En ce dernier jour de la Pâque 2016, l'occasion nous est offerte de méditer un peu sur la loi des sacrifices, transcendée magistralement par notre Messie Sauveur Yéshoua dans la mort qu'Il a soufferte pour nous, volontairement, donnant Sa vie pour la reprendre ensuite éternellement, pour les siècles des siècles.
Je vais peut-être en choquer quelques uns avec un article titré pareillement au livre de Salman Rushdie, qui a valu à son auteur une menace permanente de mort, de la part des disciples de Mahomet...
Dans ce qui suit, il n'est pas question de confirmer l'évidence que le Coran est d'inspiration satanique de a à z, mais de contribuer à la saine compréhension des parties dérangeantes de la Torah elle -même.
Or avouons-le, ces parties dérangeantes, voire aberrantes, nous ont tous taraudé l'esprit au cours de nos lectures bibliques.
Cette pensée m'est tombée dessus à l'occasion de cette Pâque 2016. Un frère en Yéshoua m'avait envoyé un courrier sur la "Pâque" des Samaritains, minorité vivant en Israël dans les territoires palestiniens, qui célèbrent au quatorzième jour du premier mois leur "Pâque" sous forme de sacrifices multiples de dizaines voire de centaines de moutons et chèvres qu'ils font cuire au feu dans un barbecue géant.
Les photos de ces réjouissances euphoriques, collectives, sanglantes et carnivores m'ont laissé imaginer ce à quoi ressemblerait une reconstruction physique d'un temple juif à l'identique de celui d'Hérode, qui fonctionnerait à nouveau et à grande échelle comme ce fut le cas à l'époque messianique : un abattoir géant, une industrie de la viande sur fond religieux, voire fanatique par la mise en application, à la lettre et avec zèle, des parties sanguinolentes de la Première Alliance.
La question est de comprendre les raisons pour lesquelles apparaissent dans l'Ecriture Sainte des contradictions flagrantes, choquantes, même révoltantes, qui ont eu pour effet (voulu) de mettre en doute la bonté de Notre Père Céleste Créateur du ciel et de la terre.
Jusqu'à faire en sorte d'éloigner une multitude de gens du chemin qui mène à Sa vérité immuable.
Or là précisément est le but sans cesse poursuivi par le diable, notre accusateur, l'insulteur et le moqueur qui a accès jusqu'à présent au trône céleste, devant notre famille divine: Notre Père céleste et le Verbe, Sa Parole puissante, Yéshoua assis à Sa Droite.
Nous avons tous déjà compris, notamment par Ézéchiel 28, que YHWH avait confié au chérubin protecteur la mission d'accompagner l'homme, apprenti fils de Dieu, dès l'apparition d'Adam dans le jardin d'Eden.
Nous avons aussi compris et admis que la Loi parfaite et prophétique comporte un avertissement sévère : il n'y aura de pardon sans effusion de sang.
Le premier sacrifice d'animaux dut d'ailleurs être fait par l’Éternel lui-même au jardin d’Eden après qu'Adam et Ève, ayant goûté des fruits de l'arbre de la connaissance intellectuelle (Satan) l'ont préféré à l'arbre de Vie (la Parole de YHWH) et sont devenus rusés et dissimulateurs devant les faces de leur Père Créateur.
C'est avec les peaux des animaux sacrifiés qu'Il les vêtit pour couvrir leur "nudité" physique et surtout morale - nudité est un mot synonyme de ruse en Hébreu.
Mais revenons aux questions qui nous ont taraudés et qui nous taraudent encore.
Comment concevoir qu'un Dieu d'amour qui ne ment point qui ne se repent point, qui ne change pas d'avis, puisse exiger d'une part des pratiques sanguinaires pour les sacrifices réparateurs et d'autre part annoncer qu'il redemandera le sang de l'animal ?
Comment ce même Dieu peut-il ordonner que coule le sang tout en déclarant par ailleurs qu'Il n'a rien à faire du sang des boucs ni de la graisse des béliers ? Et que s'Il avait faim, Il ne nous le ferait pas savoir vu qu'Il a toute créature et toute chose dans ses mains?
Par ailleurs, Il fait dire à Shlomo dans l’Ecclésiaste qu'Il n'y a aucune supériorité de l'homme sur l'animal car ils vont l'un et l'autre vers le même lieu.
Citons en outre et plic ploc quelques autres ordonnances aberrantes telles que la lapidation des femmes adultères,
ou encore l'autorisation d'exploiter et battre son esclave (exode 21 : 20 et 21),
ou encore l'autorisation de presser l'étranger (Deut 15.3), de le rouler dans la farine...
ou de passer par le fil de l'épée hommes, femmes, enfants, vieillards et animaux compris, etc etc.
Nous voyons que de telles ordonnances, par ailleurs contredites par d'autres qui leur sont contraires et ce, même sous la première Alliance, sont de nature à faire douter l'homme de la cohérence de l'unicité de pensée et de la bonté de YHWH.
Les réponses à ces questions sont encore une fois contenues dans la Sainte Ecriture elle-même, sous forme dispersée comme les pièces d'un puzzle, selon ce qui est écrit : "la vérité est un peu ici, un peu là".
C'est encore ici que le discernement est indispensable pour trier avec esprit les pièces du gigantesque puzzle qu'est la Bible.
Avant de se faire lapider, Etienne rend un témoignage complet et vrai, à la fin duquel il rappelle et nous apprend que la Torah a été écrite et communiquée aux hommes non pas par Moshé (sinon il ne parlerait de lui à la troisième personne) mais par des anges.
Ceci suppose des anges de YHWH mais aussi des anges de l'Archange Satan, du Chérubin protecteur.
Comme Il le fait à l'égard des hommes, auxquels il a osé donner le pouvoir de faire le mal, de s'entre détruire et même de détruire la terre YHWH a donc laissé à une partie des anges le libre arbitre d'interférer dans la rédaction et la communication de la feuille de route, jusqu'à pervertir une partie de la Torah par leur zèle amer.
Et pourtant, de cette Loi, il ne disparaîtra pas une lettre jusqu'à ce que tout soit achevé.
Pour un temps imparti, ces choses sont acceptées par YHWH, qui nous permet de choisir en toute liberté et avec discernement ce qui est bien et ce qui est mal.
S'adressant à Moshé, il lui dit : "Je mets devant toi le bien et le mal." (De cela, certains en concluraient que YHWH est à la fois porteur du bien et du mal)
Pour ces raisons, le Messie Yéshoua fils d'homme a dû, au prix d'un travail pénible sur Lui-même (psaume 73) sonder l'Ecriture et savoir finalement rejeter le mal et choisir le bien (Esaïe 7 : 14 et 15)
C'est pourquoi, Yéshoua, enseignant ses disciples et reprenant ses adversaires, a déclaré à maintes reprises : "Vous savez qu'il a été écrit ceci... mais moi, je vous dis cela..."
C'est pourquoi, sachant discerner ce qui était vrai, prophétique et prémonitoire dans les dispositions de la Torah concernant la Pâque, Yéshoua comprend qu'il est question de Lui seul (psaume 40) et que c'est avec Son propre sang qu'Il va devoir accepter de se faire l'Agneau du sacrifice devant le boucher, jouant le jeu de la Torah même pervertie par les anges du diable.
Il accepte d'être l'Agneau dont Satan se révèle être le tueur.
Au paroxysme de la tentation, lors de Sa comparution devant Pilate, Satan, qui parle par Pilate, lui rappelle qu'il a le pouvoir de le relâcher ou de le faire mourir.
Yéshoua répond tout d'abord à Satan :
"Tu n'aurais sur moi aucun pouvoir s'il ne t'avait été donné d'en haut". Puis, dans la lancée, à Pilate : "C'est pourquoi celui qui me livre à toi commet un plus grand péché"....
-c'est en entendant ces mots que Pilate commence à avoir les chocottes-
Animé d'un zèle amer, cruel et vengeur, l'archange déchu, jaloux de l'homme et sachant la future nature promise par YHWH à ceux qui Le craignent, ne cesse de Le défier (Job 1) en accusant et en réclamant réparation sanglante à toute transgression de la Loi, pervertie par lui-même et synonyme de mort.
Le diable cite l'Ecriture pour ses fins. D'où le titre de cet article.
A ce stade de la réflexion, il est devenu aisé de comprendre qu'au regard de la Loi et sans le discernement spirituel que donne l'adhésion à la Nouvelle Alliance par le sang de Yéshoua, les hommes agissent et continueront d'agir, les uns en faisant le bien, les autres en faisant le mal selon l'interprétation que leur bonne disposition d'esprit ou, au contraire, le levain de leur mauvais penchant, leur suscitera.
La bonté de YHWH est tellement grande, le sacrifice de Yéshoua, Sa Parole faite chair, est tellement parfait que la rédemption et la miséricorde qu'Il nous accorde s'étendront jusqu'à couvrir les fautes qui seront encore commises pendant le shabbat millénaire, figuré par ce dernier et septième jour des Azymes.
Bonne route à tous et toutes pour cette année nouvelle, sous le regard de notre famille divine qui va juger le monde avec équité.
Je vais peut-être en choquer quelques uns avec un article titré pareillement au livre de Salman Rushdie, qui a valu à son auteur une menace permanente de mort, de la part des disciples de Mahomet...
Dans ce qui suit, il n'est pas question de confirmer l'évidence que le Coran est d'inspiration satanique de a à z, mais de contribuer à la saine compréhension des parties dérangeantes de la Torah elle -même.
Or avouons-le, ces parties dérangeantes, voire aberrantes, nous ont tous taraudé l'esprit au cours de nos lectures bibliques.
Cette pensée m'est tombée dessus à l'occasion de cette Pâque 2016. Un frère en Yéshoua m'avait envoyé un courrier sur la "Pâque" des Samaritains, minorité vivant en Israël dans les territoires palestiniens, qui célèbrent au quatorzième jour du premier mois leur "Pâque" sous forme de sacrifices multiples de dizaines voire de centaines de moutons et chèvres qu'ils font cuire au feu dans un barbecue géant.
Les photos de ces réjouissances euphoriques, collectives, sanglantes et carnivores m'ont laissé imaginer ce à quoi ressemblerait une reconstruction physique d'un temple juif à l'identique de celui d'Hérode, qui fonctionnerait à nouveau et à grande échelle comme ce fut le cas à l'époque messianique : un abattoir géant, une industrie de la viande sur fond religieux, voire fanatique par la mise en application, à la lettre et avec zèle, des parties sanguinolentes de la Première Alliance.
La question est de comprendre les raisons pour lesquelles apparaissent dans l'Ecriture Sainte des contradictions flagrantes, choquantes, même révoltantes, qui ont eu pour effet (voulu) de mettre en doute la bonté de Notre Père Céleste Créateur du ciel et de la terre.
Jusqu'à faire en sorte d'éloigner une multitude de gens du chemin qui mène à Sa vérité immuable.
Or là précisément est le but sans cesse poursuivi par le diable, notre accusateur, l'insulteur et le moqueur qui a accès jusqu'à présent au trône céleste, devant notre famille divine: Notre Père céleste et le Verbe, Sa Parole puissante, Yéshoua assis à Sa Droite.
Nous avons tous déjà compris, notamment par Ézéchiel 28, que YHWH avait confié au chérubin protecteur la mission d'accompagner l'homme, apprenti fils de Dieu, dès l'apparition d'Adam dans le jardin d'Eden.
Nous avons aussi compris et admis que la Loi parfaite et prophétique comporte un avertissement sévère : il n'y aura de pardon sans effusion de sang.
Le premier sacrifice d'animaux dut d'ailleurs être fait par l’Éternel lui-même au jardin d’Eden après qu'Adam et Ève, ayant goûté des fruits de l'arbre de la connaissance intellectuelle (Satan) l'ont préféré à l'arbre de Vie (la Parole de YHWH) et sont devenus rusés et dissimulateurs devant les faces de leur Père Créateur.
C'est avec les peaux des animaux sacrifiés qu'Il les vêtit pour couvrir leur "nudité" physique et surtout morale - nudité est un mot synonyme de ruse en Hébreu.
Mais revenons aux questions qui nous ont taraudés et qui nous taraudent encore.
Comment concevoir qu'un Dieu d'amour qui ne ment point qui ne se repent point, qui ne change pas d'avis, puisse exiger d'une part des pratiques sanguinaires pour les sacrifices réparateurs et d'autre part annoncer qu'il redemandera le sang de l'animal ?
Comment ce même Dieu peut-il ordonner que coule le sang tout en déclarant par ailleurs qu'Il n'a rien à faire du sang des boucs ni de la graisse des béliers ? Et que s'Il avait faim, Il ne nous le ferait pas savoir vu qu'Il a toute créature et toute chose dans ses mains?
Par ailleurs, Il fait dire à Shlomo dans l’Ecclésiaste qu'Il n'y a aucune supériorité de l'homme sur l'animal car ils vont l'un et l'autre vers le même lieu.
Citons en outre et plic ploc quelques autres ordonnances aberrantes telles que la lapidation des femmes adultères,
ou encore l'autorisation d'exploiter et battre son esclave (exode 21 : 20 et 21),
ou encore l'autorisation de presser l'étranger (Deut 15.3), de le rouler dans la farine...
ou de passer par le fil de l'épée hommes, femmes, enfants, vieillards et animaux compris, etc etc.
Nous voyons que de telles ordonnances, par ailleurs contredites par d'autres qui leur sont contraires et ce, même sous la première Alliance, sont de nature à faire douter l'homme de la cohérence de l'unicité de pensée et de la bonté de YHWH.
Les réponses à ces questions sont encore une fois contenues dans la Sainte Ecriture elle-même, sous forme dispersée comme les pièces d'un puzzle, selon ce qui est écrit : "la vérité est un peu ici, un peu là".
C'est encore ici que le discernement est indispensable pour trier avec esprit les pièces du gigantesque puzzle qu'est la Bible.
Avant de se faire lapider, Etienne rend un témoignage complet et vrai, à la fin duquel il rappelle et nous apprend que la Torah a été écrite et communiquée aux hommes non pas par Moshé (sinon il ne parlerait de lui à la troisième personne) mais par des anges.
Ceci suppose des anges de YHWH mais aussi des anges de l'Archange Satan, du Chérubin protecteur.
Comme Il le fait à l'égard des hommes, auxquels il a osé donner le pouvoir de faire le mal, de s'entre détruire et même de détruire la terre YHWH a donc laissé à une partie des anges le libre arbitre d'interférer dans la rédaction et la communication de la feuille de route, jusqu'à pervertir une partie de la Torah par leur zèle amer.
Et pourtant, de cette Loi, il ne disparaîtra pas une lettre jusqu'à ce que tout soit achevé.
Pour un temps imparti, ces choses sont acceptées par YHWH, qui nous permet de choisir en toute liberté et avec discernement ce qui est bien et ce qui est mal.
S'adressant à Moshé, il lui dit : "Je mets devant toi le bien et le mal." (De cela, certains en concluraient que YHWH est à la fois porteur du bien et du mal)
Pour ces raisons, le Messie Yéshoua fils d'homme a dû, au prix d'un travail pénible sur Lui-même (psaume 73) sonder l'Ecriture et savoir finalement rejeter le mal et choisir le bien (Esaïe 7 : 14 et 15)
C'est pourquoi, Yéshoua, enseignant ses disciples et reprenant ses adversaires, a déclaré à maintes reprises : "Vous savez qu'il a été écrit ceci... mais moi, je vous dis cela..."
C'est pourquoi, sachant discerner ce qui était vrai, prophétique et prémonitoire dans les dispositions de la Torah concernant la Pâque, Yéshoua comprend qu'il est question de Lui seul (psaume 40) et que c'est avec Son propre sang qu'Il va devoir accepter de se faire l'Agneau du sacrifice devant le boucher, jouant le jeu de la Torah même pervertie par les anges du diable.
Il accepte d'être l'Agneau dont Satan se révèle être le tueur.
Au paroxysme de la tentation, lors de Sa comparution devant Pilate, Satan, qui parle par Pilate, lui rappelle qu'il a le pouvoir de le relâcher ou de le faire mourir.
Yéshoua répond tout d'abord à Satan :
"Tu n'aurais sur moi aucun pouvoir s'il ne t'avait été donné d'en haut". Puis, dans la lancée, à Pilate : "C'est pourquoi celui qui me livre à toi commet un plus grand péché"....
-c'est en entendant ces mots que Pilate commence à avoir les chocottes-
Animé d'un zèle amer, cruel et vengeur, l'archange déchu, jaloux de l'homme et sachant la future nature promise par YHWH à ceux qui Le craignent, ne cesse de Le défier (Job 1) en accusant et en réclamant réparation sanglante à toute transgression de la Loi, pervertie par lui-même et synonyme de mort.
Le diable cite l'Ecriture pour ses fins. D'où le titre de cet article.
A ce stade de la réflexion, il est devenu aisé de comprendre qu'au regard de la Loi et sans le discernement spirituel que donne l'adhésion à la Nouvelle Alliance par le sang de Yéshoua, les hommes agissent et continueront d'agir, les uns en faisant le bien, les autres en faisant le mal selon l'interprétation que leur bonne disposition d'esprit ou, au contraire, le levain de leur mauvais penchant, leur suscitera.
La bonté de YHWH est tellement grande, le sacrifice de Yéshoua, Sa Parole faite chair, est tellement parfait que la rédemption et la miséricorde qu'Il nous accorde s'étendront jusqu'à couvrir les fautes qui seront encore commises pendant le shabbat millénaire, figuré par ce dernier et septième jour des Azymes.
Bonne route à tous et toutes pour cette année nouvelle, sous le regard de notre famille divine qui va juger le monde avec équité.