mardi 16 mars 2010

Nouvelle année.

Selon l’incontournable calendrier divin, communiqué aux plus anciens patriarches, rappelé à Moïse et aux prophètes, nous sommes entrés ce mardi 16 mars 2010 dans l’année nouvelle 5985.
Cette année sera terrible, vu le lâchage d’Israël par Obama qui signe l’arrêt de mort de l’Amérique.
Il n’y a guère de raisons de se la souhaiter bonne, mais je vous la souhaite riche en enseignements et en consolations que nous donne la Parole de Dieu.
Ce mardi est le premier jour du premier mois de l’année.
Ce mois est celui qui est repérable par les épis verts d’orge qu’on peut observer en Judée et à Jérusalem en particulier.

Dans le monde entier, les adorateurs et serviteurs du Messie de Dieu, notre Sauveur et Seigneur Yéshoua, célèbreront la Pâque le lundi 29 mars, 14ième jour de ce premier mois, « entre les deux soirs », à 15 heures pour Jérusalem (GMT + 2). C'est-à-dire la neuvième heure du jour qui est le moment où Il est mort pendu au bois.

Ils passeront ensuite sans dormir la nuit mémorable qui inaugure le jour 15ième du mois.
En ce jour-là, la lune est pleine et éclaire toute la nuit.
Cette nuit rappelle ce qui l’en fut lorsque l’ange a frappé les premiers nés des Egyptiens avant la sortie-libération du peuple hébreu.
Elle rappelle aussi ce qu’il en fut pour les apôtres et les disciples, dans la nuit qui suivit la mort du Messie.

Voici ci-dessous le seul rituel annuel de la Pâque, qu’au sein de chaque famille ou en association avec des voisins, on célèbre solennellement en conformité avec ce qui en est dit dans la Torah, avec pleine et entière signification.

Le dixième jour du premier mois, les ingrédients du pain consacré, sans levain, et le vin sont choisis et tenus de côté jusqu’au quatorzième jour. Ils symbolisent l’agneau qui va verser son sang.
Le quatorzième jour, à l’heure dite ci-dessus, le pain cuit ce jour-là est rompu en morceaux et le vin versé dans une carafe.
A partir du repas, le pain et le vin consacrés sont pris et consommés complètement par les personnes baptisées et il ne doit rien en rester lorsque le soleil se lève sur le premier des sept jours de pains sans levain.
Le repas est précédé par le lavement des pieds.
Le repas de la Pâque est accompagné et entrecoupé de lectures des passages y afférents, des psaumes du Hallel et de chants.
Lecture est faite aussi des dernières paroles que Yéshoua a adressées à ses apôtres le jour de sa mort. (Jean : à partir du chapitre 13)

Chaque lieu de célébration de la Pâque et de la nuit mémorable est une petite synagogue où tous parlent et s’expriment librement sur les sujets bibliques qui les interpellent, dans l’atmosphère fraternelle que nous assure cette fête solennelle qui est le pardon des péchés par le sacrifice volontaire de l’Agneau de Dieu le Messie Yéshoua.

Pendant les sept jours qui suivent la Pâque, les pains que l’on consomme sont sans levain. Le levain est l’image allégorique du péché (un peu de levain fait lever toute la pâte).
Le premier et le dernier jour des pains sans levain sont chômés.
Pendant cette semaine des pains sans levain, le lendemain du shabbat (samedi) qui suit la Pâque, la gerbe d’épis verts symbolisant les prémices est présentée et agitée. C’est l’image allégorique parfaite de la résurrection du Messie.
C’est à partir de ce jour-là que les sept semaines entières doivent être comptées pour déterminer la date de la Pentecôte conformément au Lévitique 23.

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