rodent, cherchant à nous entraîner dans leurs déviances.

Hélas ! Quoique le plus beau et le plus encourageant message du monde ait été proclamé, l’Écriture divine, qui ne ment pas, nous apprend qu'il ne restera plus guère de foi sur terre lorsque le Sauveur manifestera Sa présence à Son retour, pour enfin régner.

Car en subissant les persécutions et tribulations qui, déjà, commencent, beaucoup tourneront le dos au jour d'un combat auquel ils croyaient s'y être cru préparés, c 'est l'apostasie annoncée. La suppression de l'argent liquide, la surveillance, la propagande et l’ingénierie sociale orwelliennes vont anéantir l'esprit de résistance et soumettre une multitude de gens, déjà rendus incrédules par les mensonges religieux, à un moment qui approche où, précisément, Notre Dieu et Seigneur éternel est et restera le SEUL secours, le seul appui, le seul refuge.

A l'instar des prophètes d'Israël, nous savons tous cependant qu'il s'agit de la seule, unique, de la plus juste cause de tous les temps qui méritât d'être défendue, même au prix d'y perdre la vie, avec acceptation et pleine confiance en Celui qui a payé notre rachat par la mort qu'Il a soufferte Lui-même, et vaincue.

La Bible entière nous apprend aussi que nous ne sommes absolument pas capables, par nous- mêmes, d'un semblable acte d'abnégation face aux forces du mal qui vont se déchaîner. Cette force morale ne pourra être donnée, le moment venu, qu' à ceux et celles que le Père choisira en regard de leur persévérance à faire mourir leur "vieil homme". C'est en effet dans ce seul état moral que le petit reste, le petit troupeau, va se révéler au monde, pensant, parlant et agissant par l'action du Saint Esprit qui les guidera et accompagnera concomitamment au témoignage des deux oints.

Et ce, pareillement à tous les personnages bibliques, choisis pour accomplir en leur temps des actes salutaires pour le salut du peuple et agir selon la volonté divine, qui ont été rendus capables de dire, faire, voire subir ces choses. Leur faiblesse humaine a, chaque fois, été transcendée et surmontée par effusion de l'Esprit pour l'accomplissement du travail qui leur était échu. Ainsi en a-t-il été de "ce Moïse et cet Aaron", ainsi que de tous les juges et prophètes, dont nul d'entre eux n'était sans défauts. Pas plus que leurs fils. Ainsi en a-t-il été des fils du sacrificateur Eli (Eli ha Cohen), des fils de Samuel, de David, etc.

C'est un véritable ministère parsemé de grandes épreuves qui attend, dès le 10 Nissan 2024, non seulement les deux témoins, mais l’Église, le peuple nouveau-né, celui qui, avant la mise à mort des deux témoins à Jérusalem, aura été rassemblé en Judée pendant la dernière année de leur témoignage. 

C'est en effet seulement lors de l'assassinat des deux témoins que la délivrance du petit troupeau, de l’Épouse, commencera par leur fuite, sauvés in extremis par un tremblement de terre. C'est ici l'explication des versets 11 à 14 de Exode15,  du verset (Psaume 89 : 16) "Heureux le peuple des connaisseurs de la Troua".  Leur fuite sera même accompagnée au désert par " les deux ailes du grand aigle" à savoir la présence de Yéshoua qui commencera son règne en protégeant Son peuple nouveau-né de la colère qui va suivre.

Mais attention. Cette partie du plan divin, concernant le scénario de la dernière "semaine", étant aujourd'hui bien comprise, il ne faut pas perdre de vue que c'est Yéshoua seul, par la bouche de Ses deux témoins, qui suscitera et lancera le signal et l'ordre du rassemblement en Judée de ceux qu'Il choisira parmi les peuples de toutes nations et toutes langues sur la surface de la terre.

Annoncer et enseigner que le rassemblement en Judée aura lieu par volonté divine est une chose à faire, car elle reflète une saine compréhension de la prophétie, mais s'y engager avant le temps et y engager d'autres, même frères et sœurs baptisés en Yéshoua, expose à beaucoup de déboires pour les cœurs mal affermis. D'où il en résulte souvent de l'amertume, voire la mise en oubli de l'élan joyeux et enthousiaste de départ. Et même le rejet de l’Écriture sainte pour certains.

 Croyez-en l'expérience vécue pendant 33 ans, et parfois plus, de ceux qui, trop tôt, en ont fait l'expérience. La foi est constamment mise à rude épreuve dans une telle démarche.

Tout d'abord, à l'image d'Abraham et de tant d'autres, ce pas dans le vide, franchi en quittant sa patrie, sa famille, ses amis, son travail, exposent ceux qui le font à devenir ceux dont on détourne le regard, à susciter la risée des incrédules, à subir la moquerie. En deux mots, à être rejetés par plusieurs, même par certains dont on ne doutait pas de l'amitié. Curieusement, cette démarche suscite une sorte de peur, dénominateur commun des faiblesses humaines, surtout actuelles, qui nous font voir même, chez bon nombre, la peur de la liberté !!

Ensuite, ce qui n'est pas le moindre, le pouvoir politico-religieux et les lois du pays d'adoption, pour cause d'attachement viscéral à la tradition religieuse, sont loin d'être hospitaliers et accueillants envers ceux qui l'approchent pour cause de foi en la vérité du message biblique. Avec à la clé, mises à l'écart, absence de droits sociaux, tracasseries bureaucratiques, expulsions, emprisonnements, etc. 

Les trois seuls moyens d'obtenir droit de cité en Israël aujourd'hui sont le mariage avec un conjoint Juif, la conversion aux critères religieux traditionnels ou les passe-droits.

Cependant, pour ceux qui ne mangent pas de ces pains là, qu'on se rassure, ce tableau assez noir n'a trait qu'aux relations entre l'individu et l’État, empoisonnées par l'emprise des partis religieux par peur (encore elle !) bleue de ceux-ci de voir arriver et déferler ce qu'ils appellent péjorativement des missionnaires chrétiens. Et le drame est que cette peur se trouve être entièrement justifiée par les expériences douloureuses du passé, depuis les croisades, en passant par l'inquisition, les pogroms, le nazisme et la Shoah. Et l'horrible cortège de l'antisémitisme n'en a pas encore fini.

TOUS DES SALAUDS ! Voilà ce qui fut lancé à la face du monde entier, y compris chrétien et particulièrement catholique représenté par le pape germanophile de l'époque,  par les survivants sortis des camps nazis, pour non assistance avant, pendant et même après le meurtre en masse des Juifs d'Europe.  Ceci pour expliquer le rejet du message biblique des deux Alliances par le monde religieux juif.

Qu'on se rassure donc, car les relations interpersonnelles avec les gens ont ici une chaleur que la présence divine seule peut expliquer. C'est Dieu seul qui met, en dépit de nos erreurs, les bonnes personnes sur la route de ceux qui le craignent, qui ne doutent pas de Sa bonté agissante et permanente. Il les fait se rencontrer pour apporter aux uns et aux autres aide et protection. Voilà la réalité finale qu'il nous faut ici reconnaître avec une immense reconnaissance, malgré l'erreur (si c'en est une !) d'avoir fait route vers la Terre Sainte 33 ans trop tôt.

Plus aucun gouvernement du monde n'est digne de confiance pour nous aider à aborder les quelques dernières années qui vont suivre. Cherchez l’Éternel pendant qu'il se trouve encore, avant la famine de la Parole et aussi la famine tout court. Psaume 33 : 19,   Psaume 37 : 19.

Shalom et bénédictions à tous.

 

PS  Pour ceux qui aiment la poésie, voici un texte de Malherbe :

"Paraphrase du psaume CXLV"

 

"N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde,

"Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde,

"Que toujours quelque vent empêche de calmer,

"Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre,

         "C'est Dieu qui nous fait vivre,

         "C'est Dieu qu'il faut aimer,

 

"En vain, pour satisfaire à nos lâches envies,

"Nous passons près des rois tout le temps de nos vies,

"A souffrir des mépris, à ployer les genoux,

 "Ce qu'ils peuvent n'est rien, ils sont comme nous sommes,

           "Véritablement hommes, 

           "Et meurent comme nous,

 

"Ont-ils rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière,

"Que cette majesté si pompeuse et si fière,

"Dont l'éclat orgueilleux étonne l'univers,

"Et dans ces grands tombeaux, où leurs âmes hautaines,

            "Font encore les vaines,

            "Ils sont mangés des vers,

 

"Là se perdent les noms des maîtres de la terre,

"D'arbitres de la paix, des foudres de la guerre,

" Comme ils n'ont plus de sceptres, ils n'ont plus de flatteurs,

"Et tombent avec eux d'une chute commune,

            "Tous ceux que leur fortune,

            " Faisait leurs serviteurs.