1. יהוה est UN. Mais ce n'est pas le UN arithmétique. Élohim est un mot pluriel, de DEUX et non pas trois. Le Père et le Fils sont UN, unis comme l'ont été Abraham et son fils Itzhac qui ont marché pendant trois jours vers le lieu du sacrifice.
Car, ne vous en déplaise, YHWH (que j'appelle Dieu, qui ne m'en tiendra pas rigueur), Dieu donc, a véritablement demandé à Abraham, pour le mettre à l'épreuve, de Lui sacrifier son fils bien aimé.
En arrêtant le geste d'Abraham qui, par obéissance, allait immoler Itzhac, obéissant et consentant, Dieu, par la bouche de Son ange portant Sa Parole, lui a fait comprendre ce que LUI allait laisser faire ultérieurement à Son Fils engendré, sans retenir Son bras.
Car la Torah est formelle. Il n'y a pas de pardon sans effusion de sang.
2. Où avez vous lu que nous placions Yéshoua au dessus du Père ?
Yéshoua (de Son vrai nom divin ISRAËL) a repris Sa nature divine après Son travail terrestre, détaché temporairement (12.000 jours) sous forme humaine en ayant porté le nom bien mérité de Yéshoua.
Ne vous en déplaise, le Père Lui a remis tout pouvoir dans les lieux célestes pour prendre possession de Son règne sur une terre renouvelée pendant le Shabbat millénaire, qui est sur le point de commencer.
3. Pendu au bois à la Pâque de l'an 27, Yéshoua a intercédé pour les coupables, Lui, le Juste intercédant pour les injustes que nous sommes TOUS, humains et peuples confondus. La Pâque est donc le seul événement biblique confirmant le pardon divin, dispensant de l'amende de la mort (anéantissement) tous ceux qui reconnaîtront Son sacrifice, qui tourneront vers LUI leurs regards suppliants et qui invoqueront Son NOM.
4. Dieu n'interdit à personne, au contraire, il demande à ceux qui lisent de faire attention, d'examiner les Saintes Écritures et les données chiffrées qu'elles contiennent en dates et nombres de jours prophétisés pour le temps final de la dernière semaine d'années.
L'article n° 223 en préparation contribuera peut-être à nous approcher d'une explication supplémentaire, encore une fois sur base unique des chiffres et dates bibliques et des rendez-vous solennels fixés par le calendrier de Moïse qu'aucune religion ne suit à 100 %.
5. Vous êtes un(e) ou deux personnes anciennement disciples de Yéshoua et devenues progressivement, pour des raisons que nous ne chercherons pas à établir, des prosélytes du judaïsme traditionnel ou en train de vous laisser entraîner dans un négationnisme incrédule deux fois millénaire de la seconde Alliance, pourtant fondée sur la même Torah, les mêmes prophètes, les mêmes écrits.
Permettez-moi de vous mettre en garde contre ce qui pourrait remettre en cause votre salut, dans la mesure où votre incrédulité serait volontaire après avoir été éclairés par la grâce de Celui qui a dit, qui a agi et qui a prouvé qu'Il était la Voie, la Vérité et la Vie.
Il y a donc, surtout depuis tantôt 2000 ans, trois sortes d'incrédules, et je n'en vois pas d'autres :
1.- Ceux qui, par volonté divine et en conséquence des rébellions de leurs pères, sont voilés à l'entendement et au discernement, quoique sincères et croyants (ou plutôt : croyant croire) et pas plus pécheurs que tous les autres. Ils ne font que subir la malédiction ("Je leur voilerai ma face") liée à leur résistance obstinée et entretenue au message unique et inchangé de leur Seigneur Éternel, avec Qui Abraham et Moïse ont parlé face à face, ont mangé et bu, ainsi que 70 chefs du peuple sur la montagne !
Il s'agit donc d'un déni, un négationnisme temporaire, auquel Dieu va mettre fin.
Tous ceux là sont voilés et seront maintenus tels quels jusqu'à ce que le dernier des disciples, choisis, rassemblés de tous lieux de la terre par Yéshoua, soit présent au rendez-vous final en Judée du peuple nouveau-né : le peuple des connaisseurs de la Trouah et de ce qu'elle signifie historiquement et bibliquement. Car le Verbe s'est fait chair, et Il a habité parmi nous.
Ceux de cette première catégorie vont pleurer amèrement quand, par l'Esprit et au moment qu'Il a choisi, Yéshoua se rappellera à leur souvenir biblique, par la Torah, dont le sens leur sera enfin dévoilée soudainement.
2.- Ceux qui, après avoir goûté que le Seigneur est bon, seront semblables, cette fois en toute connaissance, à ceux qui, au désert, ont préféré troquer leur Dieu de Gloire et bienveillant contre la figure d'un bœuf, un brouteur d'herbes. Autrement dit qui, pour un salaire ou autres avantages matériels, vont se jeter dans l'égarement de Balaam, au point de maudire sur ordre le peuple de Yéshoua.
3.- Ceux qui, de tous temps, ont été maintenus complétement ignorants par confort, par paresse, par tromperie culturelle ou religieuse et qui ont subi par conséquent la privation complète, parfois forcée, du message unique et inchangé du Dieu vivant. Exemple : en Iran, on fait de la prison pour la simple possession d'une bible.
Ceux là, avec leurs œuvres pour bagage, sont attendus à la seconde résurrection, puis au jugement dernier pour leur comparution devant le juste Juge.
Nous allons, tous et malgré nous, vivre des événements imminents qui ne devront pas nous laisser dubitatifs sur les choix à faire quand les témoins parleront et agiront, comme le firent Moïse et Élie. Peut-être le témoignage est-il déjà en cours, en tout cas il l'est par une nuée de témoins qui se lèvent maintenant, et partout. Ce n'est pas le moment de se priver de l'Esprit de Yéshoua pour affronter la tentation qui vient pour éprouver les habitants de la terre.