samedi 26 janvier 2019

Les jeux sont faits. Rien ne va plus.

Même si elle n'a pas encore été clairement explicitée, la prophétie de Daniel 11 à partir du verset 21 s'applique sans aucun doute à l'homme impie du temps final destiné à devenir, pendant la deuxième moitié de la dernière "semaine", l'incarnation de Satan lui-même, chassé du Trône céleste.
Lorsqu'il sera précipité sur terre et forcé d'entrer dans la condition humaine, il découvrira furieux qu'il lui reste très peu de TEMPS (notion qu'il ignorait jusque là).

Cette prophétie nous apprend aussi que c'est par la ruse, l'intrigue et la tromperie que la gouvernance mondiale sera mise en place par la bête européenne. Le système autoritaire d'abord. Ensuite l'homme qui exercera son autorité.

Ouvrons une parenthèse pour rappeler, à ceux qui en doutent encore, que la bête immonde du nazisme n'est pas morte.
Des dizaines de milliers de criminels nazis, ainsi que le butin de leurs crimes, ont été acheminés vers les 2 Amériques avec la complicité de diverses filières, notamment vaticane. Tous ces assassins, bourreaux volontaires, meurtriers non repentis de millions de gens sans défense, sont restés non seulement impunis, mais bien accueillis, protégés, autorisés à se reproduire et prospérer dans le monde des affaires. Odieuse récompense à leur sinistre expérience et à leur contribution aux développements industriels des pays qui ont accueilli cette engeance de damnés.
Après le Tribunal de Nuremberg, qui n'a fait qu'une infime partie du travail, malheureusement rares sont ceux qui ont été pourchassés et atteints par les tueurs aguerris des commandos vengeurs israéliens.
Aujourd'hui, les composantes allemandes américaines et européennes nouent d'importantes relations d'affaires.
Concernant les origines de l'Union européenne, ne perdons pas de vue qu'un ancien nazi, Walter Hallstein, fut le premier président de la Commission, de 1958 à 1967.

Ces petits détails historiques rappelés justifient la méfiance que nous devons avoir devant la tournure autoritaire, technocratique, déshumanisée que prend l'Union européenne, par ses dirigeants, non élus mais cooptés entre petits copains, bafouant ce qui reste des démocraties nationales et de leur souveraineté pour le seul profit des puissances industrielles et financières.
Celles-ci mettent dans leur poche les commissaires au moyen des lobbyistes corrupteurs, qui deviennent par la suite des commissaires, lesquels sont ensuite recyclés comme lobbyistes, etc.
Et ce dans l'indifférence ignorante et générale, entretenue par les médias officiels et leurs journaleux insipides, mièvres, dociles, ennuyeux, anesthésiants.

Or voici qu'une limite à cette anesthésie vient d'être atteinte. Voici un vent de révolte qui gronde, à la lumière d'une prise de conscience populaire, irrécupérable et irrattrapable par les partis politiques ! (Pour le moment)

Pris par surprise, ces syndicats d'élus de gauche et de droite révèlent au peuple qu'ils ne servent à rien.
Ils montrent malgré eux leur incurie et leur nullité de profiteurs, jouisseurs, phraseurs, baratineurs, faiseurs de vent, coupés totalement de la dure réalité de cet enfer économique.

Le pouvoir est une drogue dure. Du coup, ils se sentent prostrés comme des drogués pris à la gorge devant la colère qui gronde. Ils ont perdu tout crédit.

Dans tout le monde occidental, le système électif qui a été présenté aux peuples comme soi-disant démocratique n'a jamais été qu'un leurre trompeur.
Si on remonte à la Révolution française, on comprend qu'elle ne fut pas une révolution du peuple.
Au contraire, la colère et le désespoir de celui-ci ont été instrumentalisés pour amener le remplacement des exploiteurs prédateurs par d'autres exploiteurs prédateurs. Les aristocrates de l'Ancien Régime et le Haut Clergé ont dû céder la place aux Francs-Maçons appuyés par la Presse à leurs ordres.
Rien n'a changé. Rien. Les aristocrates tenaient les manants dans la précarité. Quant au clergé, par la ruse des balivernes religieuses, il entretenait leur docilité et leur soumission.
Les nouveaux rois fainéants aujourd'hui sont les politiciens, les fonctionnaires privilégiés du régime et les Francs-maçons. Leur "haut clergé" commun est la Presse officielle, servile, aux ordres, payée par les deniers publics.

A l'heure actuelle, toute récupération politicienne de la révolte des gilets jaunes se solderait par la même tromperie, le même leurre. De toute façon, soumis aux diktats de l'Union européenne, l'Etat nation ne peut déjà plus rien faire.

Plutôt que faire comme Barrabas, affronter en vain, se faire mutiler par les sbires du pouvoir - ces mercenaires-cogneurs -, les protestataires devraient s'inspirer du modèle BIBLIQUE de ce qu'est une vraie démocratie : une pyramide montante de porte-paroles par groupes de dix, de cent, de mille, de dix mille, chacun déboulonnable à tout moment, quel que soit son rang, et exerçant un vrai MINISTERE bienveillant et juste pour le bien de ceux qui leur ont donné leur confiance, en parfaite connaissance de leurs qualités morales. A commencer par celle-ci : ils sont " des hommes intègres, ennemis de la cupidité" . Exode 18 : 21.

On peut déjà rêver à l'idée de voir naître et agir ainsi le peuple nouveau dont Yéshoua est la tête.
C'est seulement sur ce principe que la démocratie libre, solidaire et fraternelle pourra voir le jour. A  condition de faire confiance au Dieu unique, seul rémunérateur de ceux qui le craignent, et de le prendre pour appui. Il va de soi que les dogmes religieux soient fermement balayés au préalable.

Certes, dans la situation actuelle de la révolte légitime des Gilets Jaunes, ceux-ci sont encore loin d'être animés par l'esprit de Yéshoua. Mais il n'empêche que par simple concertation de terrain et en conservant l'esprit d'entraide, ils sont déjà capables d'ébranler le château de cartes.
Sorties de la  base, on ne tarderait pas à voir l'impact d'actions concertées et non violentes sur ce monde inique, qui fonctionne précisément sur la base de la servitude volontaire.

Des grèves spécifiques de la consommation, motivées et conduites par des idées justes et partagées, sont de nature à bousculer quantité de situations, entretenues par ceux-là mêmes qui misent sur l'indifférence et la division entre les gens pour les asservir.

Toute organisation démocratique digne de ce nom doit se construire à partir de petits groupes, de petites assemblées qui délibérent.

Dans le domaine militaire de la défense du territoire, la Bible nous apprend que le même principe prévalait au temps du roi Ozias, (qui aimait l'agriculture) : 2 chro : 26. Chapitre à lire en entier.

Plus tard, les soldats-paysans des phalanges macédoniennes organisaient leur défense de la même façon, avec une redoutable efficacité.... 

Beaucoup plus tard, après la Révolution française, les Chouans bretons et vendéens infligeaient des pertes terribles aux troupes de la république franc-maçonne, au point qu'elles n'osaient plus s'y frotter en pénétrant dans leur territoire.  A la faveur du bocage et des chemins creux, les premiers leur tombaient dessus, armés de fourches et de fléaux...

L'Armée américaine a dû sortir du Vietnam pour n'avoir pas pu contrer ce type de résistance....


Revenons à notre temps, ce début d'année 2019 (grégorienne) - tout en nous rappelant que le vrai début d'année est le jour un de Nissan, au printemps--

Sans consultation aucune avec ses partenaires des autres états membres, sans débat parlementaire et encore moins populaire, Macron vient à lui tout seul de signer un traité bilatéral avec l'Allemagne à Aix-la-Chapelle ce mardi 22 janvier, sous les huées d'une poignée de Gilets jaunes présents, bien conscients de la forfaiture, mais impuissants et tenus à l'écart.
On a déjà compris le désir de Macron d'adosser la France à l'Union européenne en tandem avec l'Allemagne avec une vision de République européenne dans laquelle il ambitionne de jouer un rôle de premier plan.
L'opportunité qui se présente pour lui pour obtenir cette prééminence est l'affaiblissement d'Angéla Merkel en fin de règne.
Tout affairé à la convoitise de ce poste et entre deux "grands débats" bidons avec les maires, il n'a pas hésité, en signant ce traité, à inféoder la France à l'Allemagne sans en obtenir la moindre contrepartie, comme par exemple de mutualiser solidairement la dette.
Ni la Presse aux ordres, ni aucun parlementaire n'ont osé moufter, chambre et sénat confondus. Accrochés aux émoluments que leur confère leur siège, ils n'ont pas pris le risque d'en séparer leur postérieur pour se lever contre ce viol manifeste de la Constitution nationale. Grands amateurs du foie gras servi dans les restaurants de l'Assemblée Nationale et du Sénat, ils leur a paru plus sage de rester assis sur leur siège à coussin, pour y caler leurs hémorroïdes, dormir ou somnoler en digérant, s'envoyer des messages de blague ou de drague, jouer au sudoku, etc. Au mieux : phraser.

De l'air ! Qu'on respire un peu !

Ne nous leurrons pas. Il va encore en falloir du travail sur soi-même, pour préparer à ce qui vient ceux et celles qui espèrent faire partie des ouvriers de la dernière heure avant le jugement.
Malgré cet effort sur soi pour vaincre notre vieil homme, il faut admettre qu'on est loin d'être prêts. Seul l'esprit émanant de la Puissance Supérieure, lorsqu'il sera répandu sur ceux et celles qui seront appelés, les rendra capables de l'abnégation et de l'amour fraternel nécessaires à s'organiser en tant que nouveau peuple sorti de Babylone, résistant jusqu'au bout à l'interdiction qui va leur être infligée d'acheter ou de vendre. Autrement dit : de vivre,... dans ce monde qui crève.
Les 144.000 feront cela, seuls contre tous, puis seront  enfin suivis, un peu plus tard, par la grande foule, tous animés du même esprit et au prix de leur vie lorsque le diable, incarné dans la bête humaine, se retournera sur eux "pour exterminer les multitudes."  (Dan 11 : 44  ;  Apo 11 : 17 )
Au ghetto de Varsovie, on a vu partir un rabbin accompagnant tous ses petits élèves embarquer, avec le même état d'esprit et en totale connaissance de cause, dans le train qui les emmenait au camp d'extermination.
 


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