2014 (5989), mille neuf cent dix-neuf ans se sont passés
depuis que l’apôtre Jean, sous la dictée de Yéshoua, écrivit le dernier livre
de la Bible : l’Apocalypse, la Révélation des choses qui doivent arriver
bientôt.
Or, voici qu’après bien des détours, la Science moderne nous confirme, mais un peu tard, ce que ce livre
nous avait fait connaître longtemps d’avance.
Ces derniers
temps, avec des accents alarmistes, les
climatologues et autres fonctionnaires scientifiques débattent de sommet en
colloque et de séminaire en symposium
sur les catastrophes présentes et à venir liées au réchauffement climatique.
Tout ce petit monde d’experts, transportés par voie
aérienne, réunis et logés à grands frais, en est arrivé (avec 95 % de certitude scientifique) que le
bouleversement des climats est attribuable aux activités humaines. Fichtre !
Il va de soi que pour garder leur siège dans ces
conférences, il convient de ne pas crier gare à pleins poumons, de ne
pas accuser ni bousculer trop fort la monstruosité consumériste ; d’où leur tiède prudence d’incriminer aussi la pétomanie
des vaches. Faut-il rire ou en
pleurer ?
Que de détours, de perte de temps, de gaspillage d’énergie,
de papier, de salive et de matière grise pour découvrir scientifiquement ce qui
était censé nous avertir depuis 1920
ans.
Tout commun des mortels qui lit la Bible en tenant pour
vraies les Paroles entières de notre Seigneur Yéshoua au travers des deux
alliances, doit s’interroger sur l’utilité douteuse autant que coûteuse de ces
débats de spécialistes en réunionite.
Lisant le message biblique, il apprend de la part de Celui
qui a tout vu d’avance et qui l’a fait
savoir à Ses serviteurs (prophètes et apôtres) que le chaos final provoqué par
« ceux qui détruisent la terre » ne sera pas une partie de
plaisir.
Déjà depuis Moïse l’avertissement était solennel, en
prenant à témoins le ciel et la terre.
Peine perdue. L’homme au cou raide ne se laisse pas
avertir facilement.
Un constat : mieux vaut parler à un mur qu’à un monde séduit.
Plus rapidement et plus simplement que ces experts, découvrons
donc, sans perte de temps ni dépenses
monstrueuses en kérosène, quelques exemples des catastrophes qui accompagneront
la fin brutale de ce monde par une « ruine soudaine », qui
surviendra en pleine euphorie : c’est-à-dire lorsqu’on criera « paix
et sécurité ! » et que les chefs d’Etats s’enverront des cadeaux
après l’exécution des deux témoins, qui leur auront fait entendre et sentir des
choses désagréables, à commencer par la vérité biblique une et inchangée.
Citons quelques -unes des plaies qu’il va falloir subir.
Par exemple : le
dernier des sept fléaux : « une grêle dont les grêlons pèseront un
talent» (1 talent = 49,2 kg !!)
Autre désagrément aussi, et de taille, lorsque de nombreux hommes « rendront
l’âme au bruit de la mer et des flots ». (Tsunamis
gigantesques)
Ce ne sera pas plus rigolo lorsque « ceux qui
affectionnaient des mets délicats se battront pour embrasser des
fumiers » (bouffer de la m…).
Quoi d’étonnant
puisque « plus aucun être vivant ne sera plus trouvé dans la mer », ni dans les eaux douces, « devenues
amères » et « couleur
de sang. »
Quant à la terre émergée, ce jardin jadis merveilleux, de ce
« jardin de délices, ils en ont fait un désert ». Etc. etc.
Mais rassurons-nous ! Non pas à coup de
raisonnements d’autruche ni d’optimisme
béat, propres aux nantis et privilégiés de ce monde qui, désirant que ça dure encore longtemps, en arrivent à se
mentir à eux-mêmes, mais plutôt en la promesse de Notre Créateur, du Seul qui
n’a jamais menti.
Pour ceux qui ont du discernement, les premiers mots du
livre de Tsfania (Sophonie) font comprendre que le Tout Puissant, dans Sa
grande Bienveillance, endosse pour Lui-même et à l’avance la responsabilité de la
destruction totale que notre engeance va perpétrer sur la terre ; comme si
Lui-même pouvait être la source de tous ces
malheurs qui viennent !!! (Ce que
croient entre autres les musulmans, imprégnés qu’ils sont de la nature plutôt
haineuse de leur idole Allah).
Non. YHWH va
renouveler toutes choses selon Sa
promesse, par un nouvel acte de création, un nouvel Eden terrestre, après que
les hommes auront bu jusqu’à la lie le vin de leurs sottises religieuses et
scientifiques, s’étant pris pour des
petits dieux, ayant rejeté « l’arbre de Vie » au profit de « l’arbre
de la connaissance ».
Ils auront investi toute leur confiance dans les moyens
impressionnants que leur pseudo science leur a donnés, à 100% oublieux qu’ils ne sont que des hommes,
avec un sort égal à celui des bêtes, lesquelles au moins, ont l’humilité de
crier à YHWH lorsqu’elles ont faim…
« Homme, libre penseur ! Te crois-tu seul pensant dans ce monde où la
VIE éclate en toutes choses ?? »… (G. de Nerval)
Courage et persévérance aux nobles de la terre, qui vont
s’inscrire comme citoyens de l’Israël de YHWH et sujets de Yéshoua , qui vont
diriger leurs pas vers la porte étroite, en dépit des moqueries de l’insulteur
qui trône sur l’autoroute de la perdition et dont les jours sont comptés.
C’est pourquoi il tremble, lui et ses anges.
Les signes de leur nervosité se voient à ce qui se passe
un peu partout, religieusement parlant, dans les conflits qui éclatent un peu
partout, entre nations, entre religions, entre les personnes, même au sein d’une même famille, voire d’une même
assemblée de croyants où on est censé
partager les mêmes espérances.