samedi 11 mai 2019

Une conversation oxygénante dans cette puanteur politique et journalistique.

Chers tous et toutes,

L'esprit de prophétie nous fait comprendre, non sans inquiétude, que la bête européenne qui se prépare à imposer sa tyrannie sera une nouvelle formule du nazisme, nanti de moyens surmultipliés, gigantesques, débouchant sur ce que la Bible nomme la grande tribulation. Une shoa mondiale.

Ce nazisme, qu'on a cru blessé à mort, va se relever de sa blessure mortelle et ce, pour la simple raison que cette idéologie immonde n'a cessé d'être entretenue par ses commanditaires : les grandes puissances financières et industrielles européennes et américaines, sans parler du Vatican.
Les damnés qui sont à leur tête se préparent à abattre un filet tyrannique sur tous les indésirables avec la complicité corrompue et lâche des politiciens et de la Presse à leur ordres.

La manipulation des esprits est telle que les écologistes et autres islamo-gauchistes vont adhérer aux discours séduisants du prince du monde, incarné dans l'homme impie qui va paraître bientôt.
Nul doute qu'une de ses ruses sera de faire croire qu'il faut sauver la terre par tous les moyens, y compris en réduisant ses populations.

Dans cet océan de mensonge et de lâcheté, sans le secours de Yéshoua, tous les désespoirs sont permis.
Mais, grâces Lui soient rendues, en ces temps fâcheux, son esprit fait agir et révèler des personnes çà et là, comme étant les nobles de la terre, surtout parmi les sans grades.
 
Dans ce contexte, permettez-moi de vous recommander cette remarquable conversation sur la pré bête qu'est la dictature macronnienne.
 " Coeur de boxeur" avec Antoine Peillon : la vérité sur Christophe Dettinger.

https://www.youtube.com/watch?v=wSUVFDtiYcc

Cette petite heure, passée avec un authentique journaliste, auteur du livre susmentionné, n'aura pas été perdue.

dimanche 5 mai 2019

Calomniez ! Calomniez ! Il en restera quelque chose !

"Un bébé palestinien a été tué par un raid israélien" ....

NB. A l'attention de l' AFP qui est à l'origine de cette annonce, reprise en choeur par les médias européens, "raid" signifie attaque (unilatérale), et non riposte défensive.
Le choix des termes est révélateur de l'intention de nuire, délibérément, par calomnie.

C'est ce qu'on appelle "enderliner" : lancer un scoop mensonger pour faire l'intéressant au profit d'une mauvaise cause (d'origine nazie) pour discréditer Israël.
Et peu importe que ce type d'annonce suscite n'importe où des meurtres de Juifs par des islamistes chauffés par leurs imams et pris de démence.
Des exemples ?  Il y en a eu à la pelle ! Et il y en aura encore.

Les faits.
En 24 heures,  + de 450 roquettes de courte et moyenne portées ont été, sur ordre de l'Iran, tirées sur Israël par les groupes maffieux du Djihad islamique et du Hamas.
C'est cela, une attaque meurtrière. Dans le but de tuer, de blesser des civils. Ce qui fut le cas.

Un minimum d'honnêteté et de respect des règles journalistiques les plus élémentaires auraient consisté à se renseigner d'abord sur les faits, au lieu d'enderliner.
Car après coup il s'avère, du propre aveu d'une source palestinienne gazaouie, que l'enfant (et non le bébé) et sa mère ont été tués par une de ces 400 roquettes , suite sans doute à un raté.
Une sorte d'accident de travail.

Aucune rectification, aucune excuse n'a été formellement apportée.

Honte sur la profession ! 
Comme des automates parlants, programmables et programmés, tous les journaleux-fonctionnaires serviles des médias européens officiels, subventionnés, obéissent aux consignes narratives qui leur sont dictées par leurs états, eux-mêmes sous la coupe de l'UE, sous peine de subir de la part de cette dictature, (d'origine nazie et qui veut la peau d'Israël), des notes de "mauvais élève", voire des amendes ou autres mesures de rétorsion.

Fort heureusement, Grâce à Dieu, les civils gazaouis ont en face d'eux l'armée israélienne, et non l'une quelconque des soldatesques arabo-musulmanes, qui aurait fait le ménage en tirant dans le tas à la mitrailleuse lourde, laissant  par terre 15.000 morts en un jour. ("septembre noir", Jordanie 1970)




jeudi 2 mai 2019

Le Citoyen, le Migrant et le Bio Pouvoir

Je me fais une fois de plus un devoir de reproduire ci-dessous un article remarquable, brillant, publié par Sidney Touati le 30 avril 2019 sur le site Dreuz.info.

Les analyses de cet auteur sont toutes d'une grande finesse. Celle-ci met en évidence la perversité des élites dirigeantes, entre autres européennes, qui jettent une chape de plomb sur les crises migratoires en évitant lâchement tout débat véritable sur le sujet. Débat qui révélerait ipso facto leur lâcheté, leur dérobade, leur incurie. Et qui précipiterait leur déchéance, garnie de goudron et de plumes.

A l'image de son Archange-patron, le monde déchu a fait de l'humanité un troupeau, qu'il gère à peu de choses près comme de la marchandise.
Dans ce troupeau d'esclaves, il y a des bêtes grasses et des maigres. Les grasses se croient plus libres que les maigres.
Les bergers politico-religieux sont des mercenaires privilégiés corrompus, qui n'agissent que par la soif de pouvoir (drogue dure). Ce qui leur fait croire qu'ils pourront toujours se tirer d'affaire au détriment et au mépris de la piétaille.
Ils feignent d'ignorer qu'ils sont eux-mêmes manipulés comme des marionettes par la corruption exercée sur eux par les lobbyistes des grands fauves financiers. Lesquels sont eux-mêmes des pantins, ayant pactisé avec le diable, prêts à se faire jeter après usage par l'Archange-patron. C'est le thème repris par l'opéra Faust.

Pour tous ceux qui veillent, qui gardent la Parole de Yéshoua, qui aiment la vérité et la liberté responsable qu'elle donne, ce regard lucide sur la tournure néfaste que prend ce monde qui marche vers sa fin, leur confirmera la description des signes donnés par les prophéties du temps final.

Nous mettons notre espoir dans le Seigneur. Nous sommes sûrs de Sa Parole.






Le spectre d’un véritable débat sur l’immigration islamiste et ses conséquences, affole les dirigeants européens. Depuis des dizaines d’années, une censure impitoyable impose le silence. 

Comme cela s’est souvent produit au cours de l’histoire, on utilise la justice pour sanctionner ceux qui osent exprimer librement leurs opinions.
Mais le vent de la révolte s’est levé et les despotes autoproclamés  "progressistes » sentent que leur système se fissure et menace de s’effondrer.
Quel est le véritable enjeu du conflit qui oppose un nombre de plus en plus grand de citoyens aux «élites » ?
Pourquoi cette crispation identitaire sur la question islam ?
Disons-le tout net. Ce n’est pas le sort de quelques millions d’hommes qui mobilisent nos dirigeants. Ce n’est pas pour les migrants qu’ils prennent le risque de perdre leur pouvoir.
Le sort de ces malheureux ne les intéresse pas plus que celui de leur propre peuple. 

En réalité, ce qui se joue dans ce bras de fer « élites/opinion publique » c’est la question du pouvoir et de ses formes de domination.

Nous vivons une immense révolution. Nous sommes en train de passer d’un système de domination à un autre.
Schématiquement, dans le  système humaniste classique, le pouvoir fonctionne dans une relation à l’homme libre, responsable de ses actes, dans le cadre d’une nation et des lois.
Cet homme libre est le citoyen, principe central du nouveau droit tel que révélé par la Déclaration des Droits de l’homme et du Citoyen de 1789.
Cette problématique découle directement de la conception biblique exposée dans la Genèse.
L’homme ne peut être libre que s’il appartient à un peuple lui-même libre.
Les Hébreux se libèrent du joug de Pharaon et pour que chacun individuellement puisse être libre, il faut la révélation de la Loi qui s’impose à tous, quel que soit son rang et sa fortune.
Se met en place le triptyque : nation-peuple/Loi/citoyen libre, égalité.
Il a fallu des siècles de travail, d’errance, de guerres, de révoltes… pour que ces notions révélées par la Bible, acquièrent la dimension de principes fondamentaux inscrits dans le marbre des constitutions des démocraties libérales.
Nous vivons la destruction du système humaniste.
Les « élites progressistes » ont deux cibles principales : le citoyen qu’elles désignent sous le vocable infamant de « beauf » et la nation dont les défenseurs sont qualifiés de « populistes ».


La mort du citoyen

Les nouvelles moutures de la Déclaration universelle des Droits de l’homme, excluent le citoyen. La notion de citoyen n’est plus au nombre des principes fondamentaux du droit. Reste  l’homme seul, vidé de toute dimension historique, sans racine, sans tradition tel que le conçoivent les curriculum vitae « progressistes » : pas d’âge, pas de sexe, pas d’origine, pas de diplôme…


La mort de l’homme

Mais pour les « progressistes », l’ « homme squelette» vidé de  ses déterminations historiques, est de trop, car il possède deux attributs qui font horreur à l’élite mondialisée. Il a le défaut d’être libre et responsable et donc porteur d’une tare indélébile : son origine biblique. Il n’est pas compatible avec les mondes dictatoriaux,
 « Chinisme » et « Islamisme".
L’homme tel que l’humanisme l’a conçu,  est  un obstacle à l’instauration de l’ordre nouveau. Il faut le zigouiller. L’exclure du champ de la représentation.

Le règne du « Droit des humains

L’ONU annonce clairement la couleur.
La notion de « droit de l’homme » est remplacée par celle de 
« droit des humains ». La « dignité » remplace la « liberté », jugée trop « occidentale », traduisez, trop biblique, trop juive.
L’homme libre et responsable ne peut fonctionner dans toutes les cultures. Certaines ignorent ces deux notions.
« Droits des humains » permet de tout inclure et de gommer toute différence. Ceux qui croient en la liberté individuelle, en l’égalité homme-femme… et ceux qui n’y croient pas.

L’avènement du bio-pouvoir

Le nouveau pouvoir n’administre plus des citoyens, des hommes  libres et responsables. Il gère des humains, entendez des êtres vivants. La vie  est  le plus petit commun dénominateur reliant les hommes. Le nouveau pouvoir vise à contrôler le « vivant », l’humanité tout entière, les espèces animales et même la nature à travers le mythe de la lutte pour le climat.  Il prend en charge notre vie. Il pénètre par la prolifération monstrueuse des normes, jusque dans les recoins les plus intimes de chaque être humain. Il surveille notre santé, ce que l’on consomme, mange, boit, pense… il contrôle et sanctionne nos déplacements, dicte nos goûts, façonne nos besoins, nos croyances, organise nos loisirs, meuble la moindre seconde de notre existence…
La Loi n’est plus adaptée aux nouvelles techniques de domination. Elle offre un cadre et laisse libre les parties.
Le nouvel ordre social-mondialisé-mondialisant, n’est plus réglé par des Lois, mais par les normes dont le nombre s’élève, en France,  selon les chiffres diffusés par le gouvernement, au 25 janvier 2019 à 84 619 articles législatifs et 233 048 articles réglementaires ! (cité par Dalloz actualité, éd. du 29.04.2019).
Le  citoyen libre faisait les lois par l’intermédiaire de ses représentants, lois qu’il connaissait et qui lui étaient opposables ainsi qu’aux dirigeants. Les députés ne se donnent plus la peine de siéger à l’Assemblée. La caisse d’enregistrement législative fonctionne automatiquement.
Les normes sont faites par des experts, des technocrates qui sont les seuls à savoir ce qui est bon ou mauvais pour les humains. Ces derniers n’ont pas à les connaitre, ne peuvent les connaître du fait de leur nombre et de l’obscurité de leur formulation.
Michel Foucault avait qualifié cette nouvelle forme de pouvoir de 
« bio-pouvoir », de « bio-politique ».
Dans ce contexte, tout ce qui différencie les êtres humains, leur histoire, leur croyance, leur identité…devient secondaire, inutile. Les différences qui distinguent les êtres humains, les identités, ne sont tolérées qu’en qualité de bizarreries folkloriques.
L’objectif du bio-pouvoir est de gérer les masses humaines comme on gère des troupeaux d’animaux industriellement. On surveille leur santé, leur alimentation, leur poids, leur croissance, leur sommeil, leur éducation, leur formation etc…
La liberté que le nouveau système octroie aux vivants, aux humains, est celle de l’atome indifférencié évoluant dans le vide.
La bio-technologie, l’intelligence artificielle, l’informatique, le numérique… fournissent les outils de domination-contrôle-surveillance de chaque membre du troupeau humanité, dans l’instant. La Chine nous donne un avant goût du nouveau bio-totalitarisme. Le temps est aboli. Pour la biopolitique, le règne de la Loi est fini.

Sur les décombre des nations, le régime des camps

Sur les décombres de la destruction des nations provoquée par le bio-pouvoir mondialisé, prolifèrent les réfugiés et pour les accueillir,  les « camps ».
La perspective grandiose qu’offrent  les élites high-tech est le camp de concentration où s’enferme volontairement la masse des errants auxquels on ne donne plus de « nom ».
Hier on parlait de réfugiés espagnols, russes, Juifs…aujourd’hui on parle de « migrants ».
Le bio-pouvoir, prenant appui sur la cohorte des ONG  peut expérimenter les nouvelles techniques de gestion des masses humaines sur une vaste échelle: nourritures, vêtements, médicaments, argent de poche…

Le nombre de réfugiés a littéralement explosé. Ils étaient 2 116 011 en 1951.
Ils sont plus de 52 millions en 2015. Il existe actuellement des dizaines de « camps de concentration lights» dans le monde.
Détruire les nations, faire de chaque homme un errant, un réfugié, un « migrant » enfermé, contrôlé, est l’idéal poursuivi par les élites du bio-pouvoir. Les techniques mises au point seront ensuite étendues  à toute l’humanité. Le pacte de Marrakech jette les bases de cette humanité déracinée, errante, en lui donnant un statut.

L’ordre mondial du bio-pouvoir

Ce qui se dessine est plutôt effrayant. Une ultra minorité de grands seigneurs, vivant hors la loi commune, possédant la richesse et la maîtrise de la haute technologie, se prenant pour des Dieux, face à la masse des gueux réduite à la condition de troupeaux.
Voilà de quoi l’opposition migrants/citoyens est l’enjeu. On l’instrumentalise pour « tuer » le citoyen, le culpabiliser. On accuse de racisme, de populisme, de fascisme…ceux qui osent défendre le droit classique.
Ce que les peuples européens ont commencé à comprendre,  est que l’obligation d’inclure la masse des migrants  à tout prix,  de faire de leur dépossession existentielle la norme, est la voie de notre propre asservissement, préalable à la destruction de notre civilisation humaniste née de la rencontre de la révélation biblique, de la Grèce antique et de Rome. On ne veut pas que la société civile ait la liberté d’accueillir, d’intégrer qui bon lui semble. On lui impose le « vivre-ensemble », c’est-à-dire la logique du troupeau.
On peut augmenter le nombre de vaches composant un troupeau. Individuellement, les vaches n’ont rien à dire.
Toutes les luttes, les révoltes qui ont agité l’histoire mouvementée des pays européens, se sont faites « Bible en main » remarquait  Michel Foucault.
Le message est toujours d’actualité. Croyants, non-croyants, hommes libres…c’est bible en main que la lutte doit continuer. Le regain d’antisémitisme et de christianophobie l’atteste comme l’atteste la haine irrationnelle contre  Nétanyahou et de Trump. L’enjeu des nouvelles guerres de religion  est aujourd’hui comme hier,  l’homme libre et responsable révélé par la Bible. 

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