samedi 15 mai 2010

Pentecôte-Chavouot. Au secours, Dieu d'Israël ! !

Il y a vraiment de quoi se lamenter et crier à l’Eternel.
Dans ce monde satanique en fin de course, voici encore un bel exemple de la perversité des traditions religieuses, tant juive que chrétiennes.
Chacune engoncée dans le carcan de ses propres mensonges et de ses contorsions intellectuelles, elles sont parvenues à tordre et occulter volontairement et dans un but de ségrégation :
- pour l’une : la vraie date à respecter du rendez-vous solennel de Chavouot,
- pour les autres : la vraie signification spirituelle et historique de cette fête, appelée aussi Pentecôte en raison des 50 jours à compter pour en déterminer le moment précis sur le calendrier naturel divin.

Mais voici qu’approche l’ultime avertissement, avant le naufrage, que le Dieu unique et universel va adresser, par la bouche des deux témoins et des 144000 pierres vivantes, à ce monde pourri jusqu’à la
moelle.

Sur ce point, le rendez-vous de Chavouot est d’une importance capitale.

C’est en cette date solennelle, au troisième mois, qu’après la sortie d’Egypte, l’Eternel fit entendre Sa voix et Ses commandements au peuple hébreu, rassemblé au pied de la montagne et tellement effrayé qu’ils supplièrent Moïse d’être leur intercesseur devant le Dieu vivant.
Répondant aussitôt à leur supplication, l’Eternel annonça à Moïse que dans la suite des temps, Il leur suscitera du milieu de leurs frères un prophète comme lui, qu’il leur dira tout ce qui lui sera ordonné et qu’ils devront écouter. Cette annonce est la promesse de la nouvelle alliance par la future venue et l’œuvre exceptionnelle du Messie au temps fixé. Cela suppose l’espérance qu’ils le reconnaitront comme porteur de la Parole de Dieu et qu’ils s’y conformeront.

Conformément à cette promesse bienveillante, c’est lors de cette même fête sacrée que naquit Yéshoua, à Beit Lehem, parmi la tribu de Yéhuda, en accomplissement de ce qui fut annoncé par les prophètes : l’Eternel Dieu choisira cette tribu parmi les douze pour y faire naître un fils d’homme, choisi parmi les multitudes pour porter Sa Parole et que celle-ci se propage dans le monde entier. Les détails sur la date de naissance du Messie sont développés dans la thèse consultable dans le premier article de ce blog.

Lors de la fête de Chavouot en l’an 27 de notre ère vulgaire, les disciples se sont rassemblés au nombre de 120, un premier jour de la semaine à Jérusalem, lendemain du 7ème shabbat depuis la résurrection de leur Messie (symbolisée par la Gerbe : le homer).
C’est en cette circonstance que l’Esprit leur fut donné pour faire d’eux des semeurs de la Parole, des continuateurs de l’œuvre de Yéshoua.
Instantanément, il leur fut donné de parler en diverses langues des merveilles du Créateur, au vu et au su, non seulement des natifs et habitants de Jérusalem mais aussi à des Juifs étrangers, hommes pieux venus de toutes les nations de la terre et montés à Jérusalem pour la fête.

De même en ce temps de la fin, c’est lors d’une fête de Chavouot : peut-être celle-ci, toute proche, du 23 mai 2010, que l’Esprit, envoyé par le Messie assis à la Droite du Père, va faire agir ceux et celles qu’Il a choisis du milieu du monde pour sortir de Babylone et se rassembler en Judée, en dépit de l’adversité que leur réserve le rabbinat traditionnel.
Ceux-là sont le petit troupeau qui va croître en nombre jusqu’à 144000 en l’espace d’un an : un jour prophétique, où il y aura des ouvriers de la première et de la dernière heure.
C’est le peuple nouveau né qui recevra, à la Pentecôte suivante, le marquage et la dose suffisante d’Esprit pour agir comme les cellules d’un même corps : le corps du Messie, un édifice spirituel bien coordonné, une démonstration éclatante de la puissance de Dieu à la face d’un monde de moqueurs incrédules et hermétiques.
C’est l’image allégorique donnée par Ezéchiel qui décrit le temple et la ville construite dans les chapitres 40 à 48, si difficiles à lire si l’Esprit de prophétie n’est pas au rendez-vous.

Il ne faut pas se laisser séduire ou anesthésier par ce projet fou qu’est la construction monumentale du troisième temple. Ces choses nous ramènent aux rudiments physiques qui, avant la nouvelle alliance, servaient de précepteurs.
L’Eternel n’habite pas dans ce qui est fait de main d’homme. C’est ce qu’Etienne rappelait déjà en criant avant d’être lapidé.
Ce ne sont ni les promoteurs immobiliers, ni les bétonneurs, ni les politiciens et fonctionnaires corrompus, ni les maçons, ni les plafonneurs, ni les plombiers etc. qui vont participer à la construction du dernier temple.
Ce sont les Hébreux du temps final, révélés par leur obéissance à leur Seigneur Yéshoua, qui vont accomplir ce travail, forts de la promesse divine, faite sur la postérité spirituelle d’Abraham. Promesse en laquelle ils auront cru. Ce qui leur vaudra d’être abreuvés d’Esprit Saint et d’être rendus capables de l’abnégation nécessaire à leur tâche.

Pour en revenir à la description allégorique du dernier temple par Ezéchiel, il est certain que les données chiffrées que comprennent les mesures de cet édifice visionnaire fourniront sous peu, grâce à l’Esprit que Yéshoua enverra à ses fidèles serviteurs, la preuve éclatante qu’il s’agit des 144000 pierres vivantes.
Ce n’est pas par hasard qu’il est demandé de compter les portes. Ce n’est pas par hasard qu’il est donné à Jean une canne pour mesurer l’autel, le temple et ceux qui y adorent. Ce n’est pas par hasard si le dernier verset d’Ezéchiel 48 dit textuellement : « Et, dès ce jour (lequel ? Je vous le demande !), le nom de la ville sera : l’Eternel est ici. » Ce n’est pas par hasard si, dans cette description visionnaire il est écrit dans Ezéchiel 47 :23 « Vous donnerez à l’étranger son héritage dans la tribu où il séjournera, dit le Seigneur, l’Eternel » !

Je me suis déjà attelé à ce travail, mais jusqu’à ce jour sans résultat. Je fais appel à tous les frères et sœurs en Yéshoua pour que, grâce à vos prières, cette révélation vous soit donnée au plus tôt.

Par leur refus manifeste de reconnaître le sens profond et complet de cette merveilleuse fête de Chavouot-Pentecôte, il est clair que les dignitaires religieux des deux camps se font depuis des lustres une guerre impitoyable, malgré leurs échanges mielleux, flagorneries mutuelles et autres duplicités propres à l’hypocrisie diplomatique.
Ne nous y trompons pas. Des intérêts financiers énormes sont la seule et unique cause de cette sempiternelle guerre de religion, à présent feutrée, après avoir, dans un passé pas si lointain, été sanglante ; principalement à l’encontre des Juifs, au nom du pèze, du fric et du saint veau d’or.

Ceux qui croient à une entente fraternelle et, comme ils disent, œcuménique, autour de ce qui n’est pas la Vérité de Yéshoua, se bercent de niaiseries.

Il est temps d’agir pour l’Eternel qui n’attend que de se laisser trouver.

jeudi 25 mars 2010

Jugement imminent de l'Amérique.

Croyez-vous que ce soit un hasard si le lâchage avéré d'Israël "nation" par l'Amérique d'Obama survient prophétiquement à cette date?
Nous sommes aujourd'hui 25 mars, le dixième jour du premier mois.
L'agneau de l'holocauste est désigné.

Comme Caïphe a décidé le dixième jour du premier mois de l'an 27 qu'il était mieux qu'un seul meure plutôt que la nation, Obama a décidé qu'il est mieux de sacrifier Israël devant la menace islamique pour la "paix" mondiale.

Tout en affichant son intransigeance à l'égard d'Israël, Obama vient de déclarer qu'il ne s'impliquerait plus avant 2011 dans cet épineux problème qu'est le conflit arabo-israélien. Problème insoluble car sous-tendu par une guerre de religion.
Il va donc laisser tomber Israël et passer la main à la bête européenne qui va entrer en scène en imposant la "Pax romana".
La politique arabe de la France, pour ne citer qu'elle, montre bien de quoi seront capables les boutiquiers poltrons européens.
L'histoire est riche en exemples, tels les accords de Munich où on a jeté la Tchécoslovaquie en pâture aux hordes nazies pour calmer le jeu.

Attention! Le lâchage d'Israël par Obama va être suivi du jugement de l'Amérique toute entière, laquelle va à la ruine financière que va amplifier la réforme de l'assurance-maladie. Celle-ci vient trop tard car les moyens de cette politique manquent déjà cruellement vu l'ampleur des besoins de la population précarisée.
Et ceci sans compter le coup de grâce du grand tremblement de terre de Californie, centre de gravité de l'activité économique des USA.
C'est la ruine de Joseph.

Aussitôt les mains libres, la bête européenne montrera alors son vrai visage sous la férule allemande.
Un jour, lors d'un de ses discours cauteleux et reptiliens, F. Mitterrand avait lâché comme un lapsus l'expression "quatrième Reich" qui n'était pas tombée dans l'oreille d'un sourd (à ce moment-là) : la mienne.

En voyant se développer le plan satanique de ce tandem politico-religieux, ceux et celles qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, poussés par l'Esprit, quitteront Babylone pour se rassembler en Judée où l'évènement prophétique de la Trouah les attend : sursaut ultime d'obéissance et de confiance en l'Eternel pour un petit reste, avant que le monde bascule dans son jugement.

mardi 16 mars 2010

Nouvelle année.

Selon l’incontournable calendrier divin, communiqué aux plus anciens patriarches, rappelé à Moïse et aux prophètes, nous sommes entrés ce mardi 16 mars 2010 dans l’année nouvelle 5985.
Cette année sera terrible, vu le lâchage d’Israël par Obama qui signe l’arrêt de mort de l’Amérique.
Il n’y a guère de raisons de se la souhaiter bonne, mais je vous la souhaite riche en enseignements et en consolations que nous donne la Parole de Dieu.
Ce mardi est le premier jour du premier mois de l’année.
Ce mois est celui qui est repérable par les épis verts d’orge qu’on peut observer en Judée et à Jérusalem en particulier.

Dans le monde entier, les adorateurs et serviteurs du Messie de Dieu, notre Sauveur et Seigneur Yéshoua, célèbreront la Pâque le lundi 29 mars, 14ième jour de ce premier mois, « entre les deux soirs », à 15 heures pour Jérusalem (GMT + 2). C'est-à-dire la neuvième heure du jour qui est le moment où Il est mort pendu au bois.

Ils passeront ensuite sans dormir la nuit mémorable qui inaugure le jour 15ième du mois.
En ce jour-là, la lune est pleine et éclaire toute la nuit.
Cette nuit rappelle ce qui l’en fut lorsque l’ange a frappé les premiers nés des Egyptiens avant la sortie-libération du peuple hébreu.
Elle rappelle aussi ce qu’il en fut pour les apôtres et les disciples, dans la nuit qui suivit la mort du Messie.

Voici ci-dessous le seul rituel annuel de la Pâque, qu’au sein de chaque famille ou en association avec des voisins, on célèbre solennellement en conformité avec ce qui en est dit dans la Torah, avec pleine et entière signification.

Le dixième jour du premier mois, les ingrédients du pain consacré, sans levain, et le vin sont choisis et tenus de côté jusqu’au quatorzième jour. Ils symbolisent l’agneau qui va verser son sang.
Le quatorzième jour, à l’heure dite ci-dessus, le pain cuit ce jour-là est rompu en morceaux et le vin versé dans une carafe.
A partir du repas, le pain et le vin consacrés sont pris et consommés complètement par les personnes baptisées et il ne doit rien en rester lorsque le soleil se lève sur le premier des sept jours de pains sans levain.
Le repas est précédé par le lavement des pieds.
Le repas de la Pâque est accompagné et entrecoupé de lectures des passages y afférents, des psaumes du Hallel et de chants.
Lecture est faite aussi des dernières paroles que Yéshoua a adressées à ses apôtres le jour de sa mort. (Jean : à partir du chapitre 13)

Chaque lieu de célébration de la Pâque et de la nuit mémorable est une petite synagogue où tous parlent et s’expriment librement sur les sujets bibliques qui les interpellent, dans l’atmosphère fraternelle que nous assure cette fête solennelle qui est le pardon des péchés par le sacrifice volontaire de l’Agneau de Dieu le Messie Yéshoua.

Pendant les sept jours qui suivent la Pâque, les pains que l’on consomme sont sans levain. Le levain est l’image allégorique du péché (un peu de levain fait lever toute la pâte).
Le premier et le dernier jour des pains sans levain sont chômés.
Pendant cette semaine des pains sans levain, le lendemain du shabbat (samedi) qui suit la Pâque, la gerbe d’épis verts symbolisant les prémices est présentée et agitée. C’est l’image allégorique parfaite de la résurrection du Messie.
C’est à partir de ce jour-là que les sept semaines entières doivent être comptées pour déterminer la date de la Pentecôte conformément au Lévitique 23.

lundi 1 mars 2010

VOICI L'EPOUX !

Voici un message à la fois effrayant et rassurant, adressé aux personnes libres de tout carcan religieux, qui désirent s’inscrire dans la prophétie des vierges sages, à ceux qui aiment l’Eternel, le Dieu d’Israël, qui ne le prennent ni pour un menteur ni pour un gâteux et qui osent encore croire en sa bonté, en sa puissance salvatrice, en son omniscience et en sa prodigieuse précision.
Ce qui suit est une explication plausible du scénario de la dernière « semaine » de sept années, prophétisée dans le livre de Daniel et l’Apocalypse de Jean.

Contrairement aux précautions habituelles que prennent les intervenants sur les sites, je m’exprime ici cartes sur table, sans user d’un pseudonyme, donc avec prise de risque.
Car ce que je crois devoir annoncer ne va pas plaire, ni aux meneurs, ni aux adeptes des sectes religieuses officielles, qu’elles soient juives ou chrétiennes qui toutes, pourtant, sont supposées prendre la Bible, Parole du Dieu vivant, comme référence incontournable.

Quelques lignes de présentation tout d’abord.

Depuis 1990, avec quelques amis et en y entraînant nos familles, nous nous sommes exilés en Judée, sans obtenir le droit de séjourner durablement en Israël.
En y investissant tout ce que nous possédions, nous avons soutenu et animé dès notre arrivée un projet humanitaire. Celui-ci a duré 3 ans. Il nous a valu le soutien et la sympathie de nombreuses personnes, devenues des amis très proches.
Nous vivons en Israël depuis vingt ans comme électrons libres, c'est-à-dire sans couverture sociale.
Certains d’entre nous sont repartis dans diverses circonstances et pour plusieurs raisons, principalement par découragement. Cette aventure est loin d’être facile puisqu’elle ressemble à un pas dans le vide accompagné d’épreuves diverses.
Ainsi nous avons dernièrement, ma femme et moi, été raflés et incarcérés pendant deux semaines pour motif de séjour illégal, suite à une dénonciation.
Vous le savez tous pour l’avoir lu : c’est parfois, et même souvent, avec larmes et tribulations que la Parole doit être soutenue.
Mais le Dieu Suprême et Son Messie le Saint d’Israël, devant lesquels nous persistons à nous tenir debout, nous ont accompagnés et assistés tout au long du parcours en nous dispensant leur protection.

Premièrement : contre toute attente, nous n’avons manqué de rien. Comme il en fut avec la manne dans le désert, nous sommes comme des preuves vivantes que la partie est jouable lorsqu’elle s’appuie sur une promesse divine, bienveillante, qui n’est pas une promesse en l’air.

Deuxièmement : outre la protection qu’Il accorde, le Dieu Suprême nous a fait découvrir des perles prophétiques de grand prix, cachées jusqu’à maintenant et mises à jour enfin par le rétablissement du calendrier naturel, incontournable, rappelé et ordonné à Moïse, communiqué aux saints prophètes, révélé dans les moindres détails au travers de toute la Bible.

C’est si (et seulement si) on se base sur ce calendrier divin que toutes les fêtes solennelles, les rendez-vous sacrés nous donnent la clé de leur signification prophétique.
Toutes ces dates ont été prodigieusement désignées d’avance pour qu’à la fin des temps, tout genou fléchisse devant le Dieu des dieux, pour la simple raison que le calendrier divin, soigneusement dissimulé par le diable et ses religions, annonçait les détails de la vie et de l’œuvre de la Parole faite chair, du Messie Juif, Fleuron de l’Humanité.

Comme vous l’avez compris, nous ne sommes pas des Juifs par la naissance mais des « goïms » judaïsants.
Le judaïsme que nous proclamons est le judaïsme prophétique, fondé sur les deux alliances (aussi vrai qu’il y avait deux tables de la Loi) sans l’ombre d’une contradiction, qui révèle le plan divin, conçu pour notre avenir et notre bonheur à tous.

C’est donc malgré une naissance ratée, tare impardonnable pour les chauvins et les racistes, tare à laquelle s’ajoutent de nombreux défauts et péchés de toutes sortes, qu’il nous a été donné de découvrir, en lisant librement la Bible, que la plupart des croyants, Juifs et chrétiens, se sont faits abuser dans les grandes largeurs par les traditions juives et chrétiennes.

Ce qui suit, que je considère comme un message urgent, annonce que le compte à rebours de la dernière semaine de Daniel peut avoir commencé depuis 2008.
Mon propos sera un peu long mais, je l’espère, assez digeste pour être compris du premier coup, du moins pour le principe.
Les diverses vérifications, indispensables, de la rigueur des prophéties chiffrées pourront par la suite être faites par tout un chacun en consultant les tableaux du calendrier naturel divin des époques messianique et actuelle, tableaux non annexés au blog cité ci-dessus, mais que je me ferai un plaisir de transmettre en fichier PDF sur simple demande, via mon adresse Email qui figure à la fin du texte de la thèse mise sur le blog, à tous ceux qui, comme les Juifs de Bérée, auront à cœur de vérifier tout cela en conformité avec les Saintes Ecritures.

Le Royaume du Messie est proche, nous le pressentons tous, mais le temps de la grande colère satanique, heureusement limitée à trois ans et demi, approche elle aussi à toute vitesse.
Il est devenu urgent de judaïser en esprit et en vérité, de nous aligner sur la saine doctrine de notre Seigneur le Messie Yéshoua qui, seul parmi les multitudes, a accompli et élevé le judaïsme de la Torah, des Prophètes et des Psaumes à la perfection.

La question se pose donc, toute simple : « qu’est-ce que judaïser ? ».

C’est agir de toutes ses forces et de toute sa pensée pour l’Eternel, avec la force morale nécessaire appliquée à suivre les DIX COMMANDEMENTS et à marcher selon les convocations solennelles ordonnées à Moïse par le Dieu vivant.
A commencer par le shabbat, le quatrième des commandements, le jour de repos hebdomadaire ordonné et sanctifié par Dieu. Commandement simple, mais test d’obéissance, récompensé par la compréhension de l’Ecriture, cadeau de l’Eternel d’une loi de liberté pour le bonheur de ceux qui lui font confiance.
C’est Lui qui donne l’intelligence ou la retire, à qui Il veut et quand Il veut.

Dans ce monde où règne la confusion, combien ont-ils conscience que les 7 rendez-vous solennels annuels, chacun à sa date précise, garantissent que l’Eternel est présent et dispensateur de Son Esprit pour ceux qui s’y conforment avec une crainte respectueuse ?

Judaïser, c’est exactement ce que vont accomplir, au nez et à la barbe du rabbinat juif et du monde entier, les 144 000 pierres vivantes qui vont sortir de la Babylone actuelle pour se rassembler en Judée, attentifs et obéissants à l’appel du TEMOIGNAGE, l’Esprit leur ayant inspiré cette Loi spirituelle du retour pour le rassemblement final, voulu de Dieu, qui appelle.

Hélas ! Le prince de ce monde et ses redoutables instruments de tromperie que sont les religions, s’y opposent avec véhémence afin d’empêcher coûte que coûte l’édification, au temps convenable, du troisième et dernier Temple, édifice spirituel bien coordonné dont Yéshoua le Messie est la pierre angulaire, celle qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient.
Les 144 000 sont un reste infinitésimal à l’échelle du monde entier !
Ils vont tout quitter pour s’investir dans ce rassemblement, en totale confiance dans la promesse de l’Eternel qui les concerne.
Ce sont eux le peuple à naître du psaume 22, le peuple goy d’Esaïe 65 : 1, ce sont eux le peuple aux lèvres balbutiantes et au langage barbare qui vont devoir parler à ce peuple rebelle et contredisant, qui n’écoutera pas, sauf 12 000 d’entre eux.
Pour l’Eternel, c’est la seule et ultime démonstration qu’il Lui reste à accomplir à la face d’un monde incrédule, hermétique à Sa parole. C’est d’eux que Yéshoua parle dans Matthieu 24 Marc 13 et Luc 21
« Alors, que ceux qui seront en Judée…. »

Ceux qui comprendront trop tard constitueront la grande foule. Ils seront sauvés mais au travers du feu de la grande colère satanique qui va fondre sur le monde pour éprouver les habitants de la terre
Ils se seront laissé endormir par des dogmes fantaisistes qui leur auront été plus agréables à entendre mais qui, pour effet, leur auront appris à rater le train, à rater le rendez-vous du rassemblement exceptionnel à accomplir à la fin des temps, et grâce auquel le Créateur va sauver la terre entière, sinon celle-ci serait dévouée par interdit.
Malachie est formel sur ce point, de même que Yéshoua dans les passages des évangiles précités.

Tout est fait dans le monde religieux pour masquer cet appel de l’Eternel, pour mépriser cette planche de salut qu’Il offre à ceux qui croiront encore en Sa bonté.

Il en est ainsi de l’illusion, confortablement entretenue, d’un enlèvement général des bons Chrétiens qui ont « Jésus dans le cœur » avant qu’arrive le temps de la colère.
Cette doctrine équivaut bien, dans le ridicule, à celle de l’élection et de la sainteté auto proclamées pour toute personne reconnue d’identité juive selon les critères du Rabbinat.

Rappelons que le temps de la colère est celui qui commencera lorsque Satan, chassé du trône de Dieu, sera précipité sur terre, animé d’une grande colère, et entrera dans le fils de la perdition : la bête, l’homme impie qui, soudain, après une phase de séduction, exercera comme dictateur l’autorité de la 1ère bête, celle qui sort de la mer décrite dans Apo 13 : le système politique concocté avec ruse par la classe dirigeante de l’Union européenne au moyen de leur fameux Traité de Lisbonne, fossoyeur des démocraties nationales, nous réserve de méchantes surprises.

Cet individu, investi par Satan, deviendra le tyran mondial qui fera exterminer des multitudes de gens paisibles pour en finir avec l’humanité et la vie même sur terre.
Ne nous faisons pas d’illusions, nombreux seront les sous-hommes qui, par intérêt, lui apporteront leur complicité volontaire. Voir les photos d’archives des rassemblements de foule à Nuremberg lorsque le nazisme était à son apogée.
Le Prince du monde, celui qui était chargé de veiller sur l’homme comme Chérubin protecteur, poursuit son programme depuis que l’iniquité a été trouvée chez lui dans le jardin d’Eden

Mais ne nous étendons pas trop ici sur le scénario géopolitique de la prophétie et revenons sur le sujet qui nous occupe, à savoir : comment et où situer la dernière « semaine » dans l’époque exceptionnelle qui est la nôtre et qui va voir s’accomplir la délivrance, la fin de cette civilisation diabolique qui détruit tout sur son passage.

La thèse sur les mensonges religieux révélés par le calendrier naturel nous permet de rétablir enfin la vraie et unique méthode de comptage des jours, des mois et des années.
C’est sur base de ce système de comptage que les prophéties chiffrées en jours sautent aux yeux.

Il en est ainsi pour la période messianique, car il apparaît que la conception, la naissance, le ministère et la mort du Messie sont articulés sur des dates remarquables de rendez-vous solennels entre lesquels s’écoulent des nombres de jours tout aussi remarquables et annoncés dans les prophéties.

Exemples : - détermination de la date précise du jour où le Verbe s’est fait chair ;
- naissance du Messie lors d’une Pentecôte ;
- mort du Messie lors d’une Pâque ;
- résurrection au jour de la gerbe ;
- nombre total remarquable des 12 000 jours de la vie du Messie parmi son peuple, de sa naissance à sa résurrection.

Il en est ainsi également pour le temps de la fin, le temps de la dernière semaine, car ici aussi les prophéties chiffrées de Daniel et de l’Apocalypse s’accordent parfaitement, ces nombres de jours précis sont à placer entre des dates repères remarquables du calendrier naturel non falsifié.
C’est la concentration et la convergence de tous ces indices chiffrés qui vont nous permettre de situer cette dernière semaine dans le temps que nous traversons actuellement.

Rassurons-nous: si Dieu n’a pas menti dans le passé, nous pouvons hardiment faire le pari qu’Il ne va pas se mettre à mentir pour le temps final.

Explications :

Tout d’abord, les sept dernières années sont des années entières.
Selon l’Eternel, chaque année commence au printemps, et sûrement pas en automne (rabbinat) ni en hiver (chrétienté).Voir Exode 12 :1.
Vouloir faire commencer l’année à d’autres moments que ceux fixés par le Créateur est pure sottise.

La première moitié de la « semaine » (3.5 ans) verra s’accomplir :

Premièrement : le témoignage des deux oints : 1260 jours.
Les 1260 jours sont quasiment une constante sur le calendrier divin. Ces jours du témoignage sont à compter à partir d’un dixième jour du premier mois de l’année, car l’engagement des deux témoins est un holocauste, un sacrifice total et volontaire de leur vie puisqu’ils savent qu’ils la perdront lorsqu’ils auront fini leur témoignage. Les 1260 jours nous amènent, 3.5 ans plus tard, exactement à la fête du premier jour du septième mois, Mémoire d’Ovation, Zikaron Troua. C’est le milieu de la « semaine ».
Remarquons que dans la Tradition juive, les rabbins ont depuis longtemps renoncé à comprendre et encore moins à expliquer la signification de cette fête solennelle. Ils l’ont donc mise aux oubliettes en la remplaçant par …le nouvel an ! Rosh ha shana ! …Fantaisie, quand tu nous tiens !

Deuxièmement : le rassemblement en Judée des 144.000.
Celui-ci prend cours progressivement à l’appel du témoignage.
Le sanctuaire des pierres vivantes commence à se constituer pour être au complet lors d’une Pentecôte. Ils sont marqués à une Pentecôte au bout de 1150 jours qui sont les 2300 soirs et matins de Daniel. C’est lors de cette Pentecôte particulière que leur marquage aura lieu.

Troisièmement : la petite tribulation.
Comme il en fut à l’époque des Actes en l’an 27, une persécution sera dirigée vers ces trouble-fêtes fraternels qui, animés par l’Esprit, agiront dès lors comme un seul homme et d’un seul cœur, comme le ferait une ruche, ou encore, une fourmilière, mais sans qu’il soit possible à leurs ennemis de porter atteinte à leur vie.

Restent alors les jours à écouler dans des conditions difficiles, vu la confrontation avec l’adversité satanique, jusqu’au premier jour du septième mois : Zikaron Troua. Cette date clôture les 1260 jours du témoignage,

Quatrièmement : le meurtre des deux témoins.
Le meurtre, à Jérusalem, des deux témoins est le moment charnière, c’est le signal de la fuite pour l’Eglise, car le monde va entrer en jugement dans le temps de la colère qui suivra aussitôt et qui durera pendant la seconde moitié de la semaine.

Après les 1260 jours qui leur ont été impartis, les deux témoins sont assassinés et l’église crie à l’Eternel avant de fuir vers les montagnes du désert de Judée sans rien emporter. Cette clameur lancée par l’église, c’est la Troua : « Heureux le peuple des connaisseurs de la Troua » dit très justement le psaume 89 :16 quand on sait le lire en Hébreu biblique, et non selon les traductions fantaisistes comme celle-ci : « heureux ceux qui connaissent le son de la trompette ! » Ce qui ne veut rien dire du tout.

Lire aussi ce qui s’est passé lors d’une célèbre Troua précédente, dans le passé, sous la conduite de
Yéhoshoua devant les murailles de Jéricho, à la fin du sixième jour lorsque le peuple commença le
septième tour de la ville. Voir Jos.6

Le rassemblement en Judée des 144 000 est un prodige divin qui, au fur et à mesure de la lecture libre et la compréhension finale des Ecritures qui en découle, se prépare et est même déjà en route. Une démonstration de la puissance de l’Esprit sur ce peuple nouveau né, ce troupeau minuscule à l’échelle mondiale qui se constituera numériquement au complet en l’espace d’un an comme l’annonce Esaïe 66 :8

Cette année de mise en place s’étalera d’une Pentecôte à la Pentecôte suivante.
Quoi de plus logique et de plus évident quand on connaît la signification de ce rendez-vous solennel en lisant attentivement Actes 2. ?
Ainsi que les deux témoins qui, eux seuls, perdront la vie, les 144 000 exposent aussi la leur. Ils offrent leurs corps par obéissance, comme un sacrifice de bonne odeur, sachant que cet acte d’obéissance et leur cri, leur clameur, seront entendus par l’Eternel, ce qui va l’incliner à sauver la terre, sinon nulle chair ne serait sauvée.
Au cours de leur rassemblement progressif, ils se lamentent en raison des abominations et des injustices qui se commettent dans cette ville, appelée dans un sens spirituel « Sodome et Egypte ».
L’adversité du monde rabbinique traditionnel sera grande, car le discours des témoins et des 144000 va rappeler celui qui fut tenu par Etienne devant le Sanhédrin, avant qu’il se fasse lapider.
La « femme » entre donc en travail en vue de l’enfantement.Cet enfantement est l’accomplissement de la parole d’Esaïe 66 : 8 : « A peine en travail, Sion a enfanté ses fils ». Ce sont eux, le corps du Messie, le temple spirituel qui va subjuguer et ébranler, par médias interposés, non seulement le monde juif mais aussi le monde entier.

C’est principalement pendant ces quelque110 derniers jours du témoignage, une fois l’église marquée, que les fléaux annoncés par les deux oints de l’Eternel frappent durement la terre en divers endroits, dans un monde devenu complètement fou sous la dictature satanique soudainement établie, dont le « führer » ordonnera, sous peu, de faire la guerre aux saints de la grande foule dans la grande tribulation qui va suivre.
Les fléaux, annoncés par les témoins en confrontation directe avec la bête, frappent la terre et rappellent les plaies d’Egypte.
Les divers malheurs et catastrophes qui, déjà, frappent la terre devraient pourtant avoir la valeur d’un sévère avertissement.
Nul doute que ça leur vaudra d’être haïs, au point que leur mort sera accueillie avec joie et réjouissances de la part des VIP de ce monde, esclaves authentiques qui marcheront avec la bête et qui, déjà depuis longtemps, prennent plaisir à l’injustice, vautrés dans les privilèges au beau milieu de ce monde pourri, de cette horreur économico-financière spéculative qui détruit la terre.
Nous vivons en présence flagrante du quatrième animal décrit par Daniel 7 : 23.
L’assassinat des deux témoins est à la fois l’abomination de la désolation et le signal de la fuite vers les montagnes du désert de Judée pour les 144 000, qui partent pour le lieu de refuge. Ils vont suivre en sens inverse le chemin parcouru par le peuple lorsqu’il est entré dans la terre promise sous la conduite de Yéhoshoua, par la vallée d’Acor, dans le désert de Judée.
Cette fuite vers le lieu de refuge sont mentionnées dans Osée2 :16-17, Apo 12 :6 et Apo : 13-14.

Les 144.000 sont en fuite, la seconde moitié de la semaine commence.

Attention. C’est à partir de cette date, 1ier jour du 7ème mois, à l’assassinat des deux témoins, que les 1290 jours et les 1335 jours de Daniel 12, sont à prendre en considération.
La fuite vers le désert se fait sans précipitation, mais sans se retourner en arrière, contrairement à l’attitude hésitante de la femme de Lot.
Les corps des deux témoins sont interdits d’enterrement, ils restent exposés pendant 3 jours et demi.
Pendant ce laps de temps, la bête donne l’ordre de poursuivre et d’exterminer l’église en fuite.
C’est au milieu de la quatrième journée qui suit leur mort, en plein jour, que les témoins ressuscitent à la vue des médias du monde entier. Leur résurrection est suivie aussitôt d’un tremblement de terre.
La fuite de l’église est protégée par ce tremblement de terre qui est concomitant de la résurrection des deux témoins. Apo11 :13 et 12 :16
Ce tremblement de terre tue 7000 personnes à Jérusalem : ce sont les 7000 justes que l’Eternel s’est réservés quand Il parle à Elie, ce que Paul rappelle dans Rom.11.4.
Ils perdent la vie mais sont sauvés. Ils seront de la première résurrection, tout comme la grande foule qui sera sauvée en passant au travers du feu de la colère.

Comme l’oiseau délivré in extrémis du filet de l’oiseleur, la « femme » se sauve vers son lieu de refuge où elle sera nourrie aussi pendant 1260 jours (Apo.12:6) et le monde entier, saisi de honte, comprend qu’il ne reste plus que le jugement et qu’il va tomber.
Voici alors que suit l’accomplissement prophétique de la fête des Expiations, dixième jour du 7ème mois.
Assez curieusement, les jours situés entre le 1er jour du 7ème mois et le jour des Expiations sont qualifiés de dangereux par la tradition rabbinique. On peut comprendre à présent pourquoi !
Le jugement qui commence est le temps de la grande colère satanique.

La bête, l’homme investi par le diable, chassé du trône de Dieu et précipité sur terre, n’ayant pu exterminer l’église en fuite, se retourne avec une grande fureur pour faire la guerre au reste de sa descendance : c'est-à-dire la grande foule.

La grande tribulation commence : Jérusalem est la première cible de la colère, elle est attaquée de toutes parts pour être foulée aux pieds pendant 42 mois.
Je n’ai aucun doute que les dictatures arabo-musulmanes profiteront du chaos provoqué par le tremblement de terre pour attaquer Israël, avec l’approbation complice de la bête européenne.
C’est au milieu de ces évènements terribles que les Juifs traditionnels comprendront d’un seul coup le sens des prophéties de leur Loi et reconnaîtront, en pleurant, Celui qu’ils ont percé et à l’égard duquel ils pratiquent un véritable négationnisme depuis des siècles.

La seconde moitié de la semaine verra donc se commettre les actes les plus abominables, sous la conduite du diable en personne et de ses démons précipités avec lui.
Ils auront investi les habitants de la terre qui adhèreront volontairement à cette folie destructrice.
La grande foule de gens paisibles qui auront compris trop tard ou qui n’auront pas eu assez de confiance en Dieu au temps convenable, traverseront ces derniers temps de grande détresse qui heureusement seront limités.
C’est à partir du premier jour du septième mois (mort des témoins, abomination) que le compte des 1290 et 1335 jours de Daniel 12 doivent être situés : après lesquels le sanctuaire des élus de la grande foule sera à son tour purifié, lors d’une Pâque après 1290jours, pour atteindre, après 1335 jours exactement, la Pentecôte, la toute dernière de notre Histoire, celle annoncée dans Joël 2 et Actes2 : « Dans les derniers jours, dit Dieu, je répandrai de mon esprit sur toute chair… »


La question se pose de savoir entre quelles années et à partir de laquelle cette « semaine » se situe-t-elle ?

En réunissant ces données précises et en les raccordant sur le calendrier naturel, on s’aperçoit que la seule « semaine » qui les contient toutes, au jour près, est celle qui débute en 2008 et se termine au printemps 2015, à la Pentecôte.
C’est en quelque sorte une preuve chiffrée que l’Eternel n’attendra pas l’année jubilaire de 2025 mais que, selon Sa promesse, Il hâtera les évènements en les avançant de dix ans pour nous éviter une fin atroce dans le naufrage planétaire, qui maintenant se déroule sous nos yeux à un rythme démentiel.

Aucun autre groupe de 7 années consécutives, pris entre 2007 et 2025, ne permet de faire correspondre ces chiffres, excepté cette période 2008 – 2015 !
L’entrée dans le Royaume du Messie serait alors pour 2015.
Autres détails troublants :
Au dernier jour de l’année 2014, il y aura une éclipse totale de soleil à Jérusalem.
A la Pâque 2015, la lune entière sera en sang (lune rouge à Jérusalem : voir Joël 2.

Il est clair qu’il n’arrivera donc rien d’autre que ce qui a été annoncé de la part du Saint d’Israël par la bouche de Ses serviteurs les prophètes.
Le meilleur, ce qui est parfait, arrive.
« Voici l’Epoux ! »

Israël est lâché par tous les pays, Il est traîné dans la boue par les calomnies, par la guerre médiatique que lui livrent les dictatures arabo-musulmanes et leurs valets, les pseudo- journalistes corrompus qui carburent au bakchich. Il est menacé ouvertement de destruction massive par l’Iran, le caïd des états voyous. Et devant son chantage pétrolier, les pays occidentaux poltrons font de la danse du ventre et se préparent à jeter Israël en pâture aux dictatures islamiques pour garantir leurs approvisionnements pétroliers.

Pourtant, les moments douloureux qui attendent Israël, en tant que nation, pourraient être évités conformément au psaume 81 si ses dirigeants reconnaissaient et imploraient le secours de leur Messie.

En un instant, Celui qui est maintenant assis à la droite de Dieu les sauverait, confondrait leurs ennemis et referait d’elle la première des nations, comme tel était Son plan depuis la sortie d’Egypte.

Le seul qui a la puissance d’accomplir cette promesse est Celui qui a été élevé au rang divin après la mort qu’Il a soufferte, en sacrifice volontaire pour les coupables que nous sommes tous, Le seul qui s’est qualifié en tant que fils d’homme à la plus haute échelle morale dans la condition humaine ; le bien nommé Yéshoua (en Hébreu : Salut), le Messie, le Roi des Juifs, le Saint d’Israël, le Lion de Yéhuda, le Premier né d’entre les morts, le Second Adam, l’Alpha et l’Oméga, le Rejeton et la Postérité de David, l’Etoile brillante du matin, la Parole du Dieu Suprême.

Hélas, son rejet systématique par le Rabbinat, au profit de traditions humaines mensongères et autres élucubrations, rappellent l’abandon que le peuple, sorti d’Egypte, a commis au désert lorsqu’ils ont troqué leur Gloire contre la figure d’un bœuf qui broute de l’herbe… !
Cette attitude négationniste à l’égard du Messie prive tout le peuple juif de Son secours puissant.

Depuis près de vingt siècles, cet état d’esprit a, bien sûr, été facilement justifié en raison des persécutions innombrables, sanglantes, qu’ils ont subies de la part de la sinistre secte romaine, tantôt au nom du « Christ Roi », tantôt au nom de la « Sainte Vierge », tantôt au nom de « l’Enfant Jésus » ou du « Sacré Cœur » et autres absurdités. La liste est longue.
Le tout à la lueur des bûchers et dans le tumulte des cris de morts lancés contre le peuple juif, stupidement qualifié de déicide.
N’oublions pas que Jean, l’apôtre à qui Yéshoua a révélé les prophéties du temps final, est mort seul, exilé et abandonné de tous à cause de la Parole, au moment où déjà le troisième pape répandait à Rome ses doctrines de démons.

Je termine en vous saluant au nom de Yéshoua, en espérant ne pas avoir semé parmi les épines et en vous adressant mes sincères et fraternelles pensées.

Daniel

samedi 6 février 2010

Les prophéties chiffrées

Si l'Eternel Dieu a dicté à Ses saints prophètes des précisions chiffrées et exprimées en nombre de jours telles : les 1260 jours du témoignage, les 1260 jours du séjour de la "femme" au désert, les 2300 soirs et matins, etc. etc. ..., c'est en sachant d'avance qu'au temps de la fin, plusieurs hommes, libres de toute influence religieuse mensongère, se pencheront sur les Saintes Ecritures avec la même volonté de comprendre que celle d'un enquêteur policier. Et ce, avec l'hypothèse que Dieu n'a pas menti ni ne s'est moqué du monde.

C'est ainsi qu'Il va se laisser trouver par son peuple nouveau né et renvoyer aux vestiaires les théologiens de tout poil qui, n'y comprenant rien eux-mêmes, ont entraîné leurs suiveurs dans la purée de pois de leurs interprétations fantaisistes.

Leurs propres écrits et élucubrations nous ont apporté dernièrement une preuve, texte à l'appui, de leur totale ignorance. C’est ainsi qu’un Maïmonide (grand sage) n’y est pas allé par quatre chemins en déclarant fous à lier et dignes de mort ceux qui prétendraient expliquer à leurs semblables les prophéties de Daniel.
Ce rejet de la Parole de Dieu a fait école, avec comme conséquence que ce prophète fameux n'a guère été en honneur dans le monde du judaïsme traditionnel … parce que trop dérangeant.
Je n’en prends pour preuve que la rue qui porte son nom à Jérusalem est une petite impasse d'un quartier qui fut longtemps mal famé, hors du quartier où les noms de tous les autres prophètes d'Israël sont regroupés.

Mais revenons aux prophéties chiffrées.
Pour aborder leur étude exacte, la seule condition est de réhabiliter tout d'abord le calendrier naturel divin tel qu'ordonné à Moïse et s'y conformer avec obéissance.

J'affirme, preuve biblique scripturaire à l'appui, que le monde dit chrétien et le judaïsme traditionnel l'ont, l'un et l'autre, falsifié et tordu pour motifs d'intérêt, de rivalité et de chauvinisme.

Les sept fêtes annuelles, rendez-vous solennels ordonnés par le Créateur dans la Tora, sont en rapport direct avec la vie et l'œuvre gigantesque du Messie juif Yeshoua, le Lion de Juda, le Fils de l'homme, le second Adam, le premier né d'entre les morts, le rejeton de la postérité de David, l’étoile brillante du matin, le sauveur du monde.

C'est seulement sur base de ce comptage du temps que les clés des prophéties, chiffrées en nombres de jours, seront données. Dieu est un Dieu d'ordre chez lequel il n'y a ni changement ni ombre de variation.
Les personnes qui accepteront avec confiance de s'y conformer recevront en retour la connaissance promise précisément à Daniel dans son chapitre 12.
C'est alors et alors seulement que les fausses doctrines, juives et chrétiennes, qui auront mené le monde où il en est, pourront être mises aux cabinets et évacuées définitivement. Leur faute : avoir transgressé le troisième Commandement.
C'est l'Eternel Lui-même qui va tirer la chasse, ainsi qu’Il l’annonce dans le même verset du troisième Commandement.

mercredi 13 janvier 2010

La vérité vous affranchira !

Bien qu'il soit universellement reconnu que la Bible est la Parole de l'Etre Suprême dictée et inspirée à ses serviteurs et qu’elle enseigne aux hommes la voie parfaite vers le salut, la conduite des hommes, menés par les religions, montre qu’il n’en est pas ainsi.

Il est évident que la plupart de ceux qui en sont les meneurs et les dignitaires substituent à la Parole de l'Eternel leurs propres inventions pour masquer leur ignorance et s’appliquent uniquement, sous le couvert de la religion, à obliger les autres à penser comme eux.

Ils s’ingénient à tirer des livres sacrés leurs propres doctrines fantaisistes et leurs jugements arbitraires en les abritant sous l’autorité divine.

Sans scrupules, ils se livrent à l’interprétation de l’Ecriture, c’est à dire de la pensée de l’Esprit Saint.
Leur seule grande crainte n’est pas de s’écarter du message divin mais d’être convaincus d’erreur et de mensonge par d’autres, de voir ainsi leur autorité et leur respectabilité jetées à terre et de s’attirer le mépris de ceux qu’ils ont trompés.

Si les hommes étaient sincères dans le témoignage qu’ils rendent à l’Ecriture, ils auraient une toute autre règle de vie. Ils ne seraient pas agités par tant de discordes et ils ne se combattraient pas avec tant de haine.

Le désir obsessionnel de découvrir dans l’Ecriture tantôt des sens cachés, tantôt des nouveautés, et surtout des interdictions de toutes sortes, ne les démangerait pas autant.
Au contraire, ils accepteraient comme saine doctrine tout ce que l’Ecriture enseigne avec une clarté limpide.
A toutes les époques, les meneurs religieux n’ont pas craint d’altérer l’Ecriture. Bien plus. Animés d’une ambition criminelle, ils ont fait en sorte que la religion consiste moins à obéir aux enseignements du souffle sacré qu’à défendre des élucubrations humaines.

Le résultat est qu'au travers de l'Histoire, les religions se sont employees à répandre parmi les hommes, non l’amour du prochain, y compris de l’étranger, mais le chauvinisme, sous un déguisement de zèle divin et de ferveur ardente.

A ces maux se sont joints la superstition et autres fétichismes qui entraînent à mépriser la nature et la raison et à vénérer ce qui leur est contraire.

Aussi n’est-il pas surprenant que le monde religieux se soit attaché à expliquer l’Ecriture de telle sorte qu’elle paraisse finalement contraire à la nature et à la raison.
Les portes sont grandes ouvertes à la recherche frénétique de profonds mystères cachés dans les livres saints, qu’on s’épuise à sonder, négligeant l’utile pour ne retenir que l’absurde.
Dès lors, tout ce que l’on invente dans ce délire est attribué à l’Esprit Saint ; et c’est avec l’ardeur des sentiments exacerbés que, de toutes ses forces, on défend des inepties.

Ainsi fonctionne le monde des congrégations religieuses, engoncées dans les dogmes et les rites les plus divers que des états d’âme douteux et des croyances irrationnelles leur ont inspirés.

Loin donc d’un besoin de se convertir à des dogmes trompeurs, il est impérieux et urgent de nous retirer de ces égarements, d’affranchir notre pensée et de ne pas nous attacher imprudemment à des inventions humaines qu’on nous présente comme des enseignements divins.
Il est grand temps d’user de la vraie méthode à suivre dans l’étude de l’Ecriture afin d’en avoir une vue claire.
Il n’est pas question de soustraire ni d’ajouter un mot, une lettre, aux textes sacrés, même si momentanément une partie de leur contenu échappe à notre entendement.
Ainsi qu'il est écrit: la vérité est un peu ici, un peu là.

Cette présentation dispersée des oracles a été voulue par l’Etre suprême pour éprouver chez tout un chacun le sens du discernement. C’est en faisant les raccords adéquats que le plus beau message du monde apparaîtra sous peu dans toute sa clarté et sa simplicité.

Pas question non plus de se départir du raisonnement rigoureux et de la logique, qui doivent accompagner toute analyse objective d’un verset ou d’un passage.

Enfin, c’est seulement de l’Ecriture elle-même qu’il faut tirer les réponses claires aux questions que sa lecture suscite.

Conclusion. Ce qui vient d’être établi et constaté rend vide de sens l’idée même d’une conversion contrôlée, labellisée sur base d’une doctrine officielle, rendue légalement incontournable par un pouvoir politico-religieux.

P.S. Le présent commentaire est, à peu de choses près, l’expression fidèle de la pensée de Spinoza dans son Traité théologico-politique.
Inutile de dire que peu de temps après, il s’est fait excommunier de la communauté juive, lui qui, en s'exilant, avait échappé de justesse aux bûchers de la "Sainte Inquisition", à la lueur desquels l'église catholique romaine entendait bien éclairer les esprits qui aiment trop la liberté que Dieu donne.