mercredi 23 mai 2012

Similitudes prophétiques entre Jean- Baptiste et les 144000 prémices.





Jean annonce l’arrivée du Messie                                 Jean crie dans le désert                                                    


Jean est sobre                                                                 


Son vêtement est en poil rugueux de                            
chameau. Il traite les religieux qui
s’approchent de : « race de vipères »



Jean termine son travail, décapité




L’esprit d’Elie anime Jean,                                                                               







Elie a dû fuir au désert et a été nourri par les corbeaux, oiseaux pillards et accapareurs, ne partageant pas leur nourriture.

L’église annonce son retour glorieux.


L’église de Yéshoua crie dans le désert des
peuples, au milieu des ténèbres et des men-
songes religieux.


L’église a peu de puissance.




Le message des témoins et de l’église, qui ont le MEME esprit,  est un langage mâle qui dérange et qui n’est pas agréablement entendu par les oreilles délicates des pasteurs pasteurisés et leurs ouailles, ni des Jébusiens superstitieux traditionnels.






Les 2 témoins qui, par leur annonce, ont suscité le rassemblement des prémices, sont finalement assassinés, somme toute comme « prophètes de malheurs » tourmentants.



L’esprit d’Elie et l’esprit de Moïse animent les deux témoins qui conduisent l’Eglise à se rassembler et à se former en Sion.
C’est le sens à donner, prophétiquement, à la vision qu’ont eue Pierre, Jacques et Jean sur le Mont Tabor.
Yéhoshoua et Zorobabel, décrits par Ezéchiel, ce sont  eux aussi. Ajoutons qu’ils sont loin d’être parfaits, puisqu’ils ont les vêtements sales
Même allégorie pour les deux pains au levain présentés à la Pentecôte.
Car les deux témoins témoignent de la NAISSANCE du Corps du Messie.




Après le meurtre des deux témoins, l’église des prémices, menacée d’extermination, devra fuir au désert, mais YHWH va obliger les impies à lui fournir assistance. Comme Il l’a fait en disposant  favorablement les Egyptiens à l’égard du peuple.  

                                                                                                                                                                                                  

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