600 pages composent un ouvrage historique faisant référence dans le monde juif.
Son auteur est l'historien Joseph Klausner.
Il est intitulé :
"JESUS DE NAZARETH
Son temps - Sa vie - Sa doctrine."
Lecture faite, UNE SEULE FOIS (p 53 dont copie ci-dessous) est mentionné le seul et vrai prénom qui fut jamais porté par le Messie et Roi des Juifs : "Il s'appelait Yéshoua ".
C'est dans la même proportion que la longueur en mètres (3 m) que compte au musée d'Israël la partie de couloir qui lui a été spécifiquement attribuée.
Faut-il en rire ? Je ne crois pas.
D'une manière générale, la rigueur intellectuelle qui doit animer un historien, lorsqu'il s'attelle à la biographie d'un personnage historique, exige de l'appeler par son nom et pas par un surnom ou un sobriquet.
"Jésus" : prénom espagnol qui lui a été attribué quelques siècles + tard par le 3ème ou 4ème pape de la secte romaine !
pour la bonne raison que "Yéshoua", ça fait trop juif (peuple déicide, dixit le pape).
Côté juif traditionnel sadducéen (ancien ET actuel), on s'empresse de le nommer aussi "Jésus", ou "Yéshou" avec insistance, exactement pour les mêmes raisons; ça aide ainsi beaucoup mieux à le présenter comme l'inventeur du christianisme, plutôt que reconnaître que LE VERBE S'EST FAIT JUIF....Que reconnaître le bras de יהוה
Des confusions équivalentes et mauvais choix avaient marqué l'histoire biblique :
"Ils ont préféré troquer leur gloire contre la figure d'un boeuf, un brouteur d'herbe" !!
Prenons Napoléon Bonaparte comme personnage historique.
Les historiens, même anti bonapartistes, ont-ils écrit à son sujet en le nommant tout au long de leurs récits par un sobriquet comme, par exemple, "le petit caporal" ?
Force donc est de constater que cette recherche historico-religieuse universitaire de renom est gravement entachée d'une volonté de dissimuler soigneusement la signification hébraïque et prophétique du nom du personnage intéressé. Et pas le moindre !
On donne donc trop souvent le titre d' historien à des propagandistes politico-religieux, tout savants qu'ils soient.
Un des plus anciens du genre est Flavius Josèphe.
La perversité religieuse tous azimuts, effet de la séduction satanique, aura enfermé les hommes de toutes les générations dans la division et les querelles intestines.
NB.1. Curieusement, de nos jours, nombre de disciples du Roi des Juifs estropient aussi son nom : ישוע = (phonétiquement) :Yéshoua en l'appelant tantôt Yahshouah, tantôt Yahousha.
Pourquoi ? Mystère.
NB.2.
Après avoir lu ce que fut le parcours intellectuel impressionnant de Joseph Klausner dans ce qu'en a écrit son petit neveu Amos Oz, remarquable penseur et écrivain israélien dans son magnifique livre "Histoire d'amour et de ténèbres", j'ai très bien compris que c'est, sans l'avouer, par peur d'être "banni de la synagogue" que Joseph Klausner a conduit sa recherche historique et biaisé son analyse et ses propos sur Yéshoua; pour ne pas heurter de front et encourir le mépris et la vindicte des néo sadducéens talmudistes de son époque.
Il se devait donc, à l'instar des parents de l'aveugle né (Jean 9), de fournir un argumentaire "de normand", cauteleux.
La même conclusion s'impose décidément : la vérité biblique était destinée à être piétinée par les milieux religieux officiels.
Le monde chrétien a été berné par l'église catholique romaine et ses soeurs, comme le monde juif a été trompé par dissimulation du même message divin universel, les Hébreux ayant été choisis au départ comme peuple exemple.
Mais devant le Dieu suprême, ceux-ci ont l'immense excuse des persécutions abominables, qui perdurent encore aujourd'hui, que le monde "chrétien" gréco-romanisé leur ont infligées pendant 20 siècles. Je ne prends comme exemple que les vomissures antisémites débitées sur les antennes polonaises de "Radio Maria".
Encore un peu de temps et ils vont apprendre, estomaqués, la vraie identité de cette "Maria" qui les a tous tant séduits, la vierge du bordel mondial.
Son auteur est l'historien Joseph Klausner.
Il est intitulé :
"JESUS DE NAZARETH
Son temps - Sa vie - Sa doctrine."
Lecture faite, UNE SEULE FOIS (p 53 dont copie ci-dessous) est mentionné le seul et vrai prénom qui fut jamais porté par le Messie et Roi des Juifs : "Il s'appelait Yéshoua ".
C'est dans la même proportion que la longueur en mètres (3 m) que compte au musée d'Israël la partie de couloir qui lui a été spécifiquement attribuée.
Faut-il en rire ? Je ne crois pas.
D'une manière générale, la rigueur intellectuelle qui doit animer un historien, lorsqu'il s'attelle à la biographie d'un personnage historique, exige de l'appeler par son nom et pas par un surnom ou un sobriquet.
"Jésus" : prénom espagnol qui lui a été attribué quelques siècles + tard par le 3ème ou 4ème pape de la secte romaine !
pour la bonne raison que "Yéshoua", ça fait trop juif (peuple déicide, dixit le pape).
Côté juif traditionnel sadducéen (ancien ET actuel), on s'empresse de le nommer aussi "Jésus", ou "Yéshou" avec insistance, exactement pour les mêmes raisons; ça aide ainsi beaucoup mieux à le présenter comme l'inventeur du christianisme, plutôt que reconnaître que LE VERBE S'EST FAIT JUIF....Que reconnaître le bras de יהוה
Des confusions équivalentes et mauvais choix avaient marqué l'histoire biblique :
"Ils ont préféré troquer leur gloire contre la figure d'un boeuf, un brouteur d'herbe" !!
Prenons Napoléon Bonaparte comme personnage historique.
Les historiens, même anti bonapartistes, ont-ils écrit à son sujet en le nommant tout au long de leurs récits par un sobriquet comme, par exemple, "le petit caporal" ?
Force donc est de constater que cette recherche historico-religieuse universitaire de renom est gravement entachée d'une volonté de dissimuler soigneusement la signification hébraïque et prophétique du nom du personnage intéressé. Et pas le moindre !
On donne donc trop souvent le titre d' historien à des propagandistes politico-religieux, tout savants qu'ils soient.
Un des plus anciens du genre est Flavius Josèphe.
La perversité religieuse tous azimuts, effet de la séduction satanique, aura enfermé les hommes de toutes les générations dans la division et les querelles intestines.
NB.1. Curieusement, de nos jours, nombre de disciples du Roi des Juifs estropient aussi son nom : ישוע = (phonétiquement) :Yéshoua en l'appelant tantôt Yahshouah, tantôt Yahousha.
Pourquoi ? Mystère.
NB.2.
Après avoir lu ce que fut le parcours intellectuel impressionnant de Joseph Klausner dans ce qu'en a écrit son petit neveu Amos Oz, remarquable penseur et écrivain israélien dans son magnifique livre "Histoire d'amour et de ténèbres", j'ai très bien compris que c'est, sans l'avouer, par peur d'être "banni de la synagogue" que Joseph Klausner a conduit sa recherche historique et biaisé son analyse et ses propos sur Yéshoua; pour ne pas heurter de front et encourir le mépris et la vindicte des néo sadducéens talmudistes de son époque.
Il se devait donc, à l'instar des parents de l'aveugle né (Jean 9), de fournir un argumentaire "de normand", cauteleux.
La même conclusion s'impose décidément : la vérité biblique était destinée à être piétinée par les milieux religieux officiels.
Le monde chrétien a été berné par l'église catholique romaine et ses soeurs, comme le monde juif a été trompé par dissimulation du même message divin universel, les Hébreux ayant été choisis au départ comme peuple exemple.
Mais devant le Dieu suprême, ceux-ci ont l'immense excuse des persécutions abominables, qui perdurent encore aujourd'hui, que le monde "chrétien" gréco-romanisé leur ont infligées pendant 20 siècles. Je ne prends comme exemple que les vomissures antisémites débitées sur les antennes polonaises de "Radio Maria".
Encore un peu de temps et ils vont apprendre, estomaqués, la vraie identité de cette "Maria" qui les a tous tant séduits, la vierge du bordel mondial.