Principe de base pour toute explication prophétique de la Bible : la connaissance de la Sainte Écriture ne doit se tirer QUE d'elle seule, sans contradiction. Le résultat est une louange généralisée finale à Notre Seigneur, dont la bonté se voit à l’œil nu depuis la création du monde.
Quant à Son omniscience, elle est démontrée par la précision des chiffres qu'Il a employés et dictés à ses anges et à ses serviteurs les prophètes pour nous instruire.
Genèse 6 et 7. Noé, sa femme, ses 3 fils et leurs femmes, au total 8 personnes, furent les premiers acteurs prémices mis de côté par la Parole agissante du Dieu cosmique et séparés du monde impie de leur époque, où les hommes avaient déjà massivement dégénéré sous l'influence satanique. Les pensées de leur cœur étaient chaque jour portées uniquement vers le mal.
Matthieu 24 : 37 à 39. C'est au milieu des moqueries et sarcasmes fusant de toutes parts d'un monde de débauchés contre nature, de jouisseurs, buveurs, bâfreurs, etc que, selon les instructions divines précises, Noé et les siens construisirent l'arche en lieu sec.
Une fois sa construction terminée, ils y firent entrer le nombre requis de couples d'animaux purs et impurs ainsi que les réserves de nourriture et y entrèrent eux-mêmes le 10ième jour du 2ième mois.
Cette date particulière du calendrier naturel, la première mentionnée dans la Bible, est déjà à mettre en rapport avec la Pâque lorsque celle ci est reportée au deuxième mois pour cause, entre autres, d'impureté ou de mort : terme qui s'applique au monde de cette époque. Le 10ième jour étant la mise de côté de la victime propitiatoire.
La porte de l'arche, restée ouverte jusqu'au 17ème jour, fut refermée par Celui qui ferme et personne n'ouvrira, à savoir Yéshoua Lui-même, avant Son temps. Puis les écluses des cieux furent ouvertes pendant 40 jours.
Dans cette Pâque avant Moïse, les victimes impures qui vont mourir dans le déluge sont la multitude des morts spirituels, des impies de cette époque.
Les six jours millénaires pendant lesquels l'invitation à se mettre, comme Noé, dans l'arche finale sous la protection divine, sont les 6000 ans de patience et de longanimité de Notre Dieu Créateur devant le spectacle lamentable que fut la destruction progressive et progressiste de Son œuvre, dont la phase finale n'aura pris que deux siècles de révolution industrielle débridée.
Nous en sommes arrivés là, avec comme preuves évidentes le déchainement des démons humains, des monstres qui se sont rendus maîtres du monde et leurs complices qui nous gouvernent et nous "informent". Une guerre contre les peuples sous l'autorité corruptrice et mensongère de leur patron.
Aujourd'hui, dans le monde entier devenu fou, encore isolés et dispersés dans la masse, les 8 personnes choisies (Noé et les siens, prémices du plan de salut final divinement préparé), ont été multipliés par 18.000, pour en faire 144.000. Ils sont le peuple nouveau-né qui va lui aussi être mis de côté, non pas comme pendant le déluge d'eau vécu par Noé, mais le déluge de feu du temps de la colère finale.
Ézéchiel 40 : 1. le prophète reçoit, au 10ème jour du 1ier mois, la vision allégorique de l'édifice spirituel de construction divine (ville construite, temple et autel) du temps final, ainsi que ses mesures exprimées diversement en termes de cannes et coudées (mesure d'homme, cfr. Apocalypse 21 : 17) .
Notre Dieu aime les chiffres et la précision. Un exercice, pas simple, est proposé par Ézéchiel 40 à 48 à ceux qui aiment compter et calculer.
Et le facteur 18.000 (8 x 18.000 = 144.000) se retrouve mentionné à la fin du livre d’Ézéchiel, dernier verset : Dès ce jour, le nom de la ville sera : l’Éternel est ici.
Une vision équivalente est donnée à l'apôtre Jean (Apocalypse 11 : 1 ) pour le même temps final, où le temple et l'autel englobent dans le parvis intérieur les 144.000 prémices du peuple nouveau-né qui rendent gloire à leur Seigneur en esprit et en vérité, marqués et mis à part, séparés du parvis extérieur et de la ville sainte.
Autre passage : Habacuc 2 : 20 : l’Éternel est dans son saint temple. Que toute la terre fasse silence devant Lui. Ce silence précède directement le jugement du monde et la colère, Apocalypse 8 : 2 ouverture du 7ème sceau : quand il ouvrit le septième sceau, il y eut dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. Cette durée, dans la proportion de 1 jour = 1 an, représente 7,5 jours (de 24 H).
Au temps final, ces jours suivent la mort des deux oints et la fuite au désert des 144.000 soutenue par la présence de Yéshoua. Ce silence pendant les jours dits "dangereux" dans le monde juif, fait comprendre au monde entier que son jugement est arrivé. Son expiation va commencer. Le Rendez-vous solennel des Expiations, au 7ième mois, prend tout son sens.
Satan, précipité sur terre avec ses anges et animés d'une grande colère, investissent à 100 % ses esclaves : la bête et ses complices, les grands fauves prédateurs marchands qui ont ramassé la terre. Ils exterminent impitoyablement des multitudes de gens pucés par le soi-disant vaccin, en exécution brutale de leur plan démoniaque tel qu'ils l'affichent ouvertement aujourd'hui à Davos.
C'est ici que doivent être mis en parallèle, d'une part (Apocalypse 7 : 14) la grande foule, innombrable, de pécheurs soudainement repentis et devenus, par leur repentir, la descendance de la femme en fuite et d'autre part, au déluge, les impies insouciants et incrédules du temps de Noé.
Les premiers, surpris par un déluge de 40 jours et plongés dans la détresse absolue, les seconds et derniers, livrés pendant 40 jours également à l'extermination finale par la haine meurtrière satanique déchainée; tous, criant et invoquant l’Éternel, obtiennent miséricorde selon la parole permanente de Dieu rappelée par le prophète Joël (2 : 32) "Quiconque invoquera le nom de l’Éternel sera sauvé." C'est par une mort physique, acceptée comme juste jugement pour l'expiation de leurs fautes, que les uns et les autres ont part à la première résurrection.
C'est aussi la parole que Yéshoua, mourant, adresse à l'un des deux larrons repentant.
Soyons rassurés par le verset Apocalypse 14 : 13 qui concerne la grande foule finale : heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur (dans la grande tribulation).
L’Éternel Dieu est bon et sa miséricorde s'étendra au monde entier. Seuls ceux qui ne se repentiront pas de leurs œuvres se condamneront eux-mêmes, par le libre choix qu'il leur aura laissé jusqu'au bout, avant qu'il prenne possession de Son Royaume millénaire. C'est, pour tous les justes, les croyants et disciples du Roi des Juifs, la très prochaine fin d'un tunnel six fois millénaire, rempli de ténèbres et d'abominables hurlements.