Ce doit être de plus en plus clair aux yeux des disciples de Yéshoua : le diable a fait du mensonge l'ordre du monde.
Les événements politico-religieux qui s'enchaînent avec une cadence accélérée, voire dans la précipitation, doivent nous indiquer clairement que cette année 2019 (qui ne commencera véritablement que le 5 avril) sera très probablement la dernière avant que commence l'ultime et dramatique "semaine" de Daniel.
Diaboliquement doté d'une langue cauteleuse de bonimenteur, qui se manifeste brillamment lors des séances d'enfumage appelées "grand débat", le président-chanoine Macron complote contre son propre pays en se pliant aux exigences germaniques pour imposer, par la ruse, aux peuples européens endormis et gouvernés par des corrompus, le cadeau d'une dictature dans toute son abjection : la bête européenne.
Le président baratineur français n'est pas seul. En cela, il est imité par les dirigeants croupions des pays d'Europe du Nord et du Bénélux, pareillement intentionnés, tout autant corrompus, mais aux discours plus plats, plus ennnuyeux. Quant à leurs populations, celles-ci sont plus refermées sur elles-mêmes, endormies par leurs médias subventionnés, aux ordres eux aussi.
Pendant ce temps là, les Gilets Jaunes se laissent couvrir de honte. Sans réagir, ils se laissent infiltrer par des voyous nazillons violents, islamo-gauchistes antisémites, qui manifestent en vomissant leurs slogans orduriers et leur haine anti-juive, ce qui jette un opprobre non mérité sur leur juste colère.
Pendant que Macron, les Allemands et autres européistes complotent, tout en traitant de complotistes ceux qui les voient venir de loin, le "Conseiller Islam" Karim Al Karoui peaufine pour son patron les modifications nécessaires aux changements à apporter à la loi de 1905, qu'ils imposeront tôt ou tard et bon gré mal gré aux Français, à savoir l'Islam de France.
Pendant ce temps là, ces derniers jours et plus précisément le 4 février, le pape jésuite nous a concocté un très mauvais tour.
Pour décrire et appréhender ce qu'il trame en tandem avec la bête européenne, et je ne doute pas un instant que leur antisémitisme viscéral et leur antisionnisme politique en sont les motivations réelles, je vous propose de lire l'article qui suit, fort, ironique et brillant de limpidité, publié sur le site Dreuz et relevant de la plume d' Hélios d'Alexandrie le 8 février 2019.
C’est bien connu Jorge Mario
Bergoglio, dit le pape François, a une prédilection particulière pour
l’islam. C’est à croire qu’il cherche à créer, non une synthèse du
christianisme et de l’islam, mais une sorte d’union matrimoniale.
Certainement pas un mariage catholique où le
divorce est interdit, mais pourquoi pas un mariage islamique où l’époux
musulman a le droit de battre son épouse, de la violer, de la répudier
et de la reprendre à sa guise.
Le 4 février, à Abu Dhabi lui et le grand imam d’Al-Azhar, Ahmed Al
Tayeb ont convolé en justes noces, ils ont signé une déclaration commune
«la Fraternité humaine pour la paix et la cohésion entre les peuples».
Certains prétendent qu’en signant ce document, le Pape cherche à
« réconcilier » les chrétiens et les musulmans. Mais cette prétendue
réconciliation n’a aucun sens, dans la mesure où l’agresseur musulman
n’a aucunement l’intention de mettre fin à son agression, et dans la
mesure où l’agressé chrétien, non seulement ne fait rien pour se
défendre, mais pousse l’imbécilité jusqu’à s’excuser d’être agressé.
L’Église catholique se reproche amèrement d’avoir mis au monde la
civilisation occidentale, historiquement la plus humaine et la plus
achevée. Même si elle n’y est pour rien, elle se reproche encore plus
l’échec de l’islam et sa faillite morale. Désormais la « charité
chrétienne » exige qu’elle s’humilie et qu’elle place l’islam sur un
piédestal.
Le pape ne cherche donc pas la réconciliation mais le mariage
punitif, voire expiatoire, soit une relation sadomasochiste entre
l’islam et l’Église catholique.
L’imam d’el Azhar n’a aucune raison de renoncer à son traditionnel
double discours, bien au contraire. Il ne se privera pas d’agiter la
branche d’olivier et abreuvera le pape de tout ce que le pape veut
entendre et ne demande qu’à croire. Déclarations solennelles et
signature de documents ne coûtent rien et s’avèrent drôlement rentables.
Al Tayeb gagne sur toute la ligne, il aurait dû se trouver dans le box
des accusés, mais le voilà placé sur la tribune à égalité avec le pape.
Il part d’Égypte, où il est contesté et vertement dénoncé par à peu près
tous ceux qui cherchent à sortir de la malédiction islamique; et le
voilà aux émirats où il retrouvera, grâce au pape, une virginité
renouvelée et une renommée mondiale. De retour en Égypte il narguera ses
critiques et ne manquera pas de se vanter auprès des siens.
Tout musulman a carte blanche pour mentir et dissimuler ses
intentions, tant que le mensonge et la dissimulation font avancer la
cause de l’islam. Cette tactique, el Tayeb la maitrise parfaitement et ne
se prive pas de l’utiliser.
Tout musulman, et el Tayeb ne fait pas
exception, sait qu’Allah dans le coran lui ordonne de ne pas prendre
pour amis les juifs et les chrétiens (5.31). Allah dit aussi que les gens du livre (les juifs et les chrétiens) ressemblent à des ânes qui portent des livres (62.5),
ou qu’ils sont pire que des bêtes qui s’égarent (7. 179). Allah dans le
coran appelle à anéantir les chrétiens qui affirment que Jésus est son
fils (9.30) . Allah dit aussi que les associateurs (les chrétiens qui associent Jésus à Allah) ne sont qu’impureté « najas » (9. 28).
Dans le verset de l’épée, Allah ordonne de tuer les associateurs partout où ils se trouvent (9.5),
etc. Autrement dit, si l’imam d’Al Azhar, en signant la déclaration
d’Abu Dhabi, était vraiment sincère, il se trouverait à renier la
parole d’Allah donc à apostasier.
Sachant pertinemment qu’il ne la renie
d’aucune façon , on peut conclure sans risque d’erreur qu’il ment et
dissimule pour faire avancer la cause de l’islam.
Le pape est-il naïf ? Sait-il qu’on le roule dans la farine?
Les
deux possibilités ne s’excluent pas nécessairement. Des naïfs
orgueilleux et têtus ça existe
Si par hasard ils embrassent l’idéologie
gaucho-tiers-mondiste, et que l’un d’entre eux "chausse les souliers de
Saint Pierre", alors l’Église catholique se retrouve dans de jolis draps.
Je ne partage pas l’opinion selon laquelle le grand imam d’Al Azhar,
pressé de toutes part, a fini par céder et accepter de répondre
positivement et de bonne foi aux « impératifs » du dialogue, de la bonne
entente et du respect des droits en matière de religion. Sa signature
apposée sur un document ressemble à s’y méprendre à une promesse
politicienne, elle n’engage que ceux y croient.
L’Histoire a cette
fâcheuse habitude de se répéter à chaque fois qu’on en oublie ses leçons :
en septembre 1938, le premier ministre britannique Neville Chamberlain,
de retour de la conférence de Munich, a exhibé l’accord qu’il venait de
signer avec Hitler et a déclaré à la foule enthousiaste : "Grâce à cet
accord que je viens de signer avec Herr Hitler, c’est la paix notre vie
durant !"
On connaît la suite : un an plus tard éclatait la seconde guerre
mondiale.
El Tayeb a refusé catégoriquement de mettre les jihadistes de l’État
Islamique au ban de l’islam. Cela lui a été reproché mais en fait il avait islamiquement raison. Ces jihadistes sont d’authentiques musulmans
observants, la seule chose qu’el Tayeb leur reproche c’est la violence,
non parce qu’elle est contraire à l’islam, mais parce qu’elle ternit
l’image de l’islam et met les musulmans sur la défensive.
Et si el
Tayeb résiste aux demandes du président Al Sissi pour modifier en
profondeur les manuels scolaires islamiques qui polluent les cerveaux
des écoliers, c’est qu’il sait qu’il n’a pas le droit d'empêcher l'enseignement intégral de la chariadroit d’empêcher
l’enseignement intégral de la charia.
Tout ça le Pape et ses proches collaborateurs ne peuvent pas ne pas
le savoir. Ils le savent mais cela ne les fera pas changer d’avis ni de
trajectoire : l’Église catholique a lié son sort à l’islam, c’est-à-dire
qu’au lieu de le laisser se noyer dans la déchéance, elle a choisi de
s’unir à lui et de lui reconnaître un statut moral qu’il ne mérite pas.
Si c’est cela la charité chrétienne nouvelle mouture, alors elle ressemble étrangement à un pacte de suicide!
La haute hiérarchie de l’Église catholique marine dans le relativisme
religieux, elle n’a certes plus la foi qui soulève les montagnes et
pour tout dire elle doute, non seulement d’elle-même mais du message et
de sa mission qui consiste à le préserver et le transmettre.
Les catholiques qui ne se racontent pas d’histoires et qui ne se
bercent pas d’illusions sont face à un dilemme : ou ils choisissent de
rester dans l’Église catholique et acceptent de sombrer avec elle, ou
ils choisissent de prendre leur destin en main. Mieux vaut le schisme
que la mort assurée, entre deux maux il faut choisir le moindre.
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