Ci-dessus une carte du Moyen-Orient qui fait apparaître Israël entouré directement ou indirectement de pays islamiques ennemis ou, au moins, hostiles. La superficie totale de ces contrées excède 7 millions de km2 où il ne se trouva pas un seul lieu d'accueil depuis 75 ans pour les arabes qui ont fui la Palestine après avoir fait la guerre aux Juifs sous la direction du grand mufti de Jérusalem, grand copain d'Hitler. Son régiment arabe a combattu avec les nazis pendant la Shoah.
A la fin de la guerre de l'indépendance et sitôt après la proclamation de l’État d'Israël en 1948, des centaines de milliers de Juifs, expulsés quoique natifs, des pays musulmans qui n'ont pas digéré l'humiliation, ont trouvé refuge dans le pays de leurs ancêtres où, séance tenante, ils ont été intégrés au sein de la jeune nation.
Qu'on nous fasse voir par comparaison où est la solidarité musulmane depuis ces trois quarts de siècle !
Les arabes venus de Syrie, d’Égypte, de Jordanie qui vivaient en Palestine sous forme de tribus éparses, sans État, ont en réalité depuis des siècles squatté la place que les Juifs, en état de minorité opprimée, n'ont jamais cessé d'habiter en dépit de toutes les persécutions qu'ils ont subies sous les empires successifs, le dernier étant le pillard turc, qui a fait de cette terre un désert de rocailles en dévastant entre autres des forêts de chênes pour construire des chemins de fer chez lui.
Le musulman n'est pas un "fils du désert", mais son père.
Le "peuple palestinien" est une invention du KGB soviétique, une ruse finalement approuvée par le "Machin" (l'ONU) pour donner à Israël le rôle du méchant occupant de territoires arabes "occupés" et pour maintenir pendant 75 ans les palestiniens de Gaza sous statut de "réfugiés".
L'UNRWA et l'UE les subsidient comme des parasites haineux qui biberonnent la haine anti Juive depuis la naissance. Le papier se laissant écrire, leurs livres scolaires d'Histoire et de géographie ressemblent comme deux gouttes d'eau à la carte d'Israël peinte en vert qu'a exhibée dernièrement le sultan Erdogan devant la Presse propagandiste en fronçant du groin, ce qui est chez lui un signe de mauvaises intentions.
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LE POGROM DU 7 OCTOBRE.
Des fautes graves, sinon pires, ont entraîné une défaillance invraisemblable du dispositif de contrôle de la frontière avec Gaza dans LES jours qui ont précédé le 7 octobre, rendant celle-ci aveugle et sourde.
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