N'écoutez pas les faux prophètes !

Conditions à respecter, de la part de tout étudiant de la Bible, pour dégager d’une prophétie une explication logique, compréhensible  et généralement acceptée.

1. Avant tout, croire que YHWH existe et est capable de nous ouvrir l’esprit par Yéshoua si nous le lui demandons. Pour ce faire, élever une prière humble et sincère et non une récitation mécanique, propre aux superstitieux.

2. Aborder le texte hébraïque original sans vouloir donner aux mots plusieurs significations différentes,  notamment sous prétexte de l’homonymie des racines. La Parole de Notre Père céleste est comme Lui : UNE, sans compromis.  Et Sa vérité est une épée à deux tranchants, qui sépare sans ambiguïté le vrai du faux.

3. Examiner ce que les traducteurs juifs et chrétiens ont fait du texte et des mots d’origine pour les adapter à leur mode  (tradition) et ne pas hésiter à se nettoyer l’esprit de l’ habitude de penser selon  les enseignements  reçus ; chose très  malaisée pour le plus grand nombre.  Contrairement aux religieux mercenaires professionnels, YHWH nous donne la liberté la plus totale d’opérer sur le texte la correction qui s’impose si la faute de traduction est évidente. Tradutore traditore : proverbe italien.

4. Même si on ne comprend pas encore le sens d’un verset ou si, par  exemple, on le juge trop sévère pour notre petite nature, il faut l’accepter.  Ne surtout  pas le mettre en doute en y interprétant ce qu’on voudrait lui faire dire selon sa propre pensée, selon son fantasme.

5. Une fois les versets ou le passage correctement traduits, aborder  la description logique, cohérente, de l’événement prophétisé en veillant scrupuleusement à ce qu’aucun autre verset ou passage ne la contredise. Si c’est le cas, l’explication proposée est à mettre à la poubelle.

L’étude finale de la Parole du Dieu vivant qui est la Bible, est maintenant opérée par plusieurs hommes et femmes libres de par le monde. La révélation des prophéties, ainsi mises au grand jour et cartes sur tables,  sont immanquablement   liées au rétablissement précis, exact, du calendrier, avec les signes visibles et chiffrables qui l’accompagnent. Cela implique une remise en cause urgente et totale des enseignements religieux traditionnels. 

Nier cette évidence relève du mensonge, avec son lot de faux raisonnements apparemment pieux et néanmoins  déclarés bibliques,  avec aplomb, par des foules de docteurs qui ont détenu la vérité captive pendant trop longtemps, car ils inspirent au peuple une fausse confiance, tantôt en faisant croire que Jérusalem (ville) sera sauvée in extremis, tantôt en faisant miroiter l’espoir d’un enlèvement général  pour échapper au temps de la colère qui arrive.