samedi 29 février 2020

Sortir de la Babylone des religions et des philosophies.

En quoi la vérité biblique diffère-t-elle des dogmes religieux ?
A quoi, universellement,  peut-on la reconnaître, la distinguer du reste, dans cette confusion générale ?
   A l'incapacité de ses détracteurs-contempteurs de la détruire. Ce qui ne les empêche pas de la combattre, tantôt par des arguments tirés de leurs traditions, tantôt par des arguments tirés des philosophies. Ce qui revient au même : chacune de celles-ci revêtant les aspects d'une religion pour athées.

                                      
Pourquoi, à la fin du dernier chapitre de la Révélation, dernier livre de la seconde alliance, cette finale et solennelle mise en garde est-elle lancée par l'esprit de Yéshoua, via son serviteur Jean, de n'ajouter ni retrancher un seul mot aux paroles des prophéties ?
    Pour identifier et distinguer les instigateurs du mensonge de ceux qui enseignent la saine doctrine, conduisant au salut, disciples de celui qui s'est fait connaître parmi les hommes comme étant : la chemin, la vérité et la vie.
C'est par ailleurs le même qui, pendant son ministère (Matt 5:18, Luc 16:17) a clairement exprimé que de la Loi (1ère alliance) il ne disparaîtra pas le moindre trait de lettre, jusqu'à ce que le plan divin soit entièrement accompli, à la fin des temps. ...


AH !  LE TEMPS !   : cette gigantesque illusion dans laquelle nous sommes baignés !  Cette prison à roulettes dans laquelle nous sommes enfermés tous ! (Pour encore un peu de temps )
Un phénomène dont nul ne connaît la vitesse, sujet fort étudié par les physiciens surtout, parmi eux, les incrédules.


Conformément aux paroles divines adressées au prophète Daniel en son dernier chapitre 12, quasi aucun de ces divers mouvements de pensées, religieux ou autres au travers des âges n'a, jusqu'aujourd'hui et depuis 2000 ans, daigné remettre en cause ses propres dogmes pour rechercher, avec crainte respectueuse et confiance, la vérité qui ne ment pas : apanage du seul Dieu vivant.

La connaissance de Dieu a échappé à quasi tout le monde, au point que les philosophes ont quelque peu raison d'affirmer qu'il n'existe pas, car en effet, IL EST .
"Je suis ce qui est, et qui sera" : C'est son nom .
C'est par ce mot qu’Il se fait connaître, entre autres à Moïse.

Disons-le sans ambages. Ce monde de ténèbres repose totalement sur le mensonge. Et le mensonge a pour origine le père du mensonge, l'archange déchu, nanti dès les origines du grand rôle de chérubin protecteur aux ailes déployées.
On parle ici de celui à qui la terre fut donnée et à qui ses habitants furent exposés, afin qu'en toute LIBERTÉ, celle qui fut la leur dès le jardin d’Éden, ils puissent choisir entre le bien et le mal, choisir entre l'arbre de vie et l'arbre de la connaissance.
Une sélection naturelle et spirituelle, avec le choix de devenir fils et filles, ou de Dieu, ou du malin par effet de la connaissance et de la vanité intellectuelles qui en feront finalement des tricheurs riant à la face de Dieu. Surtout depuis la révolution industrielle.

--Les croyants reconnaissent ouvertement la petitesse de leur parcours en rapport à la Loi parfaite. Ils reconnaissent le cadeau fabuleux du pardon, assuré par le sacrifice volontaire du Messie juif Yéshoua, que le Père des lumières a envoyé en son temps dans le monde.
Il fut UN avec le Père, de même nature que Lui-même en tant que Parole, mais avec un rôle et une apparence physique en tous points semblables à notre condition humaine... Ni plus, ni moins.        
...A ceux-ci donc, malgré les tribulations de pauvreté, de mépris, de privations, de persécutions et d'insultes que ce monde leur réserve, L'ASSURANCE d'entrer en jugement en comparaissant devant LUI, à la fois en tant que juste juge, mais aussi et en même temps comme avocat pour leur défense !! Puisque TOUT lui a été désormais confié, ayant à LUI SEUL parmi les multitudes, accompli la tâche que le Père lui avait donnée : vaincre le monde, ...et la mort.
 
L'amour de la vérité est la première et principale arme que Yéshoua donne à ses disciples, d'où découle leur volonté de libre découverte de la Parole de Dieu, détachée de toute doctrine autre que celle des 66 livres de la Bible. La lecture qu'ils en font est en soi une attitude de prière.
Dès lors, en réponse,, l'esprit de Yéshoua les accompagne pour leur faire découvrir les perles de ce gigantesque puzzle. Perles accessibles à ceux et celles qui lisent dans cet état moral de totale confiance.
Entre autres le calendrier qui se révèle alors à eux comme une preuve mathématique, indissociable des prophéties messianiques.

--Quant aux autres, ayant rang d'enseigner leur prochain au sein des diverses institutions religieuses ou autres écoles de pensées officielles, leur discours est soumis à la même épreuve au même choix,  en toute liberté :  
celle de retenir ou non captive une partie, petite, importante, voire totale du message unique et inchangé du Dieu vivant au profit de leur tradition ou de leur ligne de pensée.
Dès lors, la pertinence et la véracité de leur enseignement sont vérifiables en rapport à une seule référence qui, elle, est sûre à 100 %.

Supposons, au sein d'une institution religieuse, une doctrine enseignée à 90 % bibliquement conforme. La question qui se pose est : pour quelle raison les 10 % manquants sont-ils tus systématiquement ? 
Exemples : le rassemblement en Judée, la naissance de Yéshoua, sa mort un mercredi et non un vendredi, les fausses fêtes, résidus des croyances babyloniennes, etc etc
Pourquoi une partie de la vérité est-elle de la sorte maintenue captive ?
Car il ne peut s'agir d'une raison involontaire, sauf pour cause d'ignorance totale. Ce qui ne peut être le cas de la part de personnes sachant lire.
Alors, si c'est volontairement :
Est-ce par peur de s'engager,  par volonté de cacher la prophétie qui dérange ?
Est-ce à dessein, pour tromper les gens et les entraîner vers une voie de perdition ?
C'est précisément là que le mystère de l'iniquité agit puissamment, comme Paul l'exprime dans sa seconde lettre aux Thessaloniciens.
Ne nous y trompons pas, le diable est à la manœuvre, à coup de demi-vérités comme dans le jardin d'Eden. Ce n'est pas avec du vinaigre qu'on piège les mouches. 
La Parole de Dieu est une épée à deux tranchants, séparant jointures et moelle. Le temps n'est plus aux compromis ni aux demi-vérités.
Chercher l'Eternel pendant qu'il se trouve, s'imprégner du message biblique en hommes et femmes libres, sans modération. Voilà le début du travail à faire pour Sa Gloire.Avec les tribulations. Cfr
Luc 6 : 20 à 26. Amen.


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