Le constat est implacable. Et la prophétie nous fait savoir à l'avance que très brutale sera la chute, lorsqu' " une ruine soudaine" s'abattra en toute logique et en toute justice sur "les habitants de la terre".
Sur les 5994 ans qui nous séparent du moment où le cadeau fabuleux du jardin, qui est la terre et qui portait le nom d'Eden, a été confié à l'homme, il n'aura fallu que 200 ans à ce monde corrompu, en fin de course, pour le détruire entièrement, irréversiblement.
Au début du XIXème siècle, les anges technologues de Satan ont ciblé et envahi l'esprit de certains hommes choisis, appelés à jouer le rôle d'apprentis sorciers tout en portant le titre de savants.
Sous la forme d'une idée, (comme qui dirait " tombée du ciel"), ils leur ont inspiré la découverte étonnante de la force motrice qu'on peut tirer de la chaleur.
Cette énergie, cette force motrice nouvellement disponible, s'annonçait quelque 200 x supérieure à toutes celles qui avaient animé la société des hommes pendant presque 6 millénaires
à savoir : les forces musculaires humaine et animale, la force hydraulique des roues à eau actionnant moulins, scieries, forges etc, la force du vent pour les moulins et les navires à voiles.
Vers 1820 fut donc donnée aux hommes la découverte de l'équivalent mécanique de la chaleur et ses applications gigantesques.
La porte était ouverte à cette nouvelle "science appliquée", qui porte le nom de Thermodynamique, dont les premiers fondements avaient été formulés par Nicolas Léonard Sadi Carnot.
Saisis soudain d'une euphorie sans précédent, assortie des défauts humains les plus flagrants que sont la cupidité et la vanité intellectuelle, une foule de chercheurs, physiciens, mathématiciens, inventeurs, mirent leurs connaissances au service des acteurs financiers de la révolution industrielle.
Le début de la croissance exponentielle des nuisances humaines n'est donc pas antérieur aux deux derniers siècles !!
Les énergies fossiles : charbon et pétrole, cadeaux du ciel et de la terre collectifs et gratuits, préparés pendant les millions d'années de la Création pré adamique, ont soudain été livrés à la rapacité et au pillage, en tous lieux, par les grands possédants et esclaves de Mamon (principalement issus de la franc-maçonnerie), qui se sont empressés de déclarer : ceci est à moi ! (cfr J J Rousseau dans son Discours sur l'origine de l'inégalité).
L'industrie des transports, la chimie, la métallurgie, les constructions mécaniques, l'agriculture, la production d'électricité, etc , nourries par ces ressources-cadeaux considérés inépuisables, prirent un essor frénétique, contaminé par l'iniquité qui, comme toujours, règnait en maîtresse.
Les riches ayant une âme de forbans, il n'est pas étonnant que le 19ème siècle fut celui pendant lequel les ouvriers étaient ravalés au rang d'objets et précipités dans une misère noire.
Le mal était fait, le ver était dans le fruit, la mite était dans la boule de laine. L'arrêt de mort du monde était volontairement décidé par le patron lui-même de ce monde séduit, rendu complétement sourd aux mises en garde et avertissements.
Ceux-ci ont été pourtant lancés à la même époque par certains rares savants, lucides des conséquences désastreuses du Deuxième Principe de la Thermodynamique.
C'est ce deuxième principe qui introduit cette redoutable et complexe grandeur physique qu'est l'entropie, laquelle, à la température près, est une sorte de mesure de la quantité de chaleur irréversiblement dégradée dans tous ces processus.
Toujours supérieure à l'énergie utile transmise, cette énergie calorifique dégradée est perdue et rejetée dans le milieu naturel, c'est à dire l'atmosphère et les eaux.
Cette chaleur nuisible, résiduaire, cumulée, est la principale composante calorifique issue de la combustion de milliers de milliards de tonnes de combustibles de toutes sortes, solides, liquides ou gazeux depuis 200 ans. Sans oublier la chaleur perdue à hauteur de 70% dans les processus nucléaires, plus récents.
Elle n'est curieusement, jusqu'aujourd'hui, nullement prise en compte par les phraseurs scientifiques qui portent le nom pompeux de climatologues, encore moins par les industriels et moins encore par les politiciens. (Ces derniers savent-ils seulement de quoi on parle ?)
Cette réalité physique est cependant implacable. Aucune rêverie n'est possible devant le Deuxième Principe de la Thermodynamique !
Car si l'entropie du système terre est irrémédiablement amenée à augmenter, force est de reconnaître, intellectuellement, la future et inévitable destruction de la terre et ses habitants, sous forme de chaos complet !!
C'est là qu'on touche à la vraie raison pour laquelle on n'en parle pas dans ces milieux officiels, focalisés par le seul problème du gaz carbonique ou du méthane lâché par le derrière des vaches.
Car reconnaître la destruction certaine et inévitable de la terre, c'est obligatoirement devoir reconnaître sa CREATION.!!
Impensable... Surtout de la part des têtes d'oeuf, issus d'universités où la notion même de Dieu est inconnue et exposée ouvertement au ridicule.
Car cela oblige, en conséquence, à reconnaître que les comportements de pillards, sur des cadeaux gardés cachés et enfouis jusqu'au temps récent de leur découverte, étaient connus et annoncés d'avance par le Dieu Créateur.
Ce qui donne à croire que le Dieu Créateur, à un moment choisi et connu de Lui seul, a permis à Satan de tenter les hommes une dernière fois sur les choix qu'ils allaient faire. ..Et voir comment ils les assumeraient :
- soit l'usage, juste, équitable, modéré et donc durable de ces cadeaux fabuleux, source de vrai bonheur pour tous.
- ou, au contraire, un gaspillage monstrueux, injuste, criminel et dévastateur, qui nous conduit à la ruine et à la mort en l'espace de deux siècles: ce qu'on peut voir à l'oeil nu.
Voilà où nous en sommes arrivés, tous coupables, actifs ou passifs.
Pensons une seconde seulement au gaspillage insensé et criminel des emballages plastiques, ou encore à l'obsolescence programmée des produits. Gaspillage entretenu par des scélérats et leurs lobbyistes, corrupteurs de politicards. Avec au bout du tunnel une population mondiale qui va crever de faim.
Un cauchemar organisé.
N'en ajoutons plus. Reconnaissons que le jugement sur ces horreurs n'est que juste et droit.
Reconnaissons quand même que par la volonté divine et malgré les conséquencs désastreuses des choix faits par les hommes, cette révolution industrielle, prolongée par cette dernière kermesse endiablée qu'est la révolution numérique et l'intelligence artificielle, aura amené une augmentation démographique sans précédent sur la surface de tout le globe.
Elle aura permis de multiplier, au travers des malheurs qu'elles auront entrainés, le nombre d'âmes humaines prédestinées à s'inscrire volontairement et de plain pied dans le plan divin, nanties de la foi de Yéshoua, en vue de la moisson et du triage, par ses anges, du bon grain et de l'ivraie.
Que Son règne arrive ! Vite !
Sur les 5994 ans qui nous séparent du moment où le cadeau fabuleux du jardin, qui est la terre et qui portait le nom d'Eden, a été confié à l'homme, il n'aura fallu que 200 ans à ce monde corrompu, en fin de course, pour le détruire entièrement, irréversiblement.
Au début du XIXème siècle, les anges technologues de Satan ont ciblé et envahi l'esprit de certains hommes choisis, appelés à jouer le rôle d'apprentis sorciers tout en portant le titre de savants.
Sous la forme d'une idée, (comme qui dirait " tombée du ciel"), ils leur ont inspiré la découverte étonnante de la force motrice qu'on peut tirer de la chaleur.
Cette énergie, cette force motrice nouvellement disponible, s'annonçait quelque 200 x supérieure à toutes celles qui avaient animé la société des hommes pendant presque 6 millénaires
à savoir : les forces musculaires humaine et animale, la force hydraulique des roues à eau actionnant moulins, scieries, forges etc, la force du vent pour les moulins et les navires à voiles.
Vers 1820 fut donc donnée aux hommes la découverte de l'équivalent mécanique de la chaleur et ses applications gigantesques.
La porte était ouverte à cette nouvelle "science appliquée", qui porte le nom de Thermodynamique, dont les premiers fondements avaient été formulés par Nicolas Léonard Sadi Carnot.
Saisis soudain d'une euphorie sans précédent, assortie des défauts humains les plus flagrants que sont la cupidité et la vanité intellectuelle, une foule de chercheurs, physiciens, mathématiciens, inventeurs, mirent leurs connaissances au service des acteurs financiers de la révolution industrielle.
Le début de la croissance exponentielle des nuisances humaines n'est donc pas antérieur aux deux derniers siècles !!
Les énergies fossiles : charbon et pétrole, cadeaux du ciel et de la terre collectifs et gratuits, préparés pendant les millions d'années de la Création pré adamique, ont soudain été livrés à la rapacité et au pillage, en tous lieux, par les grands possédants et esclaves de Mamon (principalement issus de la franc-maçonnerie), qui se sont empressés de déclarer : ceci est à moi ! (cfr J J Rousseau dans son Discours sur l'origine de l'inégalité).
L'industrie des transports, la chimie, la métallurgie, les constructions mécaniques, l'agriculture, la production d'électricité, etc , nourries par ces ressources-cadeaux considérés inépuisables, prirent un essor frénétique, contaminé par l'iniquité qui, comme toujours, règnait en maîtresse.
Les riches ayant une âme de forbans, il n'est pas étonnant que le 19ème siècle fut celui pendant lequel les ouvriers étaient ravalés au rang d'objets et précipités dans une misère noire.
Le mal était fait, le ver était dans le fruit, la mite était dans la boule de laine. L'arrêt de mort du monde était volontairement décidé par le patron lui-même de ce monde séduit, rendu complétement sourd aux mises en garde et avertissements.
Ceux-ci ont été pourtant lancés à la même époque par certains rares savants, lucides des conséquences désastreuses du Deuxième Principe de la Thermodynamique.
C'est ce deuxième principe qui introduit cette redoutable et complexe grandeur physique qu'est l'entropie, laquelle, à la température près, est une sorte de mesure de la quantité de chaleur irréversiblement dégradée dans tous ces processus.
Toujours supérieure à l'énergie utile transmise, cette énergie calorifique dégradée est perdue et rejetée dans le milieu naturel, c'est à dire l'atmosphère et les eaux.
Cette chaleur nuisible, résiduaire, cumulée, est la principale composante calorifique issue de la combustion de milliers de milliards de tonnes de combustibles de toutes sortes, solides, liquides ou gazeux depuis 200 ans. Sans oublier la chaleur perdue à hauteur de 70% dans les processus nucléaires, plus récents.
Elle n'est curieusement, jusqu'aujourd'hui, nullement prise en compte par les phraseurs scientifiques qui portent le nom pompeux de climatologues, encore moins par les industriels et moins encore par les politiciens. (Ces derniers savent-ils seulement de quoi on parle ?)
Cette réalité physique est cependant implacable. Aucune rêverie n'est possible devant le Deuxième Principe de la Thermodynamique !
Car si l'entropie du système terre est irrémédiablement amenée à augmenter, force est de reconnaître, intellectuellement, la future et inévitable destruction de la terre et ses habitants, sous forme de chaos complet !!
C'est là qu'on touche à la vraie raison pour laquelle on n'en parle pas dans ces milieux officiels, focalisés par le seul problème du gaz carbonique ou du méthane lâché par le derrière des vaches.
Car reconnaître la destruction certaine et inévitable de la terre, c'est obligatoirement devoir reconnaître sa CREATION.!!
Impensable... Surtout de la part des têtes d'oeuf, issus d'universités où la notion même de Dieu est inconnue et exposée ouvertement au ridicule.
Car cela oblige, en conséquence, à reconnaître que les comportements de pillards, sur des cadeaux gardés cachés et enfouis jusqu'au temps récent de leur découverte, étaient connus et annoncés d'avance par le Dieu Créateur.
Ce qui donne à croire que le Dieu Créateur, à un moment choisi et connu de Lui seul, a permis à Satan de tenter les hommes une dernière fois sur les choix qu'ils allaient faire. ..Et voir comment ils les assumeraient :
- soit l'usage, juste, équitable, modéré et donc durable de ces cadeaux fabuleux, source de vrai bonheur pour tous.
- ou, au contraire, un gaspillage monstrueux, injuste, criminel et dévastateur, qui nous conduit à la ruine et à la mort en l'espace de deux siècles: ce qu'on peut voir à l'oeil nu.
Voilà où nous en sommes arrivés, tous coupables, actifs ou passifs.
Pensons une seconde seulement au gaspillage insensé et criminel des emballages plastiques, ou encore à l'obsolescence programmée des produits. Gaspillage entretenu par des scélérats et leurs lobbyistes, corrupteurs de politicards. Avec au bout du tunnel une population mondiale qui va crever de faim.
Un cauchemar organisé.
N'en ajoutons plus. Reconnaissons que le jugement sur ces horreurs n'est que juste et droit.
Reconnaissons quand même que par la volonté divine et malgré les conséquencs désastreuses des choix faits par les hommes, cette révolution industrielle, prolongée par cette dernière kermesse endiablée qu'est la révolution numérique et l'intelligence artificielle, aura amené une augmentation démographique sans précédent sur la surface de tout le globe.
Elle aura permis de multiplier, au travers des malheurs qu'elles auront entrainés, le nombre d'âmes humaines prédestinées à s'inscrire volontairement et de plain pied dans le plan divin, nanties de la foi de Yéshoua, en vue de la moisson et du triage, par ses anges, du bon grain et de l'ivraie.
Que Son règne arrive ! Vite !
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