1914-1918 Première partie
Il y a 100 ans, avec une sévère valeur d’avertissement sur ce à quoi peut-nous mener la démence humaine, le début du 20ième siècle a vu l’horreur satanique se déchaîner mondialement, à savoir la première guerre industrielle que fut 1914-1918.
Une industrie, concoctée par les damnés des deux camps. Ceux qui, depuis les fauteuils moelleux de leurs bureaux et de leurs conseils d’administration, ont choisi de faire de cette horreur absolue des affaires juteuses. Une industrie dont les morts sont les déchets, des résidus de production.
Pour assouvir leur avidité de bêtes féroces, ils ont corrompu, flatté et manipulé les âmes de sous-hommes qui convenaient à l’accomplissement de la sale besogne : politiciens et presse nationaliste pour enflammer l’opinion publique, hauts commandements militaires des deux camps composés de véritables assassins à képi,
Ces derniers, bien embusqués à partir du grade de colonel, envoyaient à la boucherie, avec l’aval des politiciens, des régiments entiers de petits paysans arrachés à leur terre, transformés en chair à canon, fantassins contre mitrailleuses lourdes, dans des offensives aussi stupides qu’inutiles, massivement meurtrières pour cette piétaille qu’ils méprisaient.
Jetés dans cet enfer de feu, de sang, de boue et de froid, ces pauvres garçons auxquels il serait venue l’idée saugrenue d’hésiter un peu en comprenant qu’on les envoyait à la mort pour rien ou, pire, de reculer devant cette folie, se retrouvaient tantôt face aux gendarmes de l’arrière, qui les rééduquaient d’une balle dans la tête, tantôt étaient fusillés pour l’exemple après une parodie de procès, toujours expéditif, devant un conseil de guerre désigné arbitrairement, donc corrompu d’entendement et systématiquement impitoyable. Au besoin, leur propre artillerie leur tirait dans le dos pour les empêcher de reculer.
En 1918, à l’armistice, furent signées et imposées à l’Allemagne des conditions de reddition imbéciles qui équivalaient à dérouler le tapis rouge à l’horreur suivante qui n’allait pas tarder : Hitler et les nazis, moins de 20 ans plus tard, la nuit de cristal et la Shoah.
Alors que sur les veuves et familles des fusillés pour l’exemple était jeté un opprobre qu’on réserve à des traîtres, assorti d’humiliations, d’interdictions professionnelles etc., tous ces planqués, nuisibles et incompétents, ont même pris du galon après la « victoire ». Ils se mirent alors à parader fièrement dans les cortèges et cérémonies patriotiques au son du clairon, avec une indécence qui crie vengeance au ciel, pour, tenez-vous bien ! rendre les honneurs militaires au « soldat inconnu » (au singulier) : image réductrice, simpliste, nullement dérangeante et très commode pour effacer au plus vite les centaines de milliers de morts enterrés en morceaux dans ces charniers.
Très bonne idée que ce soldat inconnu, remplaçant la multitude de ceux-là. Car si ceux-là, après l’armistice, avaient dû défiler au pas et en rangs au cours de ces parades, devant ces galonnés plastronnant dans les tribunes officielles, ils les eussent obligés de les saluer sans baisser les bras pendant 11 jours et 11 nuits… Effort inhumain, donnant lieu à des crampes et à des privations de sommeil ; ça aurait fait désordre et pour tout dire : pas très sérieux !
Voilà. Qu’on me pardonne de m’être tout d’abord un peu défoulé sur le dégoût que m’inspirent ces folklores politico-militaro mortuaires cocardiers.
Pour bien prendre la mesure de ce qui s’est passé durant ces 4 années de démence, je vous suggère de consulter sur YouTube un document enquête intitulé « fusillés pour l’exemple » et aussi, pour les amateurs de cinéma, 2 films percutants : « le pantalon » du réalisateur Yves Boisset, et « King and country » de Joseph Cosey. Film britannique, traduit en Français lui aussi par le titre « fusillés pour l’exemple » .
2014-2018. Deuxième partie
Un siècle plus tard, nous revoici tous sur le point d’aborder, au prochain printemps, le retour de 4 années numérotées elles aussi 14-18, dans un monde occidental ramolli, anesthésié, amorphe et colloïdal face aux malheurs qui frappent la terre un peu partout. Un monde entraîné, par la même démence, dans une horreur économique, une guerre économique à mort à l’échelle planétaire, censée comme toujours nous faire payer très cher le prix de notre destruction.
C’est humain, peut-être aurions-nous pu croire un moment que la délivrance annoncée et promise de notre Elohim eut pu être hâtée par un retrait de 10 ans (avance compensatoires de phénomènes miraculeux de retards dans le passé) sur le compte total des 6000 ans arrivant à leur terme fin 2024.
De toute évidence, il faut mettre cette hypothèse à la poubelle. YHWH fait accélérer le temps, mais ne soustrait rien du nombre des années restant à écouler. La fin n’arrivera qu’au temps marqué.
L’horreur actuelle, la danse avec le diable, se poursuivra cette fois, du moins dans un premier temps, avec des scénari et des moyens différents de ce qu’ils furent au siècle dernier. Tout d’abord, Il est capital de bien prendre la mesure du plan satanique, inchangé depuis le commencement : détruire la terre, la Création. Et ce, depuis la faute du premier Adam, qui marqua le passage d’un monde parfait à un monde corrompu.
Or, pour détruire la terre et ses habitants, il faut détruire l’agriculture, détruire les cadeaux du ciel et de la terre par lesquels notre Elohim nous bénit et nous nourrit, au travers de la générosité et de l’abondance de la nature, dans sa lenteur prodigieuse et fascinante, tout en étalant ses splendeurs à nos yeux.
Derrière l’horrible scénario de la guerre de 14-18 se cachait le même dessein, en filigrane, dissimulé à l’analyse immédiate, à savoir : détruire l’agriculture, à l’époque assurée par des millions de petits agriculteurs, travaillant à l’échelle familiale dans la polyculture et l’élevage sur une terre encore plus ou moins respectée. Ces millions sont devenus, comme on le sait, de la chair à canon, par les soins de sous-hommes, encore honorés aujourd’hui par des portraits, voire des statues. Indécent !
Les damnés d'aujourd’hui sont plus délicats, quoique descendants de l’espèce précédente.
Ils ont, bien entendu, le même patron, auquel ils doivent rendre des comptes sous peine de se faire virer, privés de tous les privilèges, pouvoir et richesses, qu’il donne à qui il veut.
Aujourd’hui, la destruction de l’agriculture s’opère, non plus par la destruction des agriculteurs, procédé un peu trop grossier et qui ne tient pas compte du progrès. Non, il s’agit maintenant de détruire par la chimie les processus mêmes de la vie des sols, de leur fertilité naturelle et leur capacité de nourrir les populations.
Cette chimie est d’ailleurs issue des pesticides élaborés par les laboratoires et usines du 3ième Reich, dont le ziclon B. Le nouvel usage de ces saloperies par leurs débouchés agricoles fut une aubaine juteuse pour ces scélérats. Et si on peut empoisonner à la fois les sols, les eaux et les hommes, c’est faire coup double ou triple. Exemple : comme une campagne de gazage de toute la terre, des avions-citernes en haute altitude dispersent chaque jour dans toutes les régions habitées du monde des « nuages » de nanoparticules d’aluminium, de strontium et de baryum. Parmi les effets escomptés : tournée générale du syndrome Alzheimer ( présence d’aluminium dans le cerveau), sans parler des famines, résultat de la destruction des sols.
Trompés et ruinés par Monsanto, un millier de petits paysans indiens se suicident par mois, en moyenne, depuis plus de 15 ans.
Notre monde occidental ramolli par la consommation, anesthésié par les plaisirs de pacotille, par la télévision, la politique spectacle et le sport, permet que des programmes génocidaires de grande ampleur puissent être menés en toute impunité et même avec l’aide des états, dans l’indifférence générale et sans l’usage des canons.
Les buts sont même affichés et gravés dans le marbre comme une charte satanique : asservir les peuples lambda, réduire drastiquement la population mondiale à 500 M habitants, s’accaparer ce qui reste de la terre non encore dévastée pour se la partager, populations survivantes comprises, entre une dizaine d’élites financières chapeautant les principaux secteurs (les 10 rois), assis sur une hiérarchie pyramidale composée de complices : satrapes, gouverneurs et autres magistrats qu’on arrose de couche en couche ; la dernière étant le reste réduit à la servitude .Comme au bon vieux temps des Assyriens et de l’empereur babylonien Nabuchodonosor.
Lui, au moins, avait fini par revenir de sa folie après 7 ans de démence. Il n’en sera pas de même avec celui qui vient.
Après 2018 . troisième partie
Au bout de ces 4 ans écoulés, soumise à un tel programme de destruction, la terre entière sera à plat, plongée dans l’angoisse et les grandes privations, prête à accueillir à bras ouverts et remplie d’admiration celui qui apparaîtra comme providentiel, promettant salaire et gamelle remplie à ceux qui le suivront. Satan placera ses deux principaux porte-paroles au pouvoir, en tandem : le politique et le religieux.
Pour un salaire, beaucoup se jetteront dans l’égarement de Balaam vu que l'homme impie, appuyé par son complice temporaire (le pape) apportera des solutions séductrices dictées par Satan lui-même qui leur prêtera son intelligence; ce dont il fait "bénéficier" depuis longtemps ceux et celles qui entrent dans son piège pour "réussir" dans la vie.
Les multitudes séduites suivront ce nouveau führer pendant 3 ans et demi. Endéans ce même laps de temps, l’ultime avertissement d’Elohim sera lancé au monde par la bouche des deux oints animés par l’esprit d’Elie. Comment ne pas comprendre dès maintenant qu’ils seront présentés comme des emmerdeurs, voire des terroristes, par ce pouvoir politico-religieux tout occupé à faire renaître le saint empire romain germanique ? D'où leur assassinat, automne 2021, en tête du 7ième mois, c’est le milieu de la « dernière semaine ».
C’est au moment de cette dernière abomination, commise avant le jugement, que le peuple nouveau-né, les prémices rassemblés en Judée, fuiront, poursuivis par l’armée de l’impie, devenu soudain la bête (Satan l’ayant totalement investi, puisque chassé du trône céleste).
La suite est révélée dans la Révélation : Apo. 11 et 12 etc. La grande foule accepte de mourir, « lavée dans le sang de l’Agneau », le reste (ceux qui sont désignés dans le texte sous le terme d'habitants de la terre) est livré à lui-même. Ils entrent en jugement jusqu’au terme de la «semaine », plus précisément des 1290 et 1335 jours. C'est jusqu'à l'achèvement de cette courte période qu'ils subissent les sept coupes de la colère, à la suite les unes des autres.
Courage et persévérance à tous et à toutes, dans la fidélité à la Parole de Notre Elohim, par Yashoua.
Il y a 100 ans, avec une sévère valeur d’avertissement sur ce à quoi peut-nous mener la démence humaine, le début du 20ième siècle a vu l’horreur satanique se déchaîner mondialement, à savoir la première guerre industrielle que fut 1914-1918.
Une industrie, concoctée par les damnés des deux camps. Ceux qui, depuis les fauteuils moelleux de leurs bureaux et de leurs conseils d’administration, ont choisi de faire de cette horreur absolue des affaires juteuses. Une industrie dont les morts sont les déchets, des résidus de production.
Pour assouvir leur avidité de bêtes féroces, ils ont corrompu, flatté et manipulé les âmes de sous-hommes qui convenaient à l’accomplissement de la sale besogne : politiciens et presse nationaliste pour enflammer l’opinion publique, hauts commandements militaires des deux camps composés de véritables assassins à képi,
Ces derniers, bien embusqués à partir du grade de colonel, envoyaient à la boucherie, avec l’aval des politiciens, des régiments entiers de petits paysans arrachés à leur terre, transformés en chair à canon, fantassins contre mitrailleuses lourdes, dans des offensives aussi stupides qu’inutiles, massivement meurtrières pour cette piétaille qu’ils méprisaient.
Jetés dans cet enfer de feu, de sang, de boue et de froid, ces pauvres garçons auxquels il serait venue l’idée saugrenue d’hésiter un peu en comprenant qu’on les envoyait à la mort pour rien ou, pire, de reculer devant cette folie, se retrouvaient tantôt face aux gendarmes de l’arrière, qui les rééduquaient d’une balle dans la tête, tantôt étaient fusillés pour l’exemple après une parodie de procès, toujours expéditif, devant un conseil de guerre désigné arbitrairement, donc corrompu d’entendement et systématiquement impitoyable. Au besoin, leur propre artillerie leur tirait dans le dos pour les empêcher de reculer.
En 1918, à l’armistice, furent signées et imposées à l’Allemagne des conditions de reddition imbéciles qui équivalaient à dérouler le tapis rouge à l’horreur suivante qui n’allait pas tarder : Hitler et les nazis, moins de 20 ans plus tard, la nuit de cristal et la Shoah.
Alors que sur les veuves et familles des fusillés pour l’exemple était jeté un opprobre qu’on réserve à des traîtres, assorti d’humiliations, d’interdictions professionnelles etc., tous ces planqués, nuisibles et incompétents, ont même pris du galon après la « victoire ». Ils se mirent alors à parader fièrement dans les cortèges et cérémonies patriotiques au son du clairon, avec une indécence qui crie vengeance au ciel, pour, tenez-vous bien ! rendre les honneurs militaires au « soldat inconnu » (au singulier) : image réductrice, simpliste, nullement dérangeante et très commode pour effacer au plus vite les centaines de milliers de morts enterrés en morceaux dans ces charniers.
Très bonne idée que ce soldat inconnu, remplaçant la multitude de ceux-là. Car si ceux-là, après l’armistice, avaient dû défiler au pas et en rangs au cours de ces parades, devant ces galonnés plastronnant dans les tribunes officielles, ils les eussent obligés de les saluer sans baisser les bras pendant 11 jours et 11 nuits… Effort inhumain, donnant lieu à des crampes et à des privations de sommeil ; ça aurait fait désordre et pour tout dire : pas très sérieux !
Voilà. Qu’on me pardonne de m’être tout d’abord un peu défoulé sur le dégoût que m’inspirent ces folklores politico-militaro mortuaires cocardiers.
Pour bien prendre la mesure de ce qui s’est passé durant ces 4 années de démence, je vous suggère de consulter sur YouTube un document enquête intitulé « fusillés pour l’exemple » et aussi, pour les amateurs de cinéma, 2 films percutants : « le pantalon » du réalisateur Yves Boisset, et « King and country » de Joseph Cosey. Film britannique, traduit en Français lui aussi par le titre « fusillés pour l’exemple » .
2014-2018. Deuxième partie
Un siècle plus tard, nous revoici tous sur le point d’aborder, au prochain printemps, le retour de 4 années numérotées elles aussi 14-18, dans un monde occidental ramolli, anesthésié, amorphe et colloïdal face aux malheurs qui frappent la terre un peu partout. Un monde entraîné, par la même démence, dans une horreur économique, une guerre économique à mort à l’échelle planétaire, censée comme toujours nous faire payer très cher le prix de notre destruction.
C’est humain, peut-être aurions-nous pu croire un moment que la délivrance annoncée et promise de notre Elohim eut pu être hâtée par un retrait de 10 ans (avance compensatoires de phénomènes miraculeux de retards dans le passé) sur le compte total des 6000 ans arrivant à leur terme fin 2024.
De toute évidence, il faut mettre cette hypothèse à la poubelle. YHWH fait accélérer le temps, mais ne soustrait rien du nombre des années restant à écouler. La fin n’arrivera qu’au temps marqué.
L’horreur actuelle, la danse avec le diable, se poursuivra cette fois, du moins dans un premier temps, avec des scénari et des moyens différents de ce qu’ils furent au siècle dernier. Tout d’abord, Il est capital de bien prendre la mesure du plan satanique, inchangé depuis le commencement : détruire la terre, la Création. Et ce, depuis la faute du premier Adam, qui marqua le passage d’un monde parfait à un monde corrompu.
Or, pour détruire la terre et ses habitants, il faut détruire l’agriculture, détruire les cadeaux du ciel et de la terre par lesquels notre Elohim nous bénit et nous nourrit, au travers de la générosité et de l’abondance de la nature, dans sa lenteur prodigieuse et fascinante, tout en étalant ses splendeurs à nos yeux.
Derrière l’horrible scénario de la guerre de 14-18 se cachait le même dessein, en filigrane, dissimulé à l’analyse immédiate, à savoir : détruire l’agriculture, à l’époque assurée par des millions de petits agriculteurs, travaillant à l’échelle familiale dans la polyculture et l’élevage sur une terre encore plus ou moins respectée. Ces millions sont devenus, comme on le sait, de la chair à canon, par les soins de sous-hommes, encore honorés aujourd’hui par des portraits, voire des statues. Indécent !
Les damnés d'aujourd’hui sont plus délicats, quoique descendants de l’espèce précédente.
Ils ont, bien entendu, le même patron, auquel ils doivent rendre des comptes sous peine de se faire virer, privés de tous les privilèges, pouvoir et richesses, qu’il donne à qui il veut.
Aujourd’hui, la destruction de l’agriculture s’opère, non plus par la destruction des agriculteurs, procédé un peu trop grossier et qui ne tient pas compte du progrès. Non, il s’agit maintenant de détruire par la chimie les processus mêmes de la vie des sols, de leur fertilité naturelle et leur capacité de nourrir les populations.
Cette chimie est d’ailleurs issue des pesticides élaborés par les laboratoires et usines du 3ième Reich, dont le ziclon B. Le nouvel usage de ces saloperies par leurs débouchés agricoles fut une aubaine juteuse pour ces scélérats. Et si on peut empoisonner à la fois les sols, les eaux et les hommes, c’est faire coup double ou triple. Exemple : comme une campagne de gazage de toute la terre, des avions-citernes en haute altitude dispersent chaque jour dans toutes les régions habitées du monde des « nuages » de nanoparticules d’aluminium, de strontium et de baryum. Parmi les effets escomptés : tournée générale du syndrome Alzheimer ( présence d’aluminium dans le cerveau), sans parler des famines, résultat de la destruction des sols.
Trompés et ruinés par Monsanto, un millier de petits paysans indiens se suicident par mois, en moyenne, depuis plus de 15 ans.
Notre monde occidental ramolli par la consommation, anesthésié par les plaisirs de pacotille, par la télévision, la politique spectacle et le sport, permet que des programmes génocidaires de grande ampleur puissent être menés en toute impunité et même avec l’aide des états, dans l’indifférence générale et sans l’usage des canons.
Les buts sont même affichés et gravés dans le marbre comme une charte satanique : asservir les peuples lambda, réduire drastiquement la population mondiale à 500 M habitants, s’accaparer ce qui reste de la terre non encore dévastée pour se la partager, populations survivantes comprises, entre une dizaine d’élites financières chapeautant les principaux secteurs (les 10 rois), assis sur une hiérarchie pyramidale composée de complices : satrapes, gouverneurs et autres magistrats qu’on arrose de couche en couche ; la dernière étant le reste réduit à la servitude .Comme au bon vieux temps des Assyriens et de l’empereur babylonien Nabuchodonosor.
Lui, au moins, avait fini par revenir de sa folie après 7 ans de démence. Il n’en sera pas de même avec celui qui vient.
Après 2018 . troisième partie
Au bout de ces 4 ans écoulés, soumise à un tel programme de destruction, la terre entière sera à plat, plongée dans l’angoisse et les grandes privations, prête à accueillir à bras ouverts et remplie d’admiration celui qui apparaîtra comme providentiel, promettant salaire et gamelle remplie à ceux qui le suivront. Satan placera ses deux principaux porte-paroles au pouvoir, en tandem : le politique et le religieux.
Pour un salaire, beaucoup se jetteront dans l’égarement de Balaam vu que l'homme impie, appuyé par son complice temporaire (le pape) apportera des solutions séductrices dictées par Satan lui-même qui leur prêtera son intelligence; ce dont il fait "bénéficier" depuis longtemps ceux et celles qui entrent dans son piège pour "réussir" dans la vie.
Les multitudes séduites suivront ce nouveau führer pendant 3 ans et demi. Endéans ce même laps de temps, l’ultime avertissement d’Elohim sera lancé au monde par la bouche des deux oints animés par l’esprit d’Elie. Comment ne pas comprendre dès maintenant qu’ils seront présentés comme des emmerdeurs, voire des terroristes, par ce pouvoir politico-religieux tout occupé à faire renaître le saint empire romain germanique ? D'où leur assassinat, automne 2021, en tête du 7ième mois, c’est le milieu de la « dernière semaine ».
C’est au moment de cette dernière abomination, commise avant le jugement, que le peuple nouveau-né, les prémices rassemblés en Judée, fuiront, poursuivis par l’armée de l’impie, devenu soudain la bête (Satan l’ayant totalement investi, puisque chassé du trône céleste).
La suite est révélée dans la Révélation : Apo. 11 et 12 etc. La grande foule accepte de mourir, « lavée dans le sang de l’Agneau », le reste (ceux qui sont désignés dans le texte sous le terme d'habitants de la terre) est livré à lui-même. Ils entrent en jugement jusqu’au terme de la «semaine », plus précisément des 1290 et 1335 jours. C'est jusqu'à l'achèvement de cette courte période qu'ils subissent les sept coupes de la colère, à la suite les unes des autres.
Courage et persévérance à tous et à toutes, dans la fidélité à la Parole de Notre Elohim, par Yashoua.