samedi 15 décembre 2018

Toutes ces turpitudes pour le pétrole et le commerce des armes !

Le comptage des ans à l'appui des Ecritures et du cycle des Jubilés nous donne la certitude que l'année "2018", qui s'achèvera seulement au printemps prochain, porte bien le chiffre 5993.
A l'évidence, les événements mondiaux les plus menaçants accompagnés de la panique des dirigeants démoniaques sont autant de messages d'alerte, mais il est clair que le témoignage des deux oints n'a pas encore commencé.
Il ne reste qu'un peu plus d'un an à écouler jusqu'au printemps de l'année 2020 : au mois de Nissan.
C'est à partir de 2020 que les différents nombres précis de jours, (1150 - 1260 - 1290 - 1335- )prophétisés en divers passages, se placent entre les dates bibliques remarquables du vrai calendrier mosaïque.

Dans l'hypothèse qu'au printemps de cette année là commencerait vraisemblablement la dernière "semaine" de Daniel, le Dieu suprême aura donc laissé s'écouler, jusqu'au "7ème jour" millénaire, le GRAND SHABBAT , deux millénaires complets jour pour jour, depuis que Yéshoua fut glorieusement proclamé par le Père  Souverain Cohen selon l'ordre de Melkisédek, Roi des Juifs pour l'éternité, ressuscité 3 nuits et 3 jours après la mort qu'IL a soufferte et qui a fait de Lui le seul premier vainqueur de la mort

"O mort, où est ta victoire ?"

Nous, qui croyons en sa Parole, savons quels seront les deux ressuscités suivants. Cette fois, avec démonstration en plein jour...
Avec en prime une voix venant d'en haut, audible par tous et disant:
"MONTEZ ICI !". 
A ce moment précis, beaucoup de rires vont virer au jaune.

Ceci étant rappelé, parlons un peu de la mort. Car ce monde pactise avec elle depuis longtemps.
Il est encore temps de comprendre à quel point l'intérêt financier, la soif de pouvoir, la corruption, l'égo-matérialisme, l'indifférence au mal qu'on commet en ce monde, ont pourri la vie des multitudes.
C'est toujours sous l'égide des tandems politico-religieux au pouvoir et en tous lieux qu'ont été amenées ces tares mentales et destructrices,  autant dans les pays dits civilisés que dans les états voyous.
Dénominateur commun : la méconnaissance, l'ignorance et la mise aux oubliettes du Dieu suprême et désobéissance à Sa LOI, décrite, expliquée et commentée dans les 66 livres réunissant la première et la seconde Alliances. Point barre. Il n'y a pas un trait de lettre à y ajouter.

A quoi assiste-t-on à l'approche de la dernière "semaine" ?
A la diabolisation systématique d'Israël par les merdias officiels larbins, aux ordres des dirigeants poltrons des pays membres de l'Union européenne, soumis au chantage pétrolier ou, pire encore, corrompus jusqu'à la moëlle par les états voyous islamiques assis sur l'or noir .
Cette diabolisation d'Israël porte le nom d'antisionisme, terme  moralement très accepté chez les Européens, donneurs de leçons prétentieux. Terme qui s'est substitué à l'antisémitisme, véhiculé par le monde "chrétien" depuis tantôt 2000 ans.

Attention. C'est mal connaître, ou plutôt, c'est cracher impudemment sur l'avertissement prophétique solennel de la part  d'un Dieu qui fait ce qu'IL dit , (mais dont ils n'ont nulle crainte) :
"Je bénirai ceux qui te bénissent et maudirai ceux qui te maudissent".

Bien sûr, cette promesse formelle va s'appliquer dans toute sa force au peuple obéissant du temps final, le peuple à naître, qu'on n'a pas encore aperçu, jusqu'à présent.

Mais hélas ! Le peuple juif, animé et conduit par ses traditions maintenues au cours de quasi 20 siècles, a dû subir un sort bien contraire à ce qu'annonçait cette promesse prophétique.
A chaque époque, dans toutes les nations auxquelles il s'intégrait loyalement, il a été traité comme un petit chien persécuté par une bande de voyous.
Ce rejet systématique, dont la principale instigatrice est la secte romaine,  a obligé ce peuple à s'adapter sans violence pour survivre, en rendant autour de lui des services d'une utilité telle que la haine qu'on lui vouait a pu s'atténuer par étapes au fil du temps et lui donner à chaque fois du répit provisoire, jusqu'à la prochaine crise de démence, dont le sommet a été le meurtre en masse des Juifs d'Europe : la Shoa, suivie en 1947-1948 par l'expulsion des Juifs du monde arabe, dès la reconnaissance par l'ONU, presque par accident, du nouvel Etat.

Par le Dieu suprême et devant le monde entier, ce peuple-exemple a sans aucun doute été CHOISI par Lui, pour porter véritablement ses oracles jusqu'au bout de la nuit. Jusqu'à ce que vienne le Repos de toute la terre.
Ce n'est pas parce qu'il y a failli, encore et toujours selon la prophétie, que la promesse initiale s'annulera mais c'est en pleurant, comme pour le deuil d'un fils premier né, que leur réconciliation, instantanée et définitive, avec leur Seigneur éternel aura lieu. Quitte à subir le martyre une dernière fois, encore et toujours selon la prophétie.
L'Apocalypse de Jean dit clairement le sort qui va être infligé à ce peuple et à la ville sainte lorsque la curée, que préparent les goïms impies d'un monde haineux et déchainé, va fondre sur eux de toutes parts.

Cependant, si, comme il en va de n'importe quel état-nation de ce monde pourri, l'état d'Israël mérite d'être  critiqué comme mauvais exemple, le droit élémentaire de se défendre contre les centaines de millions d'ennemis mortels qui le vouent à l'extermination, lui est, +/- 20 fois par an, refusé par des résolutions iniques et imbéciles de l'assemblée générale du "machin", introduites par le lobby arabo-musulman qui pèse par le nombre et le fric. 
Cette mafia religieuse internationale corrompt grossièrement la plupart des pays soi-disant civilisés, qui votent lâchement à l'encontre et dans le rejet d'Israël.
Et c'est cette loi du plus fort, imposée par des états voyous par chantage pétrolier, qu'on a le culot d'appeler "le droit international" émanant de la "Communauté internationale".

Il y a de quoi gerber ! Mais surmontons notre nausée. On en verra d'autres, et il n'y en a plus pour longtemps.

Courage et persévérance à tous et à toutes, ("Juifs" et /ou "non Juifs" selon les critères rabbiniques mensongers), dans le parcours qui nous reste à couvrir moralement, spirituellement, pour devenir  des Hébreux, des serviteurs fidèles, vêtus et non pas nus .

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A la suite, je me permets de partager avec vous un billet de Sidney Touati.
Il décrit la déchéance étatique morale de la France, mais à laquelle parmi d'autres on peut ajouter celle de la Belgique, qui se comporte en croupion de la première, comme lêcheurs de derrières du monde islamique.
NB. La fête de Noël est mentionnée au début. Les réflexions qui s'y rapportent n'engagent que l'auteur et ne sont pour nous qu'anecdotiques, pour situer la période de l'attentat terroriste qui vient d'avoir lieu à Strasbourg. Elle ne doit pas être prise en ligne de compte sur le plan des "valeurs" de la République, car cette fête repose elle-même sur un mensonge religieux. Parmi tant et tant d'autres.

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Voici ce billet:
 Publié par Sidney Touati le 13 décembre 2018 sur le site Dreuz.

Un tueur musulman vient d’accomplir sa mission sacrée : assassiner le maximum d’impies célébrant Noël, fête abominable aux yeux de Mahomet puisqu’elle célèbre la naissance d’un (faux) fils de Dieu.

Le Coran est très clair sur ce point : Jésus est un prophète. Mahomet l’admet. Mais dire, écrire et croire qu’il est le fils de Dieu est décrit dans le Coran comme le plus grand des sacrilèges car il met en cause le dogme intangible de l’Islam, l’unicité d’Allah, Dieu non seulement unique mais total. Le Dieu des musulmans sature la totalité du sacré. Pour eux, n’y a rien de divin en l’homme. Ils s’opposent à ce qu’affirme la Bible : Dieu a créé l’homme et la femme à son image.

Le tabou absolu

S’interroger sur la démarche des tueurs islamistes est un tabou. Il suffit d’écouter ceux qui commentent et rapportent le crime. On peut tout critiquer, tout questionner, sauf l’Islam. 
Journalistes, hommes politiques, experts… ne posent jamais la question du lien des attentats terroristes avec l’Islam, lien pourtant hautement revendiqué par les tueurs.


Par ce silence, par ce manteau jeté sur les fondements du crime, le pouvoir inscrit l’islam dans le périmètre du sacré. Les ethnologues nous ont appris que toute transgression du tabou, toute profanation du sacré est punie de mort.

Nous le voyons bien. Nous le constatons. Chaque fois qu’un officiel touche à la question de l’Islam, s’approche du « tabou-Islam », la peur, voire la terreur est palpable sur son visage. Seules l’apologie et la défense inconditionnelle de l’islam sont admises par nos dirigeants.
La question est : pourquoi le crime commis au nom de l’Islam est-il intouchable et innommable pour le pouvoir ? Comment et pourquoi l’Islam est-il devenu sacré pour nos dirigeants ?

Autrement dit pourquoi le fait de nommer l’islam comme vecteur du crime terroriste serait dévastateur pour le pouvoir ? Pourquoi cette vérité « aveuglante » est-elle mortelle pour lui ?

Telle est l’énigme qu’il nous faut résoudre.

Il nous faut revenir sur la genèse de la constitution de l’état français. Deux blessures profondes le caractérisent: la défaite de juin 40 et le premier choc pétrolier de 1973.
La capitulation face à l’Allemagne nazie, suivie de l’épisode humiliant de la Collaboration, entraîne l’effondrement de l’Etat.
  
Vichy prend l’appellation officielle d’Etat Français, formule incantatoire destinée à masquer une réalité insoutenable : l’Etat n’existe plus. Demeurent les administrations, les bureaux, la machinerie affectée à la réalisation des volontés du vainqueur.
En 1945, puis en 1958, on tentera de restaurer l’Etat. On bricole l’édifice lézardé, on refait la façade. Mais l’illusion s’écroule une première fois en 1958 à Alger, puis en mai 68, quand les manifestations d’étudiants défient l’autorité de l’Etat et obtiennent gain de cause.

La soumission

En 1940, la France a tenté de se battre. Sa puissante armée est défaite en un mois. L’administration de Vichy s’adosse à l’Allemagne.
En 1973, lorsque les pays membres de l’OPEP lui déclarent la guerre en multipliant par 4 le prix du pétrole, l’idée de se battre n’effleure même pas l’esprit des dirigeants :
Valéry Giscard d’Estaing se couche immédiatement et cède a toutes les demandes des producteurs de pétrole que l’on peut résumer en quelques phrases : 
l’Etat doit participer activement à l’islamisation de la France (loi sur le rapprochement familial…) faire l’apologie de l’Islam (construction de l’Institut du Monde Arabe), devenir des prosélytes de cette religion (favoriser la construction de centaines de mosquées, endoctrinement des enfants dans les écoles publiques …) réprimer ceux qui s’opposent à cette politique (poursuites judiciaires contre ceux qui osent mettre en question l’islam, dictature de la pensée unique..) Tout subir. Tout supporter sans broncher, sans protester y compris les crimes les plus horribles (massacre des moines de Tibhiirine en Algérie, massacre de centaines de milliers de chrétiens…)

L’Etat ou ce qu’il en reste, va fonctionner, se construire dans cette relation occulte à l’Islam. Tous les appareils idéologiques d’état fonctionnent dans ce sens. Ayant renoncé à se battre, la machine administrative prend appui sur cette religion pour poursuivre sa politique désastreuse, et lui livrer la société tout entière.
 Au plan international, la France s’aligne sur les positions de l’Organisation de la Coopération Islamique. Elle participe activement à la diabolisation d’Israël, apporte un soutien sans faille à la « cause palestinienne » , parangon du terrorisme. Elle entraîne l’Europe dans cette impasse mortifère.


C’est cette vérité que les responsables veulent cacher aux Français. Les Français doivent ignorer qu’ils appartiennent à un pays qui pratique le prosélytisme islamique sur une vaste échelle, qu’ils sont sous la domination de responsables eux-mêmes radicalisés. Ces derniers n’ont-ils pas abandonné des pans entiers du territoire national et livré la population à la domination islamique ?

La trahison

La France est devenue l’un des bastions de l’islamisme.
Dernier acte de cette radicalisation de l’état bureaucratique français : la signature du pacte de Marrakech le 10 décembre 2018, lequel va donner une base morale, légale à l’islamisation du pays.
Voilà pourquoi le pouvoir refuse tout questionnement sur la cause du terrorisme islamiste. La vérité serait dévastatrice pour lui, qui s’est construit et fonctionne sur une invraisemblable succession de mensonges destinés à masquer qu’il est devenu un rouage essentiel dans l’islamisation du pays, dans la défense de l’Islam politique. La France n’est-elle pas le meilleur allié de l’Iran ? Du Qatar et autres ? ? ! !
N’est-elle pas en train de sacrifier son peuple sur l’autel de l’Islam ? ? ! !
Entre protéger l’image de l’Islam et le peuple français, nos dirigeants ont choisi : l’Islam d’abord.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.

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 PS
NDLR  Merci Mr Touati, pour la grande lucidité de cet article.
Tout pays qui devient de plus en plus antisémite ne mérite pas d'autre sort ni avenir que ce qu'on entrevoit aujourd'hui qui arrive : le déchainement de la révolte, le flot de mécontentement montant de toutes les couches sociales (excepté les politiciens, phraseurs de gauche, phraseurs de droite (sans droiture ! ) dont le train de vie orgiaque et méprisant suscite une colère qui peut dégénérer en guerre civile. Au moins au chaos. Résultat désolant de sottises et d'iniquités politiques accumulées par 7 présidents depuis de Gaulle sans oublier, en remontant encore dans le temps, la méchanceté et la sottise militaire de l'Etat-Major pendant l'affaire Dreyfus, suivie de peu par la guerre de 14-18 (la meilleure !) dont on a le culot de célébrer l'armistice, imposé par des imbéciles pour préparer le tapis rouge à celle de 40-45. Stop. La moutarde me monte au nez.
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