lundi 19 juin 2017

En Marche ! Les humiliés du souffle ! (Matt 5 : 2, version Chouraqui)

Ne soyons pas effrayés par les dates à mesure que le temps approche. Laissons la peur, ainsi que bien d'autres pensées parasites au diable et à ses légions qui, eux, ont de bonnes raisons de trembler alors qu'approche la fin de l'horreur économique mondiale qu'ils ont inspirée et orchestrée.

Vu qu'ils savent leur jugement venir à grands pas, ils vont tout faire dans les derniers temps pour masquer, moquer, dissimuler et noyer la vérité biblique sous un déluge de ruses, de diversions, de démentis scientifiquement argumentés. Tout çà pour rassurer faussement les esprits malléables et faire croire que les événements apocalyptiques sont pure invention de complotistes demeurés, ou du moins seront reportés à une date ultérieure. D'où l'endormissement des vierges. Autant les sages que les folles.

C'est au prochain printemps, au dixième jour du mois de Nissan de l'année biblique 5993 que, selon le comptage du temps communiqué par la Parole du Dieu vivant qui est la Bible,  commenceraient les 1260 jours du témoignage qui sera adressé au monde esclave de Satan par les deux oints, les deux derniers prophètes choisis par Yéshoua. Ils adresseront un ultime et sévère avertissement à toutes les nations pendant 3 ans et demi, soit la moitié des sept dernières années, autrement dit de la dernière "semaine" prophétique de Daniel.

Le compte à rebours des 1260 jours qui leur seront impartis se termine à la veille du Zikhron Troua, premier jour du 7ème mois 5996. Cette date correspond au mardi 7 septembre 2021 selon le calendrier de la mode vaticane, ou encore au" rosh ha shana" 5781, nouvelle année rabbinique et talmudique.

La précision prophétique nous apprend que c'est à ce moment qu' ils seront assassinés à "Sodome et Egypte" : terme employé par Yéshoua, le Roi des Juifs Lui-même, pour désigner la capitale de l'état-nation, qualifié étonnamment de "juif et démocratique" par son roi actuel et sa cour politicienne.
Ceci implique qu'une collaboration active du monde juif politico-religieux traditionnel sera accordée à la bête pour que ce crime soit perpétré.

Remarquons que jusqu'à ce jour, malgré des décennies d'élucubrations politico-religieuses, PERSONNE n'a pu répondre, d'une manière universelle et incontournable, donc acceptable par tout un chacun à la question qui taraude la Cour suprême de l'Etat d'Israël: QUI EST JUIF ?
A ceux qui se cassent la tête depuis des siècles sur cette question, il est chaudement recommandé de se pencher sur les textes de la Nouvelle et seconde Alliance (aussi vrai qu'il y avait deux tables de la Loi) avec, comme disposition d'esprit préalable, l'amour de la vérité. Chose rare dans le monde des religions...

Pour ne prendre qu'un texte parmi tous les autres : l'épître au Hébreux, rien que les deux premiers chapîtres. A lire en pesant bien les mots, tout en faisant les connexions avec les passages de la première Alliance, de la Genèse à Malachie.
A moins d'être engoncé dans l'un ou l'autre des carcans religieux, on ne peut que crier AMEN !
En quatorze phrases, la Parole divine instruit plus que des tonnes de volumes et des millions de pages écrites par des savants négationnistes.

Mais revenons à la veille du Zikhron Troua, Mémoire d'Ovation (selon la traduction Chouraqui).
Par le meurtre délibéré des deux témoins de Yéshoua : on aura touché à la prunelle de son oeil.

Aussi vrai que les murailles de Jéricho se sont effondrées pour la faire entrer en jugemnt au début du septième tour de la ville par les enfants d'Israël (après six tours silencieux), le peuple nouveau-né rassemblé en Judée fera lui aussi la Troua, au signal donné par les shofars. Il poussera une clameur de 144.000 gosiers en ce premier jour du septième mois, puis sortira de la ville : fuite sans précipitation en direction du désert de Judée, au milieu des réjouissances des impies, tout heureux et satisfaits d'en avoir fini avec ces deux prophètes de malheur. Les témoins seront interdits d'enterrement, par défi et en guise de bravade la face du Tout Puissant. 
L'abomination ayant été commise, il ne reste plus que le jugement. L'épouse fuit vers son lieu préparé par Yéshoua.

10 jours encore et ce sera l'Expiation. -jours appelés dangereux par la tradition rabbinique. Et pour cause.- Le monde va expier, à commencer par la grande foule, laquelle va préférer la mort, l'extermination, que se soumettre à la servitude du malin, dont la bête (homme) est l'incarnation absolue. 

Ici s'accomplira la signification prophétique des deux boucs de la fête des Expiations.
L'église de Yéshoua, le peuple nouveau-né est le bouc émissaire, ayant crié à YHWH pendant la Troua, il aura aussi intercédé pour les coupables. C'est l'épouse, pas encore formée ni circoncise du coeur, qui est accompagnée et poussée par l'esprit de Yéshoua vers le désert, via la vallée d'Accor, allégoriquement destinée à accueillir "le gros bétail". Elle est aussi appelée porte d'espérance. C'est le chemin inverse de celui emprunté par les enfants d'Israël lors de leur entrée en terre de Canaan sous la conduite de Josué (Yéhoshoua).

 Le deuxième bouc est sacrifié et devra verser son sang. C'est la grande foule, parmi laquelle figurent en premier lieu les Juifs qui, à la résurrection des deux témoins, reconnaissent enfin leur Seigneur, qui leur ouvre les yeux et l'esprit. Ils pleureront sur LUI comme au deuil d'un fils premier-né.

Lire Apocalypse 11 et 12, qui racontent (en partie) la suite des événements. N'oublions pas que la Bible est un puzzle de passages à connecter et à rassembler pour que l'image soit complète et qu'il ne manque rien à l'édifice spirituel.

J'en viens maintenant au but de cet article, qui comporte d'ailleurs beaucoup de redites déjà écrites dans le texte de l'enquête de base et dans nombre de billets à sa suite.
C'est à propos de la peur, bien humaine, qui nous guette tous et toutes à mesure que les événements mondiaux empirent de jour en jour,  où on voit des peuples entiers soumis à une servitude totale par les puissances financières, dont le but final est de ramasser la terre entière, populations comprises.
La peur augmente aussi à la vue de la vitesse avec laquelle le cadeau fabuleux du milieu de vie est dévasté par les péchés des hommes asservis, dont les cellules du cerveau ne fonctionnent plus qu'au service de la cupidité, moteur infatigable du monde des affaires.
Parmi les affaires juteuses, les premières sont bien entendu les guerres, toutes organisées, planifiées. Elles sont avant tout une industrie, dont les morts sont les résidus de production.

Il faut, avec calme, accepter l'idée que la terre entière va mourir, comme un corps vivant qui doit subir ce sort pour l'accomplissement de l'annonce solennelle de YHWH dans la première phrase du livre de Tsfania (Sophonie).
On comprend alors que les actions vilaines et séculaires des hommes, qui vont amener la destruction totale de notre vaisseau cosmique, sont endossées, prises en charge de responsabilité réparatrice par le Dieu Créateur Lui-même qui va faire voir aux hommes, du fond de leurs détresses et de leurs ténèbres les plus noires Sa puissance et Sa gloire se manifester dans un nouvel acte de création pour rendre l'Eden à ses serviteurs.

Que peuvent donc nous faire les hommes quand on tient pour certaine cette promesse formelle, de la part d'un Dieu qui ne ment pas comme un religieux traditionnel sectaire ou un politicien professionnel,  pas plus qu'Il n'a menti dans le passé ?
Ainsi que nous le rappelle Jacques (Yacov) un des frères de Yéshoua. A savoir que, comme pour toute autre grâce ou don demandés, vaincre la peur humaine n'est donné dans ces temps mauvais que par la prière humble, comme celle du publicain.
La démonstration sublime a été faite au mont des oliviers par Yéshoua, seul avec le Père, qui semblait l'abandonner en compagnie de disciples endormis. Le calme qui lui a été donné à la suite de ses supplications pour subir jusqu'au bout ce sort, livré au diable, seul contre tous, est l'exemple magistral de ce dont on parle ici: vaincre la peur humaine.
  
Que le secours de Notre Seigneur et Maître vous soit donné à vous tous, exposés pour un temps et à cause de la Parole, à l'adversité, la moquerie, l'opprobre, voire la haine et le rejet, même des proches, tout en vous rappelant quelles ont été l'adversité et la haine sans cause concentrées en son temps sur sa personne, en tant que Fils. 





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