Le 31 octobre 2017 prochain, le folklore macabre annuel d'"haloween" 100 % satanique mettra en état d'excitation des centaines de millions de demeurés qui se pareront de masques hideux en poussant des cris de putois.
C'est aussi en ce jour (est-ce un hasard ?) qu' aura lieu un événement religieux qui nous fait penser à l'apostasie dont parle Paul dans l'épître aux Thessaloniciens.
Le Pape-jésuite dit François a choisi ce jour, qui est le 500ième anniversaire de la publication par le moine Martin Luther de sa thèse réformiste pour signer, avec plusieurs dignitaires du protestantisme, l'acte qui, sous l'apparence d'une grande réconciliation, soumettra le monde protestant à l'autorité papale.
Du coup, l'évangélisation sera désormais normalisée et modelée à la manière qu'avait conçue "saint Ignace de Loyola", patron des jésuites, société branche du catholicisme dont le programme fondateur était l'écrasement du protestantisme.
Les images taillées sont très explicites. La statue de ce saint homme le représente, écrasant sous ses pieds les hérétiques protestants, en imitation de celle de l'ange Micaël terrassant le démon.
Ce même dessein, après avoir échoué par le moyen brutal des guerres de religion, a été sans cesse poursuivi, pour être atteint de nos jours par la manière doucereuse, la flatterie, le baratin mielleux etc. Bref, ce qu'on peut appeler le masque de l'amour.
La boucle sera bouclée. Il ne sera désormais plus question de revenir sur le passé criminel de la secte romaine et de toutes les abominations sanglantes qu'elle a perpétrées au nom du "Christ Roi" et de la "sainte vierge" surnommée "mère de Dieu" que certains désignent aussi, par inclination fantaisiste et personnelle, comme "femme de Dieu" (n'importe quoi !).
Oubliées et pardonnées les croisades, l'inquisition, la tuerie de la "saint Barthélemy", la persécution séculaire des juifs, la guerre contre les vaudois, les cathares. Toutes sortes d'oeuvres meurtrières. En ces siècles fâcheux, c'était à la lueur des bûchers qu'on entendait éclairer les populations de la vérité divine, dont on se faisait à la fois les représentants et l'instrument de punition en cas d'hérésie.
Entre autres, le supplice à mort du jeune et humoristique Chevalier de la Barre en 1766. Il ne s'était pas découvert au passage d'une procession en l'honneur de la Vierge.
Entre autres abominations aussi la façon dont les inquisiteurs taquinaient le derrière des Juifs pendant leur interrogatoire, au moyen d'un instrument appelé "chaise de Judas", très efficace pour faire avouer aux torturés n'importe quoi, y compris ce qu'ils ignoraient totalement.
Mais tout çà n'a plus guère d'importance, puisque l'Eglise Vaticane vous tend les bras. A tout péché miséricorde. Et le pardon est déjà accordé par Dieu, qui pardonne tout, selon le Pape, autoproclamé infaillible.
Du passé faisons table rase. C'est à peu près dans ces termes que déjà Karol Wojtila, surnommé Jean-Paul II et succédant à Jean-Paul premier (mort empoisonné comme au bon vieux temps des Borgia), a exprimé du bout des lèvres ses regrets, au nom de l'église romaine toute entière, d'avoir parfois poussé le bouchon un peu trop loin, par excès de zèle, de ferveur et d'amour pour Dieu et sa mère la reine du ciel.
NB. En version plus ancienne que le culte marial, la reine du ciel était déjà bien vénérée du temps de Jérémie (chap 7).
D'autres fantaisies religieuses, telles la main de Fatma avec le mauvais oeil qui fait peur aux superstitieux, sont du même tonneau et rendent méchants les idolâtres qui tombent dans ces pièges.
On ne va pas tarder à s'en apercevoir à nouveau, une fois les masques tombés.
Les dérives autoritaires reprendront leurs anciennes formes et ne tarderont pas à suivre, sitôt signé cet acte incompréhensible de réconciliation du monde protestant avec les principaux instigateurs du mensonge. Nul doute que l'esprit de Yéshoua qui leur restait va se retirer d'eux.
Non seulement les famines arrivent, mais aussi la famine de la Parole.
Comment peut-on tomber si bas dans la prostitution religieuse en y entraînant des centaines de millions de suiveurs ?
Nanti d'une nouvelle autorité, qui lui aura été conférée par cette stupéfiante allégeance, ce pape-roi sera rétabli mondialement en position de force pour la course au pouvoir suprême, mondial.
Cette course implique une collaboration complice en tandem avec l'homme impie, la bête, que la prophétie annonce qu'il apparaîtra à la suite de l'apostasie : 2 Thess 2. Dans un premier temps il lui apportera sa caution morale, selon la prophétie de Apo 13.
La course au pouvoir mondial tournera en sa défaveur et le mènera à sa perte, les 10 rois (satrapes complices de la bête) haïront la grande prostituée et lui feront un mauvais sort. Apo 17.
Le sort final, le jugement de la curie romaine se rattachent aux 42 mois qui suivront la mort et la résurrection des deux témoins.
Il faut se préparer maintenant à passer ces mauvais et derniers soubresauts du monde comme il va, avec l'oeil résolument fixé sur le bout du tunnel et le renouvellement de toutes choses, en louant et suppliant YHWH - YAHOA - יהוה par notre avocat, sa Parole agissante Yéshoua, car Il est bon, car Sa miséricorde s'étend sans faillir sur tous ceux qui le craignent.
C'est aussi en ce jour (est-ce un hasard ?) qu' aura lieu un événement religieux qui nous fait penser à l'apostasie dont parle Paul dans l'épître aux Thessaloniciens.
Le Pape-jésuite dit François a choisi ce jour, qui est le 500ième anniversaire de la publication par le moine Martin Luther de sa thèse réformiste pour signer, avec plusieurs dignitaires du protestantisme, l'acte qui, sous l'apparence d'une grande réconciliation, soumettra le monde protestant à l'autorité papale.
Du coup, l'évangélisation sera désormais normalisée et modelée à la manière qu'avait conçue "saint Ignace de Loyola", patron des jésuites, société branche du catholicisme dont le programme fondateur était l'écrasement du protestantisme.
Les images taillées sont très explicites. La statue de ce saint homme le représente, écrasant sous ses pieds les hérétiques protestants, en imitation de celle de l'ange Micaël terrassant le démon.
Ce même dessein, après avoir échoué par le moyen brutal des guerres de religion, a été sans cesse poursuivi, pour être atteint de nos jours par la manière doucereuse, la flatterie, le baratin mielleux etc. Bref, ce qu'on peut appeler le masque de l'amour.
La boucle sera bouclée. Il ne sera désormais plus question de revenir sur le passé criminel de la secte romaine et de toutes les abominations sanglantes qu'elle a perpétrées au nom du "Christ Roi" et de la "sainte vierge" surnommée "mère de Dieu" que certains désignent aussi, par inclination fantaisiste et personnelle, comme "femme de Dieu" (n'importe quoi !).
Oubliées et pardonnées les croisades, l'inquisition, la tuerie de la "saint Barthélemy", la persécution séculaire des juifs, la guerre contre les vaudois, les cathares. Toutes sortes d'oeuvres meurtrières. En ces siècles fâcheux, c'était à la lueur des bûchers qu'on entendait éclairer les populations de la vérité divine, dont on se faisait à la fois les représentants et l'instrument de punition en cas d'hérésie.
Entre autres, le supplice à mort du jeune et humoristique Chevalier de la Barre en 1766. Il ne s'était pas découvert au passage d'une procession en l'honneur de la Vierge.
Entre autres abominations aussi la façon dont les inquisiteurs taquinaient le derrière des Juifs pendant leur interrogatoire, au moyen d'un instrument appelé "chaise de Judas", très efficace pour faire avouer aux torturés n'importe quoi, y compris ce qu'ils ignoraient totalement.
Mais tout çà n'a plus guère d'importance, puisque l'Eglise Vaticane vous tend les bras. A tout péché miséricorde. Et le pardon est déjà accordé par Dieu, qui pardonne tout, selon le Pape, autoproclamé infaillible.
Du passé faisons table rase. C'est à peu près dans ces termes que déjà Karol Wojtila, surnommé Jean-Paul II et succédant à Jean-Paul premier (mort empoisonné comme au bon vieux temps des Borgia), a exprimé du bout des lèvres ses regrets, au nom de l'église romaine toute entière, d'avoir parfois poussé le bouchon un peu trop loin, par excès de zèle, de ferveur et d'amour pour Dieu et sa mère la reine du ciel.
NB. En version plus ancienne que le culte marial, la reine du ciel était déjà bien vénérée du temps de Jérémie (chap 7).
D'autres fantaisies religieuses, telles la main de Fatma avec le mauvais oeil qui fait peur aux superstitieux, sont du même tonneau et rendent méchants les idolâtres qui tombent dans ces pièges.
On ne va pas tarder à s'en apercevoir à nouveau, une fois les masques tombés.
Les dérives autoritaires reprendront leurs anciennes formes et ne tarderont pas à suivre, sitôt signé cet acte incompréhensible de réconciliation du monde protestant avec les principaux instigateurs du mensonge. Nul doute que l'esprit de Yéshoua qui leur restait va se retirer d'eux.
Non seulement les famines arrivent, mais aussi la famine de la Parole.
Comment peut-on tomber si bas dans la prostitution religieuse en y entraînant des centaines de millions de suiveurs ?
Nanti d'une nouvelle autorité, qui lui aura été conférée par cette stupéfiante allégeance, ce pape-roi sera rétabli mondialement en position de force pour la course au pouvoir suprême, mondial.
Cette course implique une collaboration complice en tandem avec l'homme impie, la bête, que la prophétie annonce qu'il apparaîtra à la suite de l'apostasie : 2 Thess 2. Dans un premier temps il lui apportera sa caution morale, selon la prophétie de Apo 13.
La course au pouvoir mondial tournera en sa défaveur et le mènera à sa perte, les 10 rois (satrapes complices de la bête) haïront la grande prostituée et lui feront un mauvais sort. Apo 17.
Le sort final, le jugement de la curie romaine se rattachent aux 42 mois qui suivront la mort et la résurrection des deux témoins.
Il faut se préparer maintenant à passer ces mauvais et derniers soubresauts du monde comme il va, avec l'oeil résolument fixé sur le bout du tunnel et le renouvellement de toutes choses, en louant et suppliant YHWH - YAHOA - יהוה par notre avocat, sa Parole agissante Yéshoua, car Il est bon, car Sa miséricorde s'étend sans faillir sur tous ceux qui le craignent.