Pentecôte-- Shavouot. Un sauveur nous est né.

Luc 2 : 6 , 7 et 8.
"pendant qu'ils étaient là, ...      (Joseph et Myriam sont à Bethléem en Judée, pour cause du recensement imposé par l'édit de César Auguste et, par la même occasion, pour célébrer cette fête de pèlerinage qu'est la Pentecôte, aussi appelée fête de la moisson. Ce jour de pentecôte est aussi appelé "shabbat second-premier".)

...le temps où Myriam devait accoucher arriva, et elle enfanta son fils premier-né.
Elle l'emmaillota et le coucha dans une crèche, parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie.  ...   (pour cause d'affluence de pèlerins dans toute la contrée en cette fête solennelle)

...Il y avait, dans cette contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux.... 

Rien n'a changé sous le soleil.

La photo ci-dessous est du mardi 26 mai 2020, 5 jours avant la Pentecôte.

Est-il besoin de rajouter encore commentaires ou arguments supplémentaires ?

Tous les éléments du décor champêtre décrits en Luc 2 ci-dessus sont là, pour marquer l'époque de l'année où on se situe.

2000 ans n'auront pas suffi au monde dit chrétien pour reconnaître et rétablir comme UNE la vérité biblique et historique concernant la naissance de Yéshoua, Messie de Dieu , né comme fils d'homme,  Roi des Juifs.

TOUTES les fêtes annuelles du calendrier transmis par Moïse sur ordre divin sont corrélées à l'Oeuvre accomplie par Yéshoua fils d'homme.

Aussi fantaisistes et mensongers qu'ils sont les uns que les autres, les dogmes traditionnels qui contaminent les sectes juives  et chrétiennes continuent à perdurer. Les  rabbins, pasteurs et prêtres de ces sectes officielles s'obstinent à ne pas se remettre en question et reconnaître honnêtement leurs errements face au message unique et inchangé des deux alliances.     Et pas seulement sur les dates des fêtes, mais sur quantité d'enseignements mensongers.

Ce message divin resté de tous temps égal à lui-même, "Juifs et grecs" l'ont communément et intégralement reçu, mais à des époques différentes et par le travail d'annonceurs différents.

Si cette obstination, cette mauvaise foi, cet orgueil, cette arrogance religieuse, sources de tant de malheurs causés aux peuples pendant deux millénaires, continuent sans aveu sincère et repentir, alors la réconciliation des uns et des autres autour de la même et unique vérité biblique, sera reportée à la fin du Shabbat millénaire, à la seconde résurrection des justes et des injustes. Dommage !

NB. Il est vrai que reconnaître ses erreurs et regretter sincèrement de les avoir enseignées n'est pas chose facile pour toute personne ayant eu autorité sur les autres pendant longtemps, en quelque domaine que ce soit.

==Pouvons-nous imaginer un pape avouer publiquement avoir trompé le monde et balancer par dessus bord les sottises dogmatiques telles que la Noël, l'Assomption, la Toussaint, le jour du Seigneur un dimanche, les cloches de Pâques, le culte à la "Vierge" de Lourdes, de Fatima et de moult lieux de business touristico-religieux ?

==Pouvons-nous imaginer un grand-rabbin agir comme le pharisien Saül, mettant court à son zèle négationniste, entrer dans une synagogue et au moyen d'arguments tirés de la Tora, des Prophètes et des Psaumes, démontrer par A+B : Z aux Juifs traditionnels rassemblés le jour du Shabbat que Yéshoua était LE Messie Sauveur envoyé chez les siens par le Dieu suprême  ?

La Bible nous enseigne que non. 

Aux croyants sincères, mais abusés, du monde juif et du monde chrétien du monde entier qui auront fait opposition au témoignage ultime, cette prise de conscience par effusion de l'esprit  ne leur sera donnée qu'à l'heure de la résurrection des deux témoins, dans la quatrième journée qui suivra leur assassinat, à Jérusalem, "là où leur Seigneur a été crucifié".

En cette époque malveillante, dictatoriale, hostile de plus en plus à la foi en l’Éternel Dieu, Seigneur du ciel et de la terre, Bonne fête de Shavouot  iom rishon 31 mai à vous tous disciples de Yéshoua en ce jour solennel : Anniversaire de Sa naissance à Bethléem Efrata, conformément à l'annonce de Mikha (Michée).