samedi 29 mai 2021

Courage, foi et persévérance, l'épreuve ne sera pas au-dessus de nos forces !

 Une semaine déjà s'est écoulée depuis cette merveilleuse fête de la Pentecôte.

En ce rendez-vous solennel, pour vous tous et sur le Mont des Oliviers, nous avons élevé prière et supplications au Père céleste et au Seigneur Yéshoua, Vainqueur du monde, assis à sa droite, qui attend son jour et son heure pour écraser, dans sa gloire, le prince de ce monde.

La prière est qu'ils nous donnent, à tous, les armes que confère leur esprit saint : la force morale et la paix intérieure nécessaires pour traverser l'ultime période de grande détresse qui va frapper tout ce qui habite sur la surface de toute la terre.

Car les monstres qui nous manipulent, êtres malfaisants, cupides et esclaves de leur patron, savent vaguement à l'avance qu'ils ont perdu la partie. C'est donc en proie à une peur panique qu'ils vont précipiter l'agenda de leur plan diabolique d'extermination des multitudes.  

Or ce saint esprit qui doit nous animer, nous faire penser, parler et agir pour faire de chacun(e) de nous un soldat au service de la vérité, qui est la parole de Yéshoua, doit être reçu et alimenté par la compréhension des saintes écritures et de la saine doctrine dont parle Paul dans ses lettres, accompagnées d'avertissements salutaires.

En guise d'exhortation, pour nous armer contre le découragement qui nous guette tous, saisissons l'occasion de cette récente fête de Pentecôte, déjà derrière nous, pour nous affermir en relisant attentivement, même entre les lignes, le chapitre 1 de l'évangile de Luc afin d'en tirer la quintessence et de nous procurer une saine et confiante jubilation. 

Voici ce que nous révèle ce chapitre 1 quand il est lu en conformité respectueuse du calendrier des fêtes solennelles dictées à Moïse dans la Torah.

En fin d'hiver et tout début de l'année 3983 (-8) après accomplissement de son service au temple, Zacharie, rendu muet selon la parole de l'ange, rentre chez lui. Élisabeth, sa femme avancée en âge, jusqu'alors stérile, devient enceinte.

Au cours du sixième mois (de cette année), le mois dit Elul, l'ange Gabriel envoyé en Galilée visite Myriam. Il lui annonce qu'elle sera bientôt enceinte et l'informe que sa vieille parente est déjà dans SON sixième mois.

Aussitôt Myriam vaque aux préparatifs de son voyage vers la Judée, dans l'intention de visiter et d'assister sa vieille parente. Plusieurs jours sont nécessaires au parcours vers ce lieu à dos d'âne.

Nous sommes alors à quelques jours de la fête solennelle de la Troua, qui est le premier jour du septième mois. Myriam effectue ce voyage , parcourant cette longue distance dans l'intention d'arriver à destination au jour de la fête toute proche. C'est donc en ce jour de la Troua (Acclamation, ovation) qu'elle entre chez sa vieille cousine, enceinte de six mois. Cette date, sur le calendrier rétabli de cette époque, correspond au 5 septembre -8. C'est un Shabbat.

C'est sans échange préalable de nouvelles, lorsque Myriam entre chez Élisabeth que celle-ci, d'une voix forte et animée par l'esprit, lui annonce qu'elle est enceinte à partir de ce jour et qu'elle sera la mère de celui qui va sauver Israël.

Attention.  En ce moment précis, il nous faut comprendre, comme sur deux écrans superposés, ce qui se passe dans les lieux célestes et ce qui se passe ici bas.

Dans les lieux célestes, sous les acclamations, la Troua de toute la famille divine et des saints anges, la Parole de Dieu décide de se faire chair, de se faire naître et d'habiter parmi nous comme fils d'homme né de femme pour accomplir son œuvre salvatrice.

Ici bas, en cette maison de Zacharie (toujours muet) et d’Élisabeth, les deux femmes prophétisent pour le temps final, en proie à la plus vive jubilation bruyante. Jean lui aussi fait à sa manière la Troua en s'agitant dans le ventre de sa mère.

Myriam séjourne chez Élisabeth environ trois mois, jusqu'à la naissance de Jean. Ensuite elle retourne en Galilée, étant enceinte de trois mois.

Parenthèse : ces faits et événements, tels qu'ils se sont déroulés en l'absence de Joseph, nous font comprendre pourquoi,  à cause de la calomnie et à partir de l'entourage de cette famille à Nazareth, Yéshoua a subi dès sa naissance aux yeux de tous l'humiliation d'être un bâtard, issu d'une relation suspectée qu'eut sa mère avec un quelconque légionnaire romain. Certains historiens négationnistes ont même affirmé qu'il avait pour père un certain Pantéra (nom supposé et/ou inventé de ce Romain).  Sans aucun doute Yéshoua, enfant, a souffert de la situation, même aux yeux de ses propres frères et sœurs. Pas de détails dans les évangiles sur tout cela, mais trouvables dans d'autres passages prophétiques : Esaïe 53 et psaumes. Fin de la parenthèse.

Au printemps suivant (an -7) obligés par le recensement décrété par César Auguste, Joseph et Myriam  partirent pour la Judée vers Bethléem Efrata, ville d'origine de la maison de David dont Joseph était issu, dans l'intention de faire coïncider ce déplacement avec la Pentecôte, l'une des trois fêtes de pèlerinage. Par manque de place dans l'hôtellerie vu l'affluence de pèlerins, Myriam, arrivée au terme de sa grossesse (273 jours, 39 semaines), accoucha et mit son enfant dans une crèche. Nous sommes le 6 juin de l'an -7 : premier jour de la semaine, Pentecôte. Fête de la moisson.  

Voilà pourquoi le vrai, l'authentique "Noël", c'est la Pentecôte.

La Pentecôte, fête de l'esprit saint manifesté, est porteuse de nombreuses révélations réjouissantes.

C'est en ce même rendez-vous solennel que le peuple hébreu sorti d’Égypte a reçu au pied de la montagne fumante, au milieu des éclairs, du tonnerre, du son du schofar et par la voix de Dieu le prononcé des DIX PAROLES .

C'est lors de cet épisode que Moïse, porteur des deux premières tables de l'Alliance et descendu de la montagne, a surpris le peuple saisi de folie, se divertissant et adorant le veau d'or.  Il s'ensuivit la mort physique sous la Loi, de 3000 personnes.

C'est en ce même rendez-vous solennel, 50 jours après la résurrection de Yéshoua, que les 120 disciples rassemblés ont reçu l'esprit. Le discours de Pierre, animé par l'esprit, fut l'acte fondateur de l'église de Yéshoua. Il s'ensuivit le baptême, en un jour, de 3000 personnes, éveillées à la Vie spirituelle, passeport pour la Vie éternelle. (Détail chiffré relevé par un disciple juif de Yéshoua israélien nommé Valéry.)

 C'est bientôt en ce rendez-vous solennel que Yéshoua, à "Sodome et Égypte" rassemblera, par l'esprit et par leur foi, les 144.000 prémices de la grande moisson à venir (la grande foule), prémices qu'il fera marquer par son ange  en tant que pierres vivantes du sanctuaire final, qui exposeront leur propre vie, comme sacrifice de bonne odeur à l'appel du témoignage,  en annonçant le salut et l'approche du royaume millénaire, et ce à la face du monde en plein naufrage, de tous les peuples trompés par le complot satanique. 

 

 

En espérant que ces précisions prophétiques, jusqu'ici inconnues du monde chrétien comme du monde juif , vous auront rassurés sur la puissance et l'omniscience de Celui qui a vaincu le monde et de la véracité de Sa promesse, recevez nos salutations fraternelles de Jérusalem. Soyez bénis et accompagnés par l'esprit de Yéshoua, le vainqueur de la mort.


PS. Surtout, ne croyez pas un seul instant que la situation vaccinale ici, présentée mensongèrement comme une victoire sur la pandémie, comme un exemple à suivre par le monde entier, va déboucher sur un retour à la "normale". C'est un piège, une tactique d’ingénierie sociale impitoyable, soufflant le chaud et le froid. Des contraintes suivies d'allègements, carotte et bâton alternés en "dents de scie", pour pousser les gens au vaccin.

De nombreuses personnes, trompées par les médias vont hélas accepter de se faire reléguer à l'état de zombies, consommateurs de plaisirs de pacotille, aux fins de se faire embarquer comme du bétail vers l'internement et l'élimination.(Daniel 11 : 44).



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